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“Cette initiative est née de notre profonde conviction que les entreprises, quelle que soit l’industrie, peuvent tirer parti du partage d’experiences.”

 

Il est ingénieur de formation, issu de Polytech’Nice-Sophia. Elle est diplômée en mathématiques appliquées et a validé une thèse en théorie de l’optimisation. Ils mènent leur carrière dans de grandes entreprises technologiques internationales. Et dirigent le Industrial Council of Artificial Intelligence Research (ICAIR). Olena Kushakovska (SAP) et Jean-Michel Sauvage (Amadeus) pilotent ensemble ICAIR depuis 2020. Ils ont une ambition claire pour l’organisation : accélérer le travail sur l’IA en mettant l’accent sur le développement durable. A l’occasion du 1er SAP Sustainability Summit, la directrice générale de SAP Labs France et le directeur R&D pour les solutions Revenue Management d’Amadeus se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour nous donner leur vision de l’IA durable.

  1. Quels sont les principaux avantages de l’IA dans votre secteur ?

Olena Kushakovska : Chez SAP, nous permettons à nos clients de devenir des entreprises intelligentes, d’utiliser les données pour bâtir des entreprises plus performantes, plus résilientes, plus rentables, plus agiles et plus durables. Nous mettons tout en œuvre pour que la réalité de l’entreprise intelligente soit pleinement intégrée avec les fonctionnalités d’Intelligence Artificielle.

Jean-Michel Sauvage : L’IA est une technologie majeure qui offre la meilleure utilisation possible des données et fournit un service plus performant, plus efficace, prévisible, personnalisé et à plus forte valeur ajoutée sur l’ensemble de la chaîne.

  1. Quand, pourquoi et comment vous êtes-vous engagé avec ICAIR ?

Olena : Amadeus et SAP sont membres fondateurs de ICAIR. La décision d’aller de l’avant a été prise entre Gilles Floyrac et moi il y a environ 2 ans. Gilles était le président d’Amadeus Nice à l’époque et la région Côte d’Azur venait de décrocher le label 3IA. Son idée était que les entreprises conduisent l’agenda industriel parallèlement au monde universitaire. Plus de 60 entreprises de la zone ont soutenu le projet 3IA. Nous avons contacté les entreprises que nous pensions intéressées (ex. IBM, ARM, NXP, Thales Alenia Space, Orange) et le “Club” est né. La réunion de mise en place entre les responsables de site pour sceller le club s’est tenue chez Amadeus puis la 1ère session de travail a eu lieu chez SAP en juin 2019.

Jean-Michel : Les techniques d’IA n’étant pas spécifiques à la résolution d’un problème, cette initiative est motivée par la forte conviction que les entreprises, même lorsqu’elles travaillent dans différents secteurs, peuvent bénéficier de l’apprentissage et du partage d’expériences sur les défis auxquels elles sont confrontées sur des problèmes techniques similaires.

« Nous nous efforçons d’utiliser l’IA de manière durable et d’atteindre les objectifs de durabilité de l’ONU au sein du secteur. » Olena KUSHAKOVSKA

  1. Qu’est-ce qui est spécial avec ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR se concentre sur la recherche appliquée, et à ce titre, est un moyen de lier la recherche fondamentale et les résultats académiques à leur application dans un environnement industriel.

Olena : ICAIR est à taille humaine, agile, diversifié, industriel, pratico-pratique, avec des cas d’utilisation réels. Des entreprises leaders dans le monde composent le conseil. Pour autant, il y a un faible niveau d’administration, une faible bureaucratie, mais beaucoup de bonne volonté et un grand écosystème. La bienveillance et le soutien sont sans faille, et l’implication continue !

  1. Pourquoi avoir choisi l’IA durable comme thème du programme ICAIR ? 

Jean-Michel : L’IA s’accompagne de défis, tant en termes de technologie, de puissance de calcul, que de biais d’apprentissage, ou de décisions humainement explicables. Nous pensons que l’IA peut être conçue et utilisée de manière durable et apporter de la valeur d’une manière qui respecte la planète et les communautés.

Olena : On questionne souvent l’IA en termes écologique ou éthique. Nous voulons envisager la durabilité dans un contexte beaucoup plus large, celui des objectifs de durabilité des Nations Unies. La durabilité s’entend comme la capacité de notre génération à atteindre ses objectifs, sans compromettre la capacité de la génération future à atteindre les leurs. Et ce, par rapport à toutes les ressources : naturelles, humaines, économiques. Nos efforts se concentrent sur l’IA durable pour atteindre les objectifs des Nations Unies au sein de l’industrie.

  1. Quel est le champ d’application d’ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR a été pensé de telle sorte que des chercheurs d’entreprises de Sophia Antipolis hébergeant des laboratoires de recherche travaillant dans différents contextes industriels, et sur différents sujets, puissent discuter et échanger leurs points de vue sur des questions communes liées à l’utilisation de l’IA dans leurs industries respectives.

Olena : Notre objectif est de travailler sur des projets communs et d’échanger sur les meilleures pratiques en matière d’apprentissage automatique et d’intelligence artificielle. Cela permettra de faire progresser les recherches en matière d’IA. Enfin, nous comptons utiliser notre puissance commune pour promouvoir la Côte d’Azur en tant que berceau de l’IA durable.

  1. Qu’est-ce qui vous motive personnellement ?

Olena : Ma volonté est de promouvoir notre grande collaboration, dans l’écosystème incroyablement riche sur le plan technologique et intellectuel de la Côte d’Azur, en montrant à nos maisons-mères que cet endroit est vraiment exceptionnel, et y développer une véritable communauté autour de l’IA. Je veux aussi que la France et l’Europe obtiennent la place qu’elles méritent dans le monde en ce qui concerne l’IA, en veillant à ce que l’IA soit utilisée à bon escient, que la Côte d’Azur soit identifiée comme l’endroit idéal pour l’IA durable, et enfin que les gens ne craignent plus l’IA.

Jean-Michel : Je suis un passionné d’aviation et d’informatique. Heureusement pour moi, les voyages et l’aviation en particulier sont des domaines pleins de défis combinatoires, très complexes à résoudre et à optimiser. Chez Amadeus, nous sommes déjà pleinement engagés dans le déploiement de l’IA. Nous sommes également engagés depuis de nombreuses années dans le développement de systèmes ouverts et interopérables, car nous pensons que c’est en combinant les meilleurs services « atomiques » que nous apporterons une plus grande valeur ajoutée à nos clients, à l’industrie du voyage et aux voyageurs. Mais nous savons aussi que, comme toute évolution de ce genre, elle a besoin de temps, d’expérience, de tests et d’apprentissage. L’IA s’accompagne de nombreuses questions et défis sans réponse. Avec ICAIR, nous faisons partie de l’apprentissage, de l’enseignement, et nous voulons y répondre de la bonne manière.

 

 

 

Les membres sont des entreprises internationales avec des sites sur la Côte d’Azur et menant des recherches en IA :

  • Accenture,
  • ACRI-ST,
  • AIRFRANCE KLM,
  • Amadeus,
  • ARM,
  • Hewlett Packard Enterprise,
  • IBM,
  • NXP Semiconductors,
  • Orange,
  • Renault Software Labs,
  • SAP Labs France,
  • STMicroelectronics,
  • Thales Alenia Space.

Le programme touche l’ensemble de l’écosystème du label 3IA de la Côte d’Azur :

  • Académiques : Institut 3IA, UCA (Université Côte d’Azur), Ecoles, Centres de Recherche
  • Secteurs d’activité : ICAIR, ClusterIA
  • Institutions : MIA, OTESIA, EuropIA
  • Associations : Telecom Valley, Pôle SCS

Des initiatives liées à l’IA lancées par ces acteurs soutiennent la dynamique territoriale de la Côte d’Azur. Elles se rapportent aux objectifs de développement durable des Nations unies et constituent le champ d’application du programme « IA durable ».

En savoir plus : ICAIR – Industrial Council of Artificial Intelligence Research

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Source de l’article sur sap.com

La plupart de mes conversations et pensées de ces derniers mois ont tourné autour de trois petits mots. Non, ce ne sont pas les trois petits mots auxquels vous pensez peut-être immédiatement, mais plutôt trois mots particulièrement chers au cœur des professionnels de la planification et de l’analyse financières en ce moment : l’agilité, la réactivité et la résilience.

Ce sont presque devenus des mots d’ordre pour le secteur ces neuf derniers mois, à mesure que les professionnels ont pris conscience de la nécessité de fournir à leur entreprise les informations requises pour prendre des décisions immédiates, de planifier et planifier encore, de générer des prévisions et de simuler de multiples résultats potentiels en fonction de variables en constante évolution. Et il apparaît clairement que certains y étaient bien mieux préparés que d’autres.

Notre enquête 2020 consacrée aux professionnels de la planification et de l’analyse financières, effectuée en collaboration avec FP&A Trends, a mis clairement en évidence une différence dans la réussite des pratiques de planification et d’analyse financières entre notre groupe entier d’entreprises interrogées et celles considérées comme ayant les « bonnes pratiques » en matière de planification et d’analyse financières. Parmi les défis cités par les entreprises interrogées, on retrouve le besoin de meilleurs systèmes de budgétisation et de prévision (cité par 30 % des entreprises interrogées), mais, d’un autre côté, de nombreuses entreprises déclarent utiliser des feuilles de calcul (73 %) dans le cadre de leurs processus de planification et de prévision. Bien sûr, même si nous avons tous utilisé et adoré les feuilles de calcul pour leur abondance et leur disponibilité, nous devons aussi reconnaître qu’elles ont certaines limites : elles nécessitent des interventions manuelles, sont propices aux erreurs de données et de calculs, peuvent devenir compliquées et peu pratiques, et ne pas offrir la flexibilité et l’agilité requises pour des recalculs et simulations rapides. Donc, à l’heure où les équipes de planification et d’analyse financières doivent se montrer particulièrement agiles, réactives et résilientes, les jours sont certainement comptés pour les anciens systèmes de planification, budgétisation et prévision basés sur feuilles de calcul. En fait, il est sans doute temps pour les entreprises d’examiner attentivement l’importance stratégique de la planification et de l’analyse financières pour leur activité, en réfléchissant aux défis identifiés en 2020, pour mieux cerner les opportunités d’améliorations pour 2021 et au-delà.

Et si les entreprises pouvaient…

  • Planifier et prévoir avec une facilité, une agilité et une flexibilité accrues.
  • Simuler de multiples scénarios de gestion en temps réel en réponse aux évolutions du marché.
  • Renforcer la résilience des plans stratégiques, mais aussi des processus et systèmes sur lesquels la planification et l’analyse financières reposent.

Comment de telles capacités permettraient-elles de transformer votre approche en matière d’analyse et de planification financières ?

Et, face à l’actuel besoin d’agilité, de réactivité et de résilience accrues dans le domaine de la planification et de l’analyse financières, quel est votre plan ?

Rejoignez mes collègues Pras Chatterjee et Chris Chan pour notre présentation consacrée à la planification et à l’analyse financières, proposée dans le cadre du SAP Finance and Risk Virtual Summit. Ils échangeront avec des invités spéciaux pour approfondir certaines des problématiques induisant des changements dans les pratiques de planification et d’analyse financières, et identifieront pour les professionnels de la finance des opportunités de transformer leur approche en matière de planification et d’analyse financières. Il s’agira de 45 minutes particulièrement riches et intenses, axées sur la planification et l’analyse financières, et la présentation de multiples fonctionnalités incontournables : ne manquez pas cet événement exceptionnel !

Merci de votre attention, nous espérons vous retrouver bientôt !

Publié en anglais sur blogs.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Ten years ago, people began talking about the “Independent Web.” Although we don’t commonly use the term anymore, that doesn’t mean that it’s not still as vital a topic of discussion today as it was a decade ago.

Today, I want to look at where the term came from, what it refers to today, and why it’s something that all of us in business, marketing, and web design should be thinking about.

What Is The Independent Web?

The Independent Web is a term that was coined back in 2010 by John Battelle.

In “Identity and The Independent Web,” Battelle broaches the subject of internet users losing control of their data, privacy, and decision-making to the likes of social media and search engines.

“When we’re ‘on’ Facebook, Google, or Twitter, we’re plugged into an infrastructure that locks onto us, serving us content and commerce in an automated but increasingly sophisticated fashion. Sure, we navigate around, in control of our experience, but the fact is, the choices provided to us as we navigate are increasingly driven by algorithms modeled on the service’s understanding of our identity.”

That’s the Dependent Web.

This is how Battelle explains the Independent Web:

“There is another part of the web, one where I can stroll a bit more at my own pace, and discover new territory, rather than have territory matched to a presumed identity. And that is the land of the Independent Web.”

In 2010, this referred to websites, search engines, and apps where users and their activity were not tracked. But a lot has changed since then, and many websites that were once safe to peruse without interference or manipulation are no longer.

What Happens When the Dependent Web Takes Over?

Nothing good.

I take that back. It’s not fair to make a blanket statement about Dependent Web platforms and sites. Users can certainly benefit from sharing some of their data with them.

Take Facebook, for instance. Since its creation, it’s enabled people to connect with long-lost friends, stay in touch with distant relatives, enable freelance professionals like ourselves to find like-minded communities, etc.

The same goes for websites and apps that track and use visitor data. Consumers are more than willing to share relevant data with companies so long as they benefit from the resulting personalized experiences.

But the Dependent Web also has a darker side. There are many ways that the Dependent Web costs consumers and businesses control over important things like:

Behavior

If you’ve seen The Social Dilemma, then you know that platforms like Facebook and Google profit from selling their users to advertisers.

That’s right. They’re not just selling user data. They’re selling users themselves. If the algorithms can change the way users behave, these platforms and their advertisers get to cash in big time.

Many websites and apps are also guilty of using manipulation to force users to behave how they want them to.

Personal Data

This one is well-known thanks to the GDPR in the EU and the CCPA in California. Despite these initiatives to protect user data and privacy, the exploitation of personal data on the web remains a huge public concern in recent years.

Content and Branding

This isn’t relevant to websites so much as it is to social media platforms and Google.

Dependent Web platforms ultimately dictate who sees your content and when. And while they’re more than happy to benefit from the traffic and engagement this content brings to their platforms, they’re just as happy to censor or pull down content as they please, just as Skillshare did in 2019 when it deleted half of its courses without telling its course creators.

What’s more, while social media and search engines have become the place to market our businesses, some of our branding gets lost when entering such oversaturated environments.

Income

When algorithms get updated, many businesses often feel the negative effects almost immediately.

For example, Facebook updated its algorithm in 2018 to prioritize “meaningful content.” This pushed out organic business content and pulled regular user content to the top of the heap.

This, in turn, forced businesses to have to pay-to-play if they wanted to use Facebook as a viable marketing platform.

Access

The Dependent Web doesn’t just impact individuals’ experiences. It can have far-reaching effects when one company provides a critical service to a large portion of the population.

We saw this happen in November when AWS went down.

It wasn’t just Amazon’s servers that went down, though. It took out apps and sites like:

  • 1Password
  • Adobe Spark
  • Capital Gazette
  • Coinbase
  • Glassdoor
  • Roku
  • The Washington Post

And there’s absolutely nothing that these businesses or their users could do but sit around and wait… because Amazon hosts a substantial portion of the web.

Innovation

When consumers and businesses become dependent on platforms that predominantly control the way we live and work, it’s difficult for us to stand up for the little guys trying to carve out innovative pathways.

And that’s exactly what we see happen time and time again with Big Tech’s buy-and-kill tactics.

As a result, we really lose the option to choose what we use to improve our lives and our businesses. And innovative thinkers lose the ability to bring much-needed changes to the world because Big Tech wants to own the vast majority of data and users.

How Can We Take Back Control From The Dependent Web?

Many things are happening right now that are trying to push consumers and businesses towards a more Independent Web:

Consumer Privacy Protection: GDPR and CCPA empower consumers to control where their data goes and what it’s used for.

Big Tech Regulations: The Senate held tech regulation hearings with Facebook’s and Twitters’s CEOs.

Public Awareness Initiatives: Films like The Social Dilemma bring greater awareness to what’s happening on social media.

Ad Blocker Adoption: Adblocker usage is at an all-time high.

Private Search Engine Usage: Although Google dominates search engine market share, people are starting to use private search engines like Duck Duck Go.

Private Browsing Growth: Over 60% of the global population is aware of what private browsing is (i.e., incognito mode), and roughly 35% use it when surfing the web.

Self-hosted and Open Source CMS Popularity: The IndieWeb community encourages people to move away from Dependent platforms and build their own websites and communities. This is something that Matt Mullenweg, the founder of WordPress, talked about back in 2012.

“The Internet needs a strong, independent platform for those of us who don’t want to be at the mercy of someone else’s domain. I like to think that if we didn’t create WordPress something else that looks a lot like it would exist. I think Open Source is kind of like our Bill of Rights. It’s our Constitution. If we’re not true to that, nothing else matters.”

As web designers, this is something that should really speak to you, especially if you’ve ever met a lead or client who didn’t understand why they needed a website when they could just advertise on Facebook or Instagram.

A Decentralized Web: Perhaps the most promising of all these initiatives are Solid and Inrupt, which were launched in 2018 by the creator of the Web, Tim Berners-Lee.

As Berners-Lee explained on the Inrupt blog in 2020:

”The Web was always meant to be a platform for creativity, collaboration, and free invention — but that’s not what we are seeing today. Today, business transformation is hampered by different parts of one’s life being managed by different silos, each of which looks after one vertical slice of life, but where the users and teams can’t get the insight from connecting that data. Meanwhile, that data is exploited by the silo in question, leading to increasing, very reasonable, public skepticism about how personal data is being misused. That in turn has led to increasingly complex data regulations.”

This is something we should all keep a close eye on. Consumers and businesses alike are becoming wary of the Dependent Web.

Who better than the creator of the web to lead us towards the Independent Web where we can protect our data and better control our experience?

 

Featured Image via Pexels.

Source

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Le Big Data est le flot d’informations dans lequel nous nous trouvons tous les jours (des zettaoctets de données provenant de nos ordinateurs, des terminaux mobiles et des capteurs). Ces données sont utilisées par les entreprises pour orienter la prise de décisions, améliorer les processus et les stratégies, et créer des produits, des services et des expériences centrés sur le client.

Le Big Data désigne non seulement de gros volumes de données, mais aussi des données de nature variée et complexe. Il dépasse généralement la capacité des bases de données traditionnelles à capturer, gérer et traiter ce type de données. De plus, le Big Data peut provenir de n’importe où et de tout ce que nous sommes en mesure de surveiller numériquement. Les satellites, les appareils IoT (Internet des Objets), les radars et les tendances des réseaux sociaux ne sont que quelques exemples parmi la multitude de sources de données explorées et analysées pour rendre les entreprises plus résilientes et compétitives.


L’importance de l’analyse du Big Data

La véritable valeur du Big Data se mesure d’après votre capacité à l’analyser et à le comprendre. L’intelligence artificielle (IA), le machine learning et les technologies de base de données modernes permettent de visualiser et d’analyser le Big Data pour fournir des informations exploitables en temps réel. L’analyse du Big Data aide les entreprises à exploiter leurs données en vue de saisir de nouvelles opportunités et de créer de nouveaux modèles de gestion. Comme l’a si bien dit Geoffrey Moore, auteur et analyste de gestion, « sans analyse du Big Data, les entreprises sont aveugles et sourdes, errant sur le Web comme des cerfs sur une autoroute ».

How does Big Data and Analytics work? Simply Explained

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How does Big Data and Analytics work? Simply Explained


L’évolution du Big Data

Aussi inconcevable que cela puisse paraître aujourd’hui, l’Apollo Guidance Computer a emmené l’homme sur la lune avec moins de 80 kilo-octets de mémoire. Depuis, la technologie informatique s’est développée à un rythme exponentiel, de même que la génération de données. La capacité technologique mondiale à stocker des données a doublé tous les trois ans depuis les années 1980. Il y a un peu plus de 50 ans, lors du lancement d’Apollo 11, la quantité de données numériques générées dans le monde aurait pu tenir dans un ordinateur portable. Aujourd’hui, l’IDC estime ce chiffre à 44 zettaoctets (soit 44 000 milliards de gigaoctets) et prévoit qu’il atteindra 163 zettaoctets en 2025.

44 zettaoctets de données numériques aujourd’hui, IDC

163 zettaoctets de données numériques en 2025, IDC

Plus les logiciels et la technologie se développent, moins les systèmes non numériques sont viables. Le traitement des données générées et collectées numériquement requiert des systèmes de data management plus avancés. En outre, la croissance exponentielle des plates-formes de réseaux sociaux, des technologies pour smartphones et des appareils IoT connectés numériquement ont contribué à l’émergence du Big Data.


Types de Big Data : que sont les données structurées et non structurées ?

Les ensembles de données sont généralement catégorisés en trois types, selon leur structure et la complexité de leur indexation.

Illustration des différents types de big data : données structurées, données non-structurées, données semi-structurées.

  1. Données structurées : ce type de données est le plus simple à organiser et à rechercher. Il peut inclure des données financières, des machine logs et des détails démographiques. Une feuille de calcul Microsoft Excel, avec sa mise en forme de colonnes et de lignes prédéfinies, offre un moyen efficace de visualiser les données structurées. Ses composants peuvent facilement être catégorisés, ce qui permet aux concepteurs et administrateurs de bases de données de définir des algorithmes simples pour la recherche et l’analyse. Même lorsque les données structurées sont très volumineuses, elles ne sont pas nécessairement qualifiées de Big Data, car elles sont relativement simples à gérer et ne répondent donc pas aux critères qui définissent le Big Data. Traditionnellement, les bases de données utilisent un langage de programmation appelé SQL (Structured Query Language) pour gérer les données structurées. SQL a été développé par IBM dans les années 1970 pour permettre aux développeurs de créer et gérer des bases de données relationnelles (de type feuille de calcul) qui commençaient à émerger à l’époque.
  2. Données non structurées : cette catégorie de données peut inclure des publications sur les réseaux sociaux, des fichiers audio, des images et des commentaires client ouverts. Ces données ne peuvent pas être facilement capturées dans les bases de données relationnelles standard en lignes et colonnes. Auparavant, les entreprises qui voulaient rechercher, gérer ou analyser de grandes quantités de données non structurées devaient utiliser des processus manuels laborieux. La valeur potentielle liée à l’analyse et à la compréhension de ces données ne faisait aucun doute, mais le coût associé était souvent trop exorbitant pour en valoir la peine. Compte tenu du temps nécessaire, les résultats étaient souvent obsolètes avant même d’être générés. Contrairement aux feuilles de calcul ou aux bases de données relationnelles, les données non structurées sont généralement stockées dans des lacs de données, des entrepôts de données et des bases de données NoSQL.
  3. Données semi-structurées : comme leur nom l’indique, les données semi-structurées intègrent à la fois des données structurées et non structurées. Les e-mails en sont un bon exemple, car ils incluent des données non structurées dans le corps du message, ainsi que d’autres propriétés organisationnelles telles que l’expéditeur, le destinataire, l’objet et la date. Les dispositifs qui utilisent le marquage géographique, les horodatages ou les balises sémantiques peuvent également fournir des données structurées avec un contenu non structuré. Une image de smartphone non identifiée, par exemple, peut indiquer qu’il s’agit d’un selfie et préciser l’heure et l’endroit où il a été pris. Une base de données moderne exécutant une technologie d’IA peut non seulement identifier instantanément différents types de données, mais aussi générer des algorithmes en temps réel pour gérer et analyser efficacement les ensembles de données disparates.

Les sources du Big Data

Les objets générateurs de données se développent à un rythme spectaculaire, depuis les drones jusqu’aux grille-pains. Toutefois, à des fins de catégorisation, les sources de données sont généralement divisées en trois types :

Illustration des différentes sources du big data : données sociales, données machine, données altérables.

Données sociales

Comme leur nom l’indique, les données sociales sont générées par les réseaux sociaux : commentaires, publications, images et, de plus en plus, vidéos. En outre, compte tenu de l’ubiquité croissante des réseaux 4G et 5G, on estime que le nombre de personnes dans le monde qui regardent régulièrement des contenus vidéo sur leur smartphone atteindra 2,72 milliards en 2023. Bien que les tendances concernant les réseaux sociaux et leur utilisation évoluent rapidement et de manière imprévisible, leur progression en tant que générateurs de données numériques est incontestable.

Données machine

Les machines et appareils IoT sont équipés de capteurs et ont la capacité d’envoyer et de recevoir des données numériques. Les capteurs IoT aident les entreprises à collecter et traiter les données machine provenant des appareils, des véhicules et des équipements. Globalement, le nombre d’objets générateurs de données augmente rapidement, des capteurs météorologiques et de trafic jusqu’à la surveillance de la sécurité. Selon l’IDC, il y aura plus de 40 milliards d’appareils IoT en 2025, générant près de la moitié des données numériques mondiales.

Données altérables

Il s’agit des données parmi les plus évolutives au monde. Par exemple, un détaillant international traite plus d’un million de transactions client par heure. Si l’on ajoute à cela les transactions d’achat et bancaires au niveau mondial, on comprend mieux le volume phénoménal de données générées. En outre, les données altérables contiennent de plus en plus de données semi-structurées, y compris des images et des commentaires, ce qui les rend d’autant plus complexes à gérer et à traiter.


Les cinq V du Big Data

Ce n’est pas parce qu’un ensemble de données est volumineux qu’il s’agit nécessairement de Big Data. Pour être qualifiées en tant que telles, les données doivent posséder au minimum les cinq caractéristiques suivantes :

Illustration des 5 V du Big Data : Volume, Vitesse, Variété, Véracité, Valeur.

  1. Volume : même si le volume n’est pas le seul composant qui constitue le Big Data, il s’agit d’une de ses caractéristiques principales. Pour gérer et exploiter pleinement le Big Data, des algorithmes avancés et des analyses pilotées par l’IA sont nécessaires. Mais avant tout cela, il doit exister un moyen fiable et sécurisé de stocker, d’organiser et d’extraire les téraoctets de données détenus par les grandes entreprises.
  2. Vitesse : auparavant, les données générées devaient ensuite être saisies dans un système de base de données traditionnel (souvent manuellement) avant de pouvoir être analysées ou extraites. Aujourd’hui, grâce à la technologie du Big Data, les bases de données sont capables de traiter, d’analyser et de configurer les données lorsqu’elles sont générées, parfois en l’espace de quelques millisecondes. Pour les entreprises, cela signifie que les données en temps réel peuvent être exploitées pour saisir des opportunités financières, répondre aux besoins des clients, prévenir la fraude et exécuter toute autre activité pour laquelle la rapidité est un facteur clé.
  3. Variété : les ensembles de données contenant uniquement des données structurées ne relèvent pas nécessairement du Big Data, quel que soit leur volume. Le Big Data comprend généralement des combinaisons de données structurées, non structurées et semi-structurées. Les solutions de gestion des données et les bases de données traditionnelles n’offrent pas la flexibilité et le périmètre nécessaires pour gérer les ensembles de données complexes et disparates qui constituent le Big Data.
  4. Véracité : bien que les bases de données modernes permettent aux entreprises d’accumuler et d’identifier des volumes considérables de Big Data de différents types, elles ne sont utiles que si elles sont précises, pertinentes et opportunes. S’agissant des bases de données traditionnelles alimentées uniquement avec des données structurées, le manque de précision des données était souvent dû à des erreurs syntaxiques et des fautes de frappe. Les données non structurées présentent toute une série de nouvelles difficultés en matière de véracité. Les préjugés humains, le « bruit social » et les problèmes liés à la provenance des données peuvent avoir un impact sur la qualité des données.
  5. Valeur : les résultats de l’analyse du Big Data sont souvent fascinants et inattendus. Mais pour les entreprises, l’analyse du Big Data doit fournir une visibilité qui les aident à gagner en compétitivité et en résilience, et à mieux servir leurs clients. Les technologies modernes du Big Data offrent la possibilité de collecter et d’extraire des données susceptibles de procurer un avantage mesurable à la fois en termes de résultats et de résilience opérationnelle.

Avantages du Big Data

Les solutions modernes de gestion du Big Data permettent aux entreprises de transformer leurs données brutes en informations pertinentes avec une rapidité et une précision sans précédent.

  • Développement de produits et de services :l’analyse du Big Data permet aux développeurs de produits d’analyser les données non structurées, telles que les témoignages clients et les tendances culturelles, et de réagir rapidement.
  • Maintenance prédictive : dans le cadre d’uneenquête internationale, McKinsey a constaté que l’analyse du Big Data émanant des machines IoT pouvait réduire les coûts de maintenance des équipements jusqu’à 40 %.
  • Expérience client :dans le cadre d’une enquête réalisée en 2020 auprès de responsables d’entreprises du monde entier, Gartner a déterminé que « les entreprises en croissance collectent plus activement des données sur l’expérience client que les entreprises à croissance nulle ». L’analyse du Big Data permet aux entreprises d’améliorer et de personnaliser l’expérience de leurs clients avec leur marque.
  • Gestion de la résilience et des risques :la pandémie de COVID-19 a été une véritable prise de conscience pour de nombreux dirigeants d’entreprise qui se sont rendu compte à quel point leur activité était vulnérable. La visibilité offerte par le Big Data peut aider les entreprises à anticiper les risques et à se préparer aux imprévus.
  • Économies et efficacité accrue : lorsque les entreprises effectuent une analyse avancée du Big Data pour tous les processus de l’organisation, elles peuvent non seulement détecter les inefficacités, mais aussi déployer des solutions rapides et efficaces.
  • Amélioration de la compétitivité : les informations obtenues grâce au Big Data peuvent aider les entreprises à réaliser des économies, à satisfaire leurs clients, à concevoir de meilleurs produits et à innover dans les opérations de gestion.

IA et Big Data

La gestion du Big Data repose sur des systèmes capables de traiter et d’analyser efficacement de gros volumes d’informations disparates et complexes. À cet égard, le Big Data et l’IA ont une relation de réciprocité. Sans l’IA pour l’organiser et l’analyser, le Big Data n’aurait pas grande utilité. Et pour que l’IA puisse générer des analyses suffisamment fiables pour être exploitables, le Big Data doit contenir des ensembles de données suffisamment étendus. Comme l’indique Brandon Purcell, analyste chez Forrester Research, « les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

« Les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

Brandon Purcell, analyste, Forrester Research


Machine learning et Big Data

Les algorithmes de machine learning définissent les données entrantes et identifient des modèles associés. Ces informations permettent de prendre des décisions avisées et d’automatiser les processus. Le machine learning se nourrit du Big Data, car plus les ensembles de données analysés sont fiables, plus le système est susceptible d’apprendre, de faire évoluer et d’adapter ses processus en continu.


Technologies du Big Data

Architecture du Big Data

À l’instar de l’architecture du bâtiment, l’architecture du Big Data fournit un modèle pour la structure de base déterminant la manière dont les entreprises gèrent et analysent leurs données. L’architecture du Big Data mappe les processus requis pour gérer le Big Data à travers quatre « couches » de base, des sources de données au stockage des données, puis à l’analyse du Big Data, et enfin via la couche de consommation dans laquelle les résultats analysés sont présentés en tant que Business Intelligence.

‍Analyse du Big Data

Ce processus permet de visualiser les données de manière pertinente grâce à l’utilisation de la modélisation des données et d’algorithmes spécifiques aux caractéristiques du Big Data. Dans le cadre d’une étude approfondie et d’une enquête de la MIT Sloan School of Management, plus de 2 000 dirigeants d’entreprise ont été interrogés sur leur expérience en matière d’analyse du Big Data. Comme on pouvait s’y attendre, ceux qui s’étaient impliqués dans le développement de stratégies de gestion du Big Data ont obtenu les résultats les plus significatifs.

Big Data et Apache Hadoop

Imaginez une grande boîte contenant 10 pièces de 10 centimes et 100 pièces de 5 centimes. Puis imaginez 10 boîtes plus petites, côte à côte, contenant chacune 10 pièces de 5 centimes et une seule pièce de 10 centimes. Dans quel scénario sera-t-il plus facile de repérer les pièces de 10 centimes ? Hadoop fonctionne sur ce principe. Il s’agit d’une structure en open source permettant de gérer le traitement du Big Data distribué sur un réseau constitué de nombreux ordinateurs connectés. Ainsi, au lieu d’utiliser un gros ordinateur pour stocker et traiter toutes les données, Hadoop regroupe plusieurs ordinateurs sur un réseau pouvant évoluer presque à l’infini et analyse les données en parallèle. Ce processus utilise généralement un modèle de programmation appelé MapReduce, qui coordonne le traitement du Big Data en regroupant les ordinateurs distribués.

Lacs de données, entrepôts de données et NoSQL

Les bases de données traditionnelles de type feuille de calcul SQL servent à stocker les données structurées. Le Big Data non structuré et semi-structuré nécessite des modèles de stockage et de traitement uniques, car il ne peut pas être indexé et catégorisé. Les lacs de données, les entrepôts de données et les bases de données NoSQL sont des référentiels de données capables de gérer les ensembles de données non traditionnels. Un lac de données est un vaste pool de données brutes qui n’ont pas encore été traitées. Un entrepôt de données est un référentiel de données qui ont déjà été traitées à des fins spécifiques. Les bases de données NoSQL fournissent un schéma flexible qui peut être modifié en fonction de la nature des données à traiter. Ces systèmes présentent chacun des avantages et des inconvénients, c’est pourquoi de nombreuses entreprises utilisent plutôt une combinaison de ces référentiels de données pour répondre au mieux à leurs besoins.

Bases de données in-memory

Les bases de données traditionnelles sur disque ont été conçues pour SQL et les bases de données relationnelles. Bien qu’elles soient capables de traiter de gros volumes de données structurées, elles ne sont pas adaptées au stockage et au traitement des données non structurées. Dans le cas des bases de données in-memory, le traitement et l’analyse se font entièrement dans la RAM, pour ne pas avoir à extraire les données d’un système sur disque. Les bases de données in-memory reposent également sur des architectures distribuées. Cela signifie qu’elles peuvent atteindre des vitesses beaucoup plus élevées en utilisant le traitement parallèle, par rapport aux modèles de base de données sur disque à un seul nœud.


Fonctionnement du Big Data

Le Big Data remplit ses fonctions lorsque son analyse fournit des informations pertinentes et exploitables qui améliorent l’activité de manière significative. Pour se préparer à la transition vers le Big Data, les entreprises doivent s’assurer que leurs systèmes et processus sont en mesure de collecter, de stocker et d’analyser le Big Data.

Illustration du fonctionnement du Big Data : collecter le Big Data, stocker le Big Data, Analyser le Big Data

  1. Collecter le Big Data.Une grande partie du Big Data est constituée d’énormes ensembles de données non structurées qui émanent de sources disparates et incohérentes. Les bases de données traditionnelles sur disque et les mécanismes d’intégration des données ne sont pas suffisamment performants pour les gérer. La gestion du Big Data requiert des solutions de base de données in-memory et des solutions logicielles spécifiques de l’acquisition de ce type de données.
  2. Stocker le Big Data.Comme son nom l’indique, le Big Data est volumineux. De nombreuses entreprises utilisent des solutions de stockage sur site pour leurs données existantes et espèrent réaliser des économies en réutilisant ces référentiels pour traiter le Big Data. Toutefois, le Big Data est plus performant lorsqu’il n’est pas soumis à des contraintes de taille et de mémoire. Les entreprises qui n’intègrent pas dès le départ des solutions de stockage Cloud dans leurs modèles de Big Data le regrettent souvent quelques mois plus tard.
  3. Analyser le Big Data. Il est impossible d’exploiter pleinement le potentiel du Big Data sans utiliser les technologies d’IA et de machine learning pour l’analyser. L’un des cinq V du Big Data est la « vitesse ». Pour être utiles et exploitables, les informations du Big Data doivent être générées rapidement. Les processus d’analyse doivent s’auto-optimiser et tirer régulièrement profit de l’expérience, un objectif qui ne peut être atteint qu’avec l’IA et les technologies modernes de bases de données.

Applications du Big Data

La visibilité offerte par le Big Data est bénéfique à la plupart des entreprises ou secteurs d’activité. Cependant, ce sont les grandes entreprises aux missions opérationnelles complexes qui en tirent souvent le meilleur parti.

Finance

Dans le Journal of Big Data, une étude de 2020 souligne que le Big Data « joue un rôle important dans l’évolution du secteur des services financiers, en particulier dans le commerce et les investissements, la réforme fiscale, la détection et les enquêtes en matière de fraude, l’analyse des risques et l’automatisation ». Le Big Data a également contribué à transformer le secteur financier en analysant les données et les commentaires des clients pour obtenir les informations nécessaires à l’amélioration de la satisfaction et de l’expérience client. Les ensembles de données altérables figurent parmi les plus importants et les plus évolutifs au monde. L’adoption croissante de solutions avancées de gestion du Big Data permettra aux banques et aux établissements financiers de protéger ces données et de les utiliser d’une manière qui bénéficie à la fois au client et à l’entreprise.

Hygiène et santé
publique

L’analyse du Big Data permet aux professionnels de santé d’établir des diagnostics plus précis, fondés sur des données avérées. De plus, le Big Data aide les administrateurs d’hôpitaux à identifier les tendances, à gérer les risques et à limiter les dépenses inutiles, afin de consacrer le maximum de fonds aux soins des patients et à la recherche. En cette période de pandémie, les chercheurs du monde entier s’efforcent de traiter et de gérer au mieux la COVID-19, et le Big Data joue un rôle fondamental dans ce processus. Un article de juillet 2020 paru dans The Scientist explique comment des équipes médicales ont pu collaborer et analyser le Big Data afin de lutter contre le coronavirus : « Nous pourrions transformer la science clinique en exploitant les outils et les ressources du Big Data et de la science des données d’une manière que nous pensions impossible ».

Transport et logistique

L’« effet Amazon » est un terme qui définit la manière dont Amazon a fait de la livraison en un jour la nouvelle norme, les clients exigeant désormais la même vitesse d’expédition pour tout ce qu’ils commandent en ligne. Le magazine Entrepreneur souligne qu’en raison de l’effet Amazon, « la course logistique au dernier kilomètre ne fera que s’intensifier ». Les entreprises du secteur s’appuient de plus en plus sur l’analyse du Big Data pour optimiser la planification des itinéraires, la consolidation des charges et les mesures d’efficacité énergétique.

Éducation

Depuis l’apparition de la pandémie, les établissements d’enseignement du monde entier ont dû réinventer leurs programmes d’études et leurs méthodes d’enseignement afin de faciliter l’apprentissage à distance. L’un des principaux défis a été de trouver des moyens fiables d’analyser et d’évaluer la performance des étudiants et l’efficacité globale des méthodes d’enseignement en ligne. Un article paru en 2020 au sujet de l’impact du Big Data sur la formation et l’apprentissage en ligne indique, au sujet des enseignants, que « le Big Data les aide à gagner en confiance pour personnaliser l’enseignement, développer l’apprentissage mixte, transformer les systèmes d’évaluation et promouvoir l’apprentissage continu ».

Énergie et services publics

Selon le U.S. Bureau of Labor Statistics, le service public consacre plus de 1,4 milliard de dollars aux relevés de compteurs et s’appuie généralement sur des compteurs analogiques et des lectures manuelles peu fréquentes. Les relevés de compteurs intelligents fournissent des données numériques plusieurs fois par jour et, grâce à l’analyse du Big Data, ces informations permettent d’accroître l’efficacité de la consommation énergétique, ainsi que la précision des prix et des prévisions. En outre, lorsque les agents n’ont plus à se charger des relevés de compteurs, la saisie et l’analyse des données peuvent permettre de les réaffecter plus rapidement là où les réparations et les mises à niveau sont les plus urgentes.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

SAP annonce ce jour que l’équipementier automobile Faurecia a choisi SAP et SuccessFactors pour l’accompagner dans la digitalisation de ses processus RH afin de valoriser le potentiel de ses employés tout en leur permettant d’évoluer dans leur carrière de manière proactive.

Avec ses 266 sites industriels, 39 centres de R&D et ses 114 000 employés présents dans 35 pays, Faurecia est l’un des dix premiers équipementiers automobiles mondiaux proposant des solutions pour la Mobilité Durable et le Cockpit du Futur.

Simplifier les processus RH et développer les talents

Le SIRH de Faurecia s’est construit sur la base du développement de l’entreprise et des acquisitions externes, comptant jusqu’à 65 systèmes de paie différents.

Pour offrir un nouvelle expérience collaborateur, Faurecia a décidé de centraliser toutes ses données RH et la gestion de la paie en un unique endroit et une seule interface. L’objectif : promouvoir le développement individuel et profiter d’un panorama complet des processus RH qu’il s’agisse de la formation, la définition des objectifs et l’évaluation des performances des collaborateurs, la gestion des salaires et du personnel.

En choisissant SAP SuccessFactors, Faurecia a fait le choix d’un système collaboratif et accessible qui accompagne le développement du potentiel des collaborateurs par la formation, le management direct et les ressources humaines.

Des collaborateurs acteurs de leur carrière

Grâce à l’implémentation de la solution SAP SuccessFactors, Faurecia dispose d’un accès aux évaluations de performance et aux modèles de compétences de ses employés dans le monde entier, afin de leur proposer des formations adaptées à leurs objectifs et parcours professionnel. Cela offre aux managers la possibilité de mieux accompagner les salariés dans leur développement et leurs évolutions de carrière.

La mise en place de SAP SuccessFactors a permis à l’entreprise de profiter d’une source de donnée unique et d’une solution de paie intégrée facilitant de suivi des processus RH et la gestion de l’architecture du SIRH. Les informations RH sont dorénavant centralisées en un même endroit et accessibles en temps réel. Avec SAP SuccessFactors Mobile App, les managers peuvent organiser des entretiens à tout moment, depuis leur téléphone, avec tous les renseignements nécessaires sur le candidat. Grâce à l’intégration de SAP On-Prem Payroll et de Employees Central, le Groupe bénéficie de données de meilleure qualité et de l’enregistrement automatisé des informations RH.

Très bien accueillie par l’ensemble des collaborateurs grâce à une communication régulière, la solution est aujourd’hui pleinement adoptée par l’ensemble des acteurs de l’entreprise.

« SAP SuccessFactors a complètement changé la manière de promouvoir la formation en interne. Aujourd’hui, les employés peuvent d’eux-mêmes avoir accès au catalogue de formations et être pleinement acteur de leur développement professionnel. Nous profitons également de données plus qualitatives grâce à un système unique pour la paie et pour tous les processus RH facilitant ainsi notre visibilité sur le parcours des collaborateurs », explique Laurent Villemagne, Vice President, Group HR Information Systems & Controlling.

À propos de Faurecia

Fondé en 1997, Faurecia est devenu un acteur majeur de l’industrie automobile mondiale. Avec 266 sites industriels, 39 centres de R&D et 114 000 collaborateurs répartis dans 35 pays, Faurecia est un leader mondial dans ses quatre domaines d’activités : Seating, Interiors, Clarion Electronics et Clean Mobility. Son offre technologique forte fournit aux constructeurs automobiles des solutions pour le Cockpit du futur et la Mobilité durable. En 2020, le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 14,7 milliards d’euros.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse :

Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11– presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

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Source de l’article sur sap.com

Le changement climatique est un sujet brûlant. Pour y remédier, tous les pays du monde se doivent d’agir et de mener des actions coordonnées. Depuis plus de 10 ans, SAP s’emploie à agir contre le changement climatique. L’éditeur a fixé ses premiers objectifs de baisse des émissions de CO2 dès 2009. Bien qu’il ait une nouvelle fois été classé numéro 1 des éditeurs de logiciels dans les indices de durabilité du Dow Jones cette année, le plus dur reste à accomplir.

Dans le cadre du mouvement #FridaysForFuture, des milliers d’étudiants descendent dans la rue chaque vendredi pour manifester en faveur de la protection du climat. Le rapport annuel sur l’écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions qui vient d’être publié a tiré une autre sonnette d’alarme avant la conférence sur le climat de cette semaine. En comparant la tendance des émissions de gaz à effet de serre à leur niveau souhaitable, le rapport souligne que ces émissions doivent baisser de 7,6 % par an sur la prochaine décennie pour que l’humanité parvienne à contenir l’élévation des températures du globe à 1,5 °C. Un réchauffement supérieur à 1,5 degré entraînerait des phénomènes climatiques plus fréquents et plus intenses, à l’image des vagues de chaleur et des tempêtes observées ces dernières années, et ferait planer de graves menaces sur les populations, les pays, l’environnement, mais aussi les entreprises.

Favoriser l’action pour le climat via les solutions SAP

Pour lutter contre les dommages causés par le changement climatique, SAP s’appuie sur la numérisation. Ce faisant, l’éditeur aide ses clients à réduire leurs émissions de CO2 et à contribuer à l’objectif de développement durable numéro 13 des Nations unies, à savoir Mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques.

« Le principal levier de SAP se traduit par son portefeuille de produits, qui permet aux clients d’agir de manière positive sur le plan économique, environnemental et social », explique Daniel Schmid, directeur du développement durable de SAP. « Avec plus de 437 000 clients à son actif, notre entreprise dispose d’un énorme potentiel pour changer les choses. »

Une partie de ce potentiel a déjà été réalisée en collaboration avec les clients.

Lors dialogue consacré aux aspects stratégiques du développement durable qui s’est tenu au siège de SAP en septembre, Hanno Schoklitsch, fondateur et PDG de Kaiserwetter, a parlé de la façon dont son entreprise recourt à l’Internet des Objets (IdO) et l’intelligence artificielle (IA) pour accélérer la transition vers les énergies vertes. Il a présenté le dernier bilan d’ARISTOTELES, plateforme IdO optimisée par SAP Cloud Platform, qui s’appuie sur des analyses de données intelligentes et des simulations de données prédictives pour améliorer les investissements et le financement en faveur de l’efficacité énergétique.

Il est essentiel d’amplifier cet impact. En conséquence, les équipes SAP s’activent à faire évoluer les solutions SAP qui aident à transformer la mobilité urbaine et qui soutiennent les réseaux de chaîne logistique pour qu’ils gagnent en transparence, dans l’objectif de passer à une économie circulaire « zéro déchet » et de lutter contre la pollution plastique.

Donner l’exemple : efforts consentis en interne

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Tout en cherchant à élaborer des produits et services qui aident les clients à déployer des modèles économiques durables, SAP s’engage à réduire ses propres émissions de gaz à effet de serre. Des mesures ont déjà été mises en place pour atteindre cet objectif.

SAP s’est fixé l’objectif de réduire de 85 % ses émissions de CO2 tout au long de la chaîne de création de valeur d’ici 2050, un objectif qui s’inscrit dans l’initiative « Science Based Targets ». Dans ce cadre-là, l’éditeur a récemment renforcé son engagement en adoptant les objectifs de réduction des émissions de 1,5 ºC dans l’optique d’une future neutralité carbone. Pour atteindre la neutralité carbone dans ses propres activités d’ici 2025, SAP s’appuie sur une stratégie en trois volets : éviterréduirecompenser.

  • Éviter : dans la mesure du possible, SAP s’emploie à éviter les émissions de gaz à effet de serre. Il s’agit d’une priorité absolue, qui passe par exemple par le recours aux télécommunications virtuelles en lieu et place des vols d’affaires.
  • Réduire : au cas où les émissions de gaz à effet de serre ne pourraient pas être évitées, SAP cherche à renforcer l’efficacité et réduire tous les types d’émissions, par exemple avec l’efficacité énergétique des bâtiments, les opérations des centres de données, le covoiturage, l’autopartage et la mobilité connectée.
  • Compenser : SAP a élargi ses modèles de compensation des déplacements professionnels. Dans le cas des vols d’affaires, un prix interne du carbone a été établi pour compenser les émissions de CO2, et SAP a émis des cartes de carburant neutres en carbone pour toutes les voitures de fonction.

En 2009, SAP s’est fixé l’objectif de ramener les émissions de gaz à effet de serre aux niveaux de 2000 d’ici 2020. Ce résultat a été atteint dès la fin 2017 alors que les effectifs de SAP ont été multipliés par quatre au cours de cette période. L’année dernière, SAP a fait tomber ses émissions à 310 kilotonnes, dépassant ainsi son objectif annuel de réduire le nombre de ses émissions de CO2 à moins de 333 kilotonnes. Les chiffres exacts sont disponibles dans le rapport intégré annuel. En outre, un tableau de bord interne de durabilité permet aux employés de découvrir la répartition de ces rejets par pays, par site et par secteur d’activité.

Tous les centres de données et établissements SAP fonctionnent aux énergies vertes depuis 2014. En outre, SAP introduit progressivement un système de management environnemental conforme à la norme ISO 14001 sur les sites SAP du monde entier.  En 2019, 55 sites SAP avaient déjà obtenu la certification ISO 14001.  Un système de management de l’énergie certifié ISO 50001 est intégré aux systèmes de gestion existants de certains sites, tels que le siège de SAP à Walldorf et St. Leon-Rot, pour améliorer en continu la performance énergétique de l’entreprise.

La mobilité joue également un rôle clé dans la lutte contre le changement climatique. C’est la raison pour laquelle le profil des employés qui font la navette entre domicile et lieu de travail est pris en compte dans le calcul des émissions de CO2 de SAP. Avec son large éventail de voitures électriques, à ses systèmes de transport public spéciaux ainsi qu’à son vif soutien du vélo et du covoiturage, SAP propose différents moyens de se déplacer et de voyager de manière durable. Les résultats de l’enquête 2018 sur les trajets domicile-travail ont révélé une tendance positive : en 2018, les émissions quotidiennes de CO2 en lien avec ces trajets ont diminué de 4,7 % par rapport à l’année précédente. L’utilisation de la voiture a baissé de 5 %, celle des transports publics est restée stable et le recours au vélo a augmenté de 15 %. Le travail à domicile a progressé de 11 % d’une année sur l’autre.

Si les émissions de CO2 ne peuvent être évitées ou réduites, auquel cas SAP investit dans des projets de compensation d’émissions et reçoit en retour des crédits carbone des projets sponsorisés. L’accent est mis sur des projets ambitieux, tels que le Fonds Livelihoods qui conjugue reboisement et amélioration des moyens de subsistance des communautés rurales et satisfait aux critères du label GOLD standard du WWF (World Wide Fund for Nature). À ce jour, 2,3 millions d’arbres ont été plantés, dont 1 million entre 2018 et 2019, par exemple, dans le cadre du projet « Réserve de forêt de Kikonda » en Ouganda.

Agir au niveau individuel

Chacun de nous, nous pouvons de bien des façons changer les choses, tant dans notre vie personnelle que professionnelle. Les employés de SAP sont désireux d’apporter une contribution positive. Selon l’enquête annuelle menée auprès du personnel, 93 % des employés conviennent qu’il est important pour SAP de poursuivre sa stratégie de développement durable. Plus de 200 personnes s’engagent comme défenseurs du développement durable au sein d’un réseau mondial pour encourager le changement et inspirer leurs collègues.

Le programme SAP Next-Gen, mis en place en collaboration avec les laboratoires d’innovation technologique de l’ONU, soutient une série de hackathons en faveur de l’action climat, Reboot the Earth, dont la finale aura lieu lors du sommet pour le climat à New York prévu en septembre prochain. De nombreux employés de SAP sur différents sites se sont portés volontaires pour jouer le rôle de juges dans les concours locaux.

Les lignes directrices de la programmation durable compilées par l’équipe Performance and Scalability de SAP ont également valeur d’exemple. Selon Detlef Thom, expert produit SAP en développement : « Pour les développeurs de logiciels et les architectes, appuyer le développement durable et contribuer à l’informatique écoresponsable implique de concevoir des programmes logiciels qui utilisent efficacement les ressources informatiques tout en économisant de l’énergie. Cela devient encore plus impératif si l’on tient compte du grand nombre de transactions commerciales que gère un système SAP à l’échelle mondiale. »

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Source de l’article sur sap.com

Un an après l’annonce de la pandémie par l’Organisation mondiale de la santé, la COVID-19 fait toujours la une de l’actualité dans le monde. Fermeture des écoles, des universités et des jardins d’enfants, report ou annulation d’événements, interdictions de voyage, confinement de villes et de régions entières, chute des marchés mondiaux… Le coronavirus bouleverse notre quotidien et nous rappelle à quel point notre monde est volatil.

Parallèlement, les effets positifs de la pandémie sur l’environnement nous ont montré qu’il était possible d’agir rapidement. Les avions cloués au sol, la baisse de fréquentation sur les routes et la fermeture des usines ont fait chuter les émissions mondiales de dioxyde de carbone à des niveaux jamais atteints depuis 2006 lors du confinement d’avril 2020. Sept grandes villes internationales, dont New Delhi, São Paulo et New York, ont connu une réduction de 25 à 60 % des particules fines pendant cette période de confinement, selon IQAir. En Chine, la COVID-19 a fait chuter les émissions de CO2 de 200 millions de tonnes depuis le début de l’épidémie, ce qui équivaut à plus de 10 % des émissions mondiales.

Cela n’atténue en rien le coût humain de l’épidémie. Les décès, les mesures de quarantaine, les difficultés financières des entreprises et des ménages n’en sont que quelques-unes des conséquences. Dans le même temps, cette crise a mis en évidence le fait que nous pouvions agir massivement et rapidement en faveur du climat.

Nous sommes à un tournant. Selon les prévisions de l’Organisation météorologique mondiale, il y a 20 % de probabilité que les températures mondiales soient de 1,5 °C supérieures à la moyenne enregistrée à l’époque préindustrielle entre 2020 et 2024 au minimum pendant un an. Ce seuil de 1,5°C est le niveau de réchauffement climatique que les pays se sont engagés à contenir lors de l’Accord de Paris de 2015. Même si un nouveau pic annuel peut être suivi de plusieurs années de températures en moyenne plus douces, le non-respect de ce seuil serait une preuve supplémentaire que les mesures internationales de lutte contre le changement climatique ne fonctionnent pas.

Nous ne pouvons ni ignorer la pandémie et son impact, ni continuer à ignorer le changement climatique et la contribution de nos entreprises. Quatre-vingt-cinq pour cent des entreprises qui émettent le plus de CO2 utilisent SAP pour gérer leurs processus, ce qui représente une formidable opportunité. Les technologies numériques peuvent contribuer à réduire massivement les émissions de CO2 dans des secteurs majeurs tels que les services publics, l’agriculture et les transports. Ces réductions d’émissions pourraient potentiellement équivaloir à planter 500 milliards d’arbres. Imaginez l’impact si tous les secteurs agissaient ensemble !

Le développement durable combine la vision de l’entreprise intelligente et l’objectif de SAP de créer un monde meilleur et d’améliorer la vie des individus de la manière la plus naturelle qui soit. Il nous offre également une occasion unique de créer un impact durable et positif pour les générations futures. En 2009, SAP s’était engagée à ramener ses émissions de gaz à effet de serre à leurs niveaux de 2000 à l’horizon 2020. Nous avons atteint cet objectif deux ans plus tôt, tout en multipliant par quatre nos effectifs. Nous prenons l’engagement d’atteindre la carboneutralité d’ici 2025 et, malgré une forte croissance, nous sommes parvenus à réduire notre empreinte carbone nette au cours des cinq dernières années. Nous avons récemment été classés leader du secteur des logiciels dans les indices de durabilité du Dow Jones pour la 14ème année consécutive.

Nous poursuivons non seulement nos propres objectifs climatiques, mais nous voulons aider nos clients à repenser leur stratégie pour atteindre leurs objectifs de durabilité. Dans le cadre de la transition vers de nouveaux modèles de gestion durables, SAP dispose d’une équipe d’experts en solutions et services d’innovation qui aide les clients à surmonter les perturbations et à transformer leurs activités par le biais de l’innovation, grâce à des technologies intelligentes telles que l’Internet des Objets (IoT), l’apprentissage automatique, l’intelligence artificielle (IA), la technologie blockchain et l’analyse étendue des données.  Nous aidons les entreprises à suivre leurs émissions de CO2, des chaînes logistiques en amont jusqu’à la logistique en aval, y compris l’approvisionnement, les opérations et la fabrication.

Aujourd’hui, nous allons encore plus loin en développant des solutions qui permettent à nos clients de mesurer et de réduire leurs émissions dans l’intégralité de leur chaîne de valeur. Nous voulons intégrer la durabilité comme nouvelle dimension de réussite dans les applications analytiques et transactionnelles. Ou, comme le dit si justement mon collègue Thomas Saueressig : nous ajoutons une « ligne verte » au chiffre d’affaires et au résultat net pour mesurer la performance d’une entreprise.

En ce début d’année, nous procédons à des essais auprès de clients issus de secteurs tels que l’automobile, l’industrie des produits chimiques, l’industrie alimentaire et l’ingénierie. SAP Product Carbon Footprint Analytics est la première solution disponible sur le marché et notre client Doehler est le premier à l’adopter. D’autres solutions seront bientôt disponibles. Restez à l’écoute pour en savoir plus !

Nous voulons aider nos clients à repenser leur stratégie en matière de développement durable. Nous créons de la valeur en les aidant à atteindre leurs objectifs en matière d’émissions, et nous les aidons à prendre des décisions commerciales responsables tout en tenant compte de la durabilité. Nos clients pourront simuler les effets d’options d’investissement durable, de décisions opérationnelles et de la gestion des ressources naturelles et sociales, comme n’importe quelle autre ressource d’entreprise.

Avec ces mesures, SAP franchit un nouveau cap dans la transformation de ses clients en entreprises intelligentes durables, en prouvant que l’entreprise intelligente peut rendre la durabilité rentable et la rentabilité durable.

Christian Klein est le PDG de SAP.
Cet article est initialement paru sur LinkedIn.

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Source de l’article sur sap.com

Who is Grammarly for? Can a grammar checking tool like Grammarly replace a human editor and proofreader? Is the Grammarly checker worth it? Are the Grammarly free checks sufficient for me, or should I upgrade to Grammarly Premium? Should I install Grammarly on Chrome? How effective is Grammarly for Word? Is downloading the Grammarly desktop app worth it? You have questions…all of which we’re going to answer.

I have been using Grammarly regularly for proofreading my documents and emails since 2015 and have witnessed its evolution as a product firsthand. After checking over three million words during this period, I can confidently say that Grammarly has come a long way. Raising $200M in total funding at a valuation of $1B+ so far, and with more than a million downloads per month, Grammarly is now a top-1000 website by traffic worldwide.

I write a lot, so Grammarly has been my go-to writing assistant for correcting passages and enhancing my writing. I first tried the Free version, and in May 2020, I upgraded to the Premium version, finally! Grammarly Premium is a great tool that takes care of most of your writing, proofreading, and plagiarism-checking needs for intensive work.

In this article, I’ll explain what Grammarly is, its features, what it does (functions of all versions and products), the pros and cons of using Grammarly, my rating of Grammarly, who should use the Free version, and who should use the Premium version and the difference between the two. I’ll also explain how to use Grammarly properly. I’ll then compare it with other popular tools and suggest which ones suit your needs. In the end, I’ll leave you with my final assessment and FAQs.

What is Grammarly?

Grammarly is an online digital writing assistant that checks for a range of English grammar and spelling mistakes. It also helps enhance the writing through its excellent context-based clarity suggestions (Premium version).

Grammarly is a writing aid that checks not only for spelling slights, grammar rules, and clarity issues but also identifies the tone of the writing to provide relevant instructions through its Error Cards. It also has a plagiarism checking tool, which is available with the Premium version.

Grammarly employs AI (Artificial Intelligence) and NLP (Natural Language Processing) to check the content for all possible syntactic and semantic issues. Although it has an extensive database, it is still incomparable to human proofreading and professional editing, especially when it comes to understanding the context of the writing.

Grammarly Overview For Beginners – Compatible, Accessible

Grammarly is astonishingly easy to use, primarily due to its compatibility via the Browser Extension/Add-on, from which you can use it on millions of websites. Moreover, its other product forms, i.e., the Online Editor (Web App), Desktop Application, MS Word/Outlook Add-in, and the Grammarly Keyboard for iOS/Android, make it accessible everywhere.

How Does Grammarly Work?

It automatically detects issues in the content in the Desktop App, the Online Editor, and the browser (even in Google Docs, which is in Beta at this time) via its add-on. Yet, for the MS Word Add-in, you have to click the Grammarly button to activate the app. Grammarly explains all detected issues via an Error Card that contains relevant information for each item. You can implement it by clicking the suggestion, ‘Ignore’ the problem, or ‘Add to Dictionary’ (in case of a spelling issue). You can also provide feedback (if you think that the suggestion is wrong). The Free version checks only for spelling and critical grammar mistakes. The Premium version also reveals a ton of advanced ‘Clarity Issues.’

The Tone Detector helps you estimate the entire document’s tone, which can be valuable for many writers who target a particular audience, e.g., formal writing for the business audience.

Limitations of Grammarly (For Beginners)

Grammarly, overall, excels at almost all the things it does, and therefore the free version is recommended for everyone. Grammarly provides a generic readability score. Advanced grammar checks like the clarity checker, the plagiarism checker, and many other features are not available for the free version.

Grammarly is dominant amongst its competition, but it doesn’t solve all English language problems. It is useful at picking syntactic mistakes but still misses significant semantic errors, which can be a problem for people who are not particularly adept at English — as they won’t notice these slips.

The Good The Bad & The Ugly
Ease of use – simple, intuitive, and efficient interface English language only Tad expensive (notably the monthly subscription at $29.95 per month)
Context-based grammar checking Not 100% accurate (primarily misses linguistic bloopers) No free trial for the premium version.
Fantastic grammar checker Business account starts at three users and charges per number of users (can be a bit expensive for small businesses) Only one account (license) for the premium version. You can use it on up to five devices.
Convenient tone detector Insufficient as a standalone tool (doesn’t do everything) Incomplete sentences can sometimes go undetected
The insightful error cards are instructional and productive (they help you to improve your writing) Unlike ProWritingAid and Hemmingway Editor, it doesn’t provide much information about the whole passage, Grammarly’s scoring is generic right now No substitutes are suggested in many cases. Example: synonyms, rephrasing suggestions for the intricate text, etc.
Integrates well with MS Word, Outlook, WordPress, emails, social media, and millions of websites The free version is limited to fundamental grammar and spelling mistakes Cannot determine contextually incorrect sentences (it cannot perceive the meaning of the written document)
Knowledge-base The premium version identifies repeated words but sometimes doesn’t provide a suitable alternative to use Short on vocabulary suggestions (not as competent as the free thesaurus writing tool)
The Grammarly keyboard is available for Android & iOS for FREE Free version shows the number of advanced clarity mistakes but doesn’t tell you what those mistakes are and where they are The formatting tool is rudimentary. You have to write in another text editor and then import it to the Grammarly Editor to format your writing accurately
Personal dictionary Google Docs is not supported yet (in Beta). Restricted to English only, and it also doesn’t translate other languages as Ginger does.
The adjust goal option allows you to customize Grammarly’s feedback. It can miss simple semantic issues, which sometimes can be caught by text editors like Google Docs and MS Word.
Formatting remains the same if you import/upload a document, but it changes if you copy/paste. Plagiarism Detector is not available for the free version.
Weekly writing stats (sent to user email) can help you identify your problem areas The browser extension can malfunction, i.e., opening and closing the Grammarly editor within a website (sometimes) duplicates the content
Option to download the detailed performance statistics as a PDF Sometimes Grammarly doesn’t catch all mistakes on the first try. You have to refresh or scroll to let it run again and see if it finds new issues
Grammarly blog teaches English grammar rules, writing techniques, and more
Context-based checker is more accurate than competitors
Provides rephrasing suggestions for complicated sentences
The premium version excels at catching inconsistencies

Who Should Use Grammarly?

Free:

Everyone

Despite being limited, Grammarly (free version) is a phenomenal tool. Therefore, I would heartily recommend it to everyone. It’s free, and it’s convenient.

The free version should be everyone’s go-to tool for proofreading social media statuses, tweets, and comments. It is also crucial for editing all sorts of short-form writing, such as emails. Professional writers can also use the free version to catch typos and basic grammar mistakes.

Premium:

  • Professional Writers
  • Authors
  • Bloggers
  • Students
  • Businesses that require extensive writing
  • Marketers/Advertisers
  • Content Creators
  • Editors and Proofreaders

Apart from all the necessary features offered in the Grammarly free version, Grammarly Premium provides several other valuable elements such as an advanced clarity checker and a robust plagiarism checker. All these help you enhance your writing effectively.

Grammarly Premium is a helpful tool for people who are already adept at English as it still requires plenty of work on catching semantic errors. Businesses and Professional writers who do intensive writing should give the Premium version a go. From writing, editing, and proofreading to plagiarism checking, it is almost an All-in-One solution (though not a substitute for a human proofreader – at least yet).

Who Shouldn’t Use Grammarly?

Free:

  • Students
  • English Learners

People, especially students who cannot learn from their mistakes, should avoid relying on Grammarly as it can hinder their learning process.

Granted, Instructional Error Cards and Weekly Writing Stats (emailed to the user) can pinpoint your weak points, but educating yourself from there on is entirely up to you.

Just like ‘Auto-correct’ hinders people’s ability to learn proper spellings, Grammarly can do that for learning grammar rules.

Premium:

  • Amateur Writers
  • Infrequent Users

Grammarly is an excellent tool, but it still makes slips, which can be misleading for amateurs who don’t have a solid grip on the English language. Therefore, if you are not proficient enough in English, you should only subscribe to Grammarly Premium if you can remember that it is not a replacement for a human teacher or a proofreader. Or, you can continue using the Free version, which is competent enough to check fundamental grammar and spelling oversights.

Furthermore, businesses and professionals who are infrequent users can stick to the Free version if they feel they will not be making the most of the Premium version.

Grammarly vs. Basic Text Editors

A comparison with basic text editors will illustrate Grammarly’s true potential:

Microsoft Word

Microsoft Word is the most popular and feature-packed text editor. It includes a basic grammar and spelling checker that catches typos in real-time. However, MS Word is very limited in its grammar checking capabilities.

I’ve written many articles using Microsoft Word, which were considered error-free by the text editor. However, when I put the same documents in Grammarly’s Editor, there’d always be some critical mistakes caught by the Free version and some clarity or consistency mistakes pointed out by the Premium version.

Grammarly finds inconsistent punctuation that MS Word missed.

Google Docs

Google Docs is another mighty text editor, which is free to use. It also has numerous features, including spelling and grammar checking. Google Docs’ grammar and spelling check software only flag issues with an alternative in its database; otherwise, it ignores them. It auto-corrects the obvious spelling blunders. It can also pick missing determiners (articles) better than Microsoft Word. However, once again, when compared to Grammarly, Google Docs falls far behind in exposing slip-ups.

Grammarly in Google Docs.

Google Docs performs a little better than MS Word when it comes to punctuation, yet it is incomparable to Grammarly, which is in Beta for Google Docs.

How to Write Better With Grammarly

Grammarly proofreads content written in English (American, British, Australian, and Canadian) and gives detailed performance statistics. Weekly Writing Statistics are emailed to the user account, and you can download a complete PDF that extensively illustrates your performance.

From scoring to pointing out all mistakes and amendments, Grammarly doles out a comprehensive document that you can use to improve your weak areas. Grammarly can function as your teacher in this regard if you learn from these mistakes and try to improve your performance, especially in areas pointed out by the software.

Try Grammarly for yourself.

All Grammarly Products

Grammarly is available in the following product versions:

  1. Grammarly for Business (3 or more users)
  2. Grammarly @edu (for Educational Organizations/Institutes)
  3. Grammarly Premium
  4. Grammarly Free

All these versions are usable in the following product forms:

1. Online Editor

Grammarly’s web application acts as an online editor to upload a document, copy/paste content, or write directly. It has a 4MB size-limit and a 100,000 characters-limit (about 60 pages). When you upload a file, a pop-up tells you that your document formatting will restore when downloaded.

Grammarly’s interface for the online version and the desktop app is identical, and it is outstandingly intuitive and accessible. A dedicated writing assistant panel on the right side contains valuable information and choosable options. It also lists and categorizes all the errors found.

A bar at the bottom contains a few formatting options and some length-related info about the passage.

2. Browser Extension

Typing in any online text editor activates the ’Grammar and Spelling Checker’ when the extension is on. It underlines (in red) all the issues in real-time. Hovering over the problem pops up an Error Card that contains corrections and more information about the mistake.

You can use the Grammarly icon at the bottom-right of online text editors to activate or deactivate the tool. This option is beneficial because sometimes you want to check your content but don’t want distractions while writing. I recommend turning on the extension after you have completed your draft and now want to begin the editing phase. You can also open the Grammarly editor within a website for added convenience.

The Grammarly add-on is available on all popular browsers – Chrome, Firefox, Safari, Edge Chromium, etc. And it is compatible with millions of websites and the web versions of many desktop applications, including WordPress, emails, social media, work platforms, and many more. Grammarly for Google Docs is in Beta right now. The Grammarly extension also gives you the option to ’Show Definitions and Synonyms via Double Click,’ which works like a dictionary within any website.

The Grammarly icon within your text editors tells you the total number of issues found on the Grammarly pop-up. However, you have to scroll through the document and find those problems yourself. It is not as efficient as the online Editor. The extension only shows the critical issues inside your online editor. It gives you the option to open the online Grammarly Editor to see the errors pointed out by the Premium version. The browser extension also works slower for lengthy content. It is convenient but only for short-form writing.

3. Desktop Application

The desktop application, like all other products, is online only and doesn’t work offline. An internet connection is necessary as Grammarly uses its database to process the document. The desktop app is identical to the online editor.

4. Microsoft Word/Outlook Add-in

You can integrate Grammarly into Microsoft Word and Outlook through their Add-in. Unlike other Grammarly product forms, the MS Word Add-in activates when clicked — otherwise, it stays dormant. When enabled, a right panel appears with suggestions, Error Cards, and statistics, just like the Online Editor and the Desktop App. Grammarly has no character limit for the MS Word Add-in.

5. The Grammarly Keyboard App

You can download Grammarly Keyboard for both Android and iOS through their respective stores. Now available for iPad as well, it is easy to use as it works like the auto-correct feature available in the smart devices. It gives suggestions when Grammarly encounters any grammar or spelling lapses.

Grammarly Pricing Plans

Grammarly is a tad expensive when purchased as a monthly subscription, which costs $29.95 per month. The quarterly ($59.95) and annual ($139.95) subscriptions offer better value for money. Through its weekly newsletter and other channels, Grammarly presents discount offers to its free users from time to time, which you can avail yourself of to get an even cheaper deal for the Grammarly Premium subscription.

Grammarly Pricing Plans for Premium Version – Monthly, Quarterly, Annual

Free

Grammarly Free is limited but still adequate for many as it gives you critical grammar and spelling checking capabilities. It is usable in all product forms.

Premium

Grammarly Premium, along with Spelling and Grammar Checker, offers an advanced Clarity Checker, Plagiarism Checker, and experimental Tone Detector. All Grammarly features are available for the Premium version.

Business

Grammarly for Business offers all the Premium features for three or more users. It also gives you an admin panel to customize your experience. You can add a personal dictionary, among other things, which will be accessible to all users. Grammarly for Business includes:

  • Individual accounts
  • Admin panel
  • Centralized billing
  • Team usage stats
  • Priority email support
  • Single sign-on

Grammarly Business Pricing Example

Grammarly @Edu

Grammarly @Edu is also an available option, of which educational institutes and organizations can avail themselves. It caters to a large number of accounts, as it targets students.

Grammarly Features

UI

Grammarly has hands-down the best interface among all the writing assistants. It is incredibly intuitive and user-friendly.

Compatibility

Grammarly integrates with millions of sites and text editors. It is also compatible with MS Word (both for Windows and Mac) and Outlook via an Add-in. It is still in Beta for Google Docs.

Grammarly is incompatible with some desktop apps, but you can use Grammarly in their web versions.

Supported Document Formats

For products where you can upload text documents, the supported document formats are: .docx, .rtf, .odt, .txt.

Languages

Grammarly is restricted to English only, including American, British, Canadian, and Australian English. Grammarly doesn’t support foreign language phrases, translation, etc., at the moment.

Grammarly Functions

Spelling Checker

Grammarly checks for spelling mistakes based on context. It is excellent at differentiating between commonly misspelled words. It can also tell Common and Proper Nouns apart (in most cases).

Grammar Checker

All Grammarly products on all plans help you check for grammatical errors and syntax issues in the provided document in real-time.

Plagiarism Checker

The Plagiarism Checker is not available for the free version. When I inquired about plagiarism in hard copy, patch plagiarism, and ProQuest, here’s what Grammarly Support had to say:

“We teamed up with ProQuest to provide even more accurate plagiarism checks: currently, Grammarly’s plagiarism checker searches major proprietary databases along with over 16 billion web pages. You can check ProQuest libraries here http://www.proquest.com/libraries/academic/databases/.

Please note that Grammarly catches verbatim plagiarism and slightly modified text that can be classified as unoriginal. As comprehensive as our algorithms are, significantly rephrased text oftentimes can’t be traced back to its source.”

Note: I checked this document with both; Grammarly Plagiarism Checker is not as robust as Copyscape, but it’s catching up fast.

Tone Detector

It detects a variety of tones based on the context of the given passage.

Grammarly Tone Detector

Clarity Checker

Grammarly checks for advanced issues for the Premium, Education, and Business versions. The Free version checks for limited conciseness; the rest is available on the Premium version only.

Grammarly Support

Grammarly offers support via its extensive, well-written, and user-oriented knowledge-base. Grammarly also provides support via email (24/7 for the Business version) if you can’t find a relevant answer in the knowledge-base.

Moreover, the Grammarly Blog teaches, among other useful things, the proper use of grammar in English.

Grammarly Blog

The Grammarly Blog teaches the rules of English grammar and gives tips on writing. It also specializes in teaching about the most common blunders, which are also a strong suit of the application.

Detailed Performance Statistics

You can view the ‘Statistics Summary Card’ by clicking the ‘See Performance’ button. Or you can download the detailed statistics via the Download PDF Report option. These statistics are in-depth and contain exhaustive information regarding the whole document, including your score, errors, reading time, speaking time, and more.

Grammarly Performance Stats

Adjust Goals

You can customize Grammarly’s feedback according to your needs. This option gives you an adjustable chart where you can set your preferences according to your needs. It helps with the document’s tone, the difficulty level depending on the target audience, and more.

Grammarly Adjust Goals

Get Expert Writing Help

Grammarly gives you the option to get your work checked by experts. It’s a particularly convenient option for those who cannot or do not want to rely on their proofreading skills better than finding and hiring someone yourself.

Grammarly Expert Writing Help

Is Grammarly Really Free to Use?

Grammarly has a free version with a powerful-enough spelling and grammar checker. It is available in all product forms – Online Editor, Browser Extension, Desktop Application, and Word Add-in. The Free version checks for up to 150 grammar rules.

It is superb at uncovering elementary grammar fallacies due to its context-based checking, powered by its robust AI and NLP software.

The Free version doesn’t show clarity issues. It reveals the number of clarity issues in the content, but it doesn’t tell you what and where those issues are.

Is Grammarly Premium Worth The Cost?

The Premium version shows advanced grammar issues such as clarity, conciseness, dangling modifiers, squinting modifiers, monotonous sentences, intricate text, split infinitives, and many more. It checks for over 400 rules of English grammar, far more than the Free version. Grammarly Premium also has a plagiarism checker within the interface, which is mighty-enough for online plagiarism checking.

Grammar Checks

When you run some text through any version and product form of the app, Grammarly will process the document for the following:

  1. Sensitivity
  2. Determiners
  3. Voice
  4. Conciseness
  5. Conjunctions
  6. References
  7. Nouns
  8. Fluency
  9. Word order
  10. Spelling
  11. Conventions
  12. Syntax
  13. Variety
  14. Formality
  15. Pronouns
  16. Prepositions
  17. Verbs
  18. Numerals
  19. Punctuation
  20. Modifiers
  21. Consistency
  22. Correctness
  23. Clarity
  24. Delivery
  25. Readability
  26. Engagement

However, Grammarly will not point out many of these mistakes for the Free version. It will only tell you the number of such problems in your content.

Grammarly Checklist

Grammarly Free in Action:

Let’s see some examples.

Verbs

Grammarly detecting the wrong form of a verb.

Context-Based Checking

Grammarly Context-Based Checking

Capitalized Words

Grammarly detects unknown words, and if you capitalize them, it considers them proper nouns. It can also miss the incorrect use of a term if you spell it correctly and put it within commas.

Grammarly while dealing with proper nouns, capitalization, and unknown words

Phrases vs. Sentences

Grammarly can differentiate between phrases and sentences. Therefore, you can write headings and subheadings in the form of expression.

Grammarly differentiating between sentences and phrases

Multiple Mistakes in One Sentence

Grammarly catching multiple mistakes in one sentence

Determiners

Grammarly pointing out the wrong determiner-article use

Incomplete Sentences

The Grammarly algorithm is not good enough yet at recognizing incomplete sentences. Grammarly is far from perfect, as evident from these examples. Google Docs suggested ’was because’ for the last line instead of ’is because,’ but Grammarly missed that.

Grammarly can miss incomplete sentences.

Grammarly is only making one suggestion that the article use may be incorrect here in the below image.

Cannot detect incomplete sentences (sometimes) if other issues exist

Grammarly suggests you change the first line in the below image because it believes it’s caught a sentence fragment. You accept the suggestion, and it becomes the second line, which is, again, a sentence fragment, according to Grammarly.

Grammarly ‘sentence fragment’ suggestions

Sometimes, the suggestions are right as well.

Grammarly recognizes sentence fragments in some cases

Punctuation

Comma

Grammarly is a sniffing-hound-on-steroids when it comes to commas — both missing and wrong ones. It pinpoints the exact location where you should place a comma in a sentence. Whether it is between clauses, a list of items, or something else, Grammarly knows if you have missed a comma or placed a wrong one. It also exposes the famous “Oxford Comma.” Grammarly now points out any inconsistent punctuation (curly vs. straight commas, for example) in your articles.

Grammarly pointing out the missing Oxford Comma

Hyphen

First, it points out the missing hyphen. Once you rectify the error, it points out the wrong capitalization. Grammarly works in steps for multiple errors in a sentence.

Grammarly catching a missing hyphen.

Semi-colon & Colon

Grammarly catches the incorrect use of the semi-colon & colon.

Period

Grammarly points out a missing period

Missing Apostrophes

Grammarly can catch missing apostrophes

Grammarly Premium in Action:

Apart from correctness that checks for critical grammar mistakes, the Premium version has options to check for clarity, delivery, and engagement, along with many more correctness checks.

Clarity

Clarity check is not available for the Free version; all other versions of the app have it. It catches linguistic issues that a fundamental grammar checker cannot reveal. These include dangling modifiers, split infinitives, misuse of passive voice, intricate text, inappropriate colloquialisms, etc.

Text Inconsistencies

Grammarly Premium can detect inconsistencies and gives you the option to select one form if a word has been used inconsistently in the same document. It can also detect inconsistent punctuation, for example, curly and straight commas.

Grammarly Premium identifies text inconsistencies.

Rephrasing Suggestions

For unclear or complicated sentences where there might be an issue of a dangling modifier or something else, Grammarly suggests an alternative way to write the same sentence.

Grammarly Premium giving rephrasing suggestions

Wordy Sentences

Grammarly can also note if you have used many unnecessary words in a sentence. If there are more words and less content in a sentence, then it suggests you rephrase it. This option can help you make your content non-fluff.

Passive Voice Misuse

Grammarly is so-so at deciphering when the passive voice is right to use and when you should avoid it in a sentence. My experience is that, more often than not, it will recommend that you rewrite a sentence if it detects passive voice use anywhere.

Grammarly – always – detects passive voice use.

Intricate Text

Grammarly exposes unclear and hard-to-follow sentences in the written piece. Sometimes it gives alternatives (if one is available in its database), but usually, it only tells you to rephrase the sentence to make it more understandable.

Monotonous Sentences

If you continuously write similar sentences in a passage, Grammarly will detect these sentences’ monotonous nature and advise you to rephrase them.

Grammarly detecting a monotonous passage

Sound Confident Suggestion

Grammarly suggesting alternatives to sound confident

Politeness Suggestion

Sound more diplomatic with Grammarly!

Delivery

Grammarly Premium catches informal sentence structure like a preposition at the end of a sentence. Some other informalities include inappropriate colloquialisms, split infinitives, etc.

Grammarly points out informality.

Engagement

Grammarly Premium points out overused words and suggests using an alternative here, but sometimes it doesn’t provide suitable options like the Thesaurus Writing Tool.

Grammarly suggesting engaging alternatives

Most of the time, the suggestions are worth considering, though.

Grammarly is suggesting more engaging alternatives

Grammarly Free vs. Grammarly Premium

The Grammarly Free version catches all critical issues as it checks for 150 Grammar Rules to determine errors in a document. The Premium version looks for over 400 Grammar Rules and detects far more problems than the Free version.

I wrote an article and checked it through both the Free and the Premium versions. Here is the difference between how the stats of both look like before making the suggested changes:

Original Stats (before checking with Grammarly Free)

Original Stats (before checking with Grammarly Premium)

After editing another article and making the suggested changes, here’s how the Free version stats look like:

Grammarly Free Stats

After editing the same article using the Premium version, the stats look like the following:

Grammarly Premium Stats

Grammarly vs. Human Proofreader

Grammarly is a marvelous tool, but it is incomparable to human proofreading. Grammarly cannot detect the sense and meaning of the written text. It catches blunders using English language and grammar rules as efficiently as a machine can. However, some mistakes can slip through Grammarly if there is no syntax error, but just a linguistic or semantic misuse.

Grammarly didn’t suggest anything for a nonsense sentence

Grammarly is not an alternative to human proofreading

Pros of using Grammarly in 2021

Context-Based Grammar Checker

Grammarly is evolving with time and has gotten pretty accurate in identifying common mistakes. Its extensive database helps Grammarly recognize errors based on the context.

Real-Time Grammar and Spelling Checker

Grammarly scours the whole text for errors when you provide it a written document. Thankfully, it also checks for blunders as you write or edit your text in any product form – Chrome Extension, Online Editor, Word Add-in, Desktop App (Windows and Mac), and the Grammarly Keyboard for iOS and Android.

Accessible Interface and Robust Editing

With Grammarly, you get a highly-efficient software, which is not only a phenomenal editor but also incredibly easy to use.

Customizations – Set Goals and Personal Dictionary

You can customize your Set Goals and your Personal Dictionary with the ‘Add to Dictionary’ feature in the Error Cards. This element is convenient for proper nouns and personal vocabulary (even words from a different language).

Tone Detector

Based on your Goals, Grammarly, through its tone detector emojis, cautions you of your tone – the vocabulary and phrasing you are using. You can adjust goals keeping in mind your target audience and choose the most appropriate words to use.

Clarity Checker

Apart from basic grammatical mistakes, Grammarly helps you fix linguistic oversights. It tracks down a wide range of slip-ups, including dangling modifiers, intricate text, split infinitives, passive voice misuse, redundancies, and many other slips. In essence, the Clarity Checker elevates the level of your writing.

Plagiarism Checker

It is a bonus in all senses of the word. It might not be essential to the app, but it certainly assists users. Grammarly plagiarism checker is not the absolute best in the industry, but it does the job swiftly. It checks plagiarism across 16 billion pages on the internet and ProQuest’s database.

Error Cards

Error cards are compact, simple, and instructional. They serve their purpose elegantly. Any shortcoming that you experience in Grammarly’s usage so far is due to its still-not-so-extensive database. Error cards also fall short when it comes to giving suggestions due to this very reason. Otherwise, they are usually handy.

Free Version

You can proofread, remove typos, and analyze the content quickly via the app’s free version. You can also use it before buying the Grammarly Premium subscription.

The Grammarly Keyboard

Supported on both Android and iOS, The Grammarly Keyboard App functions like the auto-correct feature. It gives real-time suggestions about the proper use of grammar and spellings in the written text. Grammarly is now available for iPad and supports hardware keyboards as well.

Grammarly Support

Grammarly provides customer support via its extensive database and email. By now, almost all popular queries have a database entry. Furthermore, the Grammarly Blog assists with learning English grammar rules.

Knowledge-base

Grammarly has amassed a plethora of information in its database, which helps run the application smoothly. This knowledge allows the app to identify problems based on the context. You will find accurate solutions for most common issues, thanks to its extensive database growing with time.

Grammarly Blog

The Grammarly Blog focuses on teaching people English grammar rules and common mistakes in their writing. There are dedicated articles for each item; separate sections cover different punctuation like Commas, Hyphens, etc.

Writing Stats

The weekly writing stats sent via email and the downloadable detailed performance stats PDF give you comprehensive feedback on your writing. This feature helps you pinpoint your mistakes better than anything else available in the market.

Insights

Grammarly Insights are the real-time feedback that the application provides regarding your writing. It bases it on your Set Goals. You can customize this feedback according to your needs, which can be amazingly valuable if you cover different audiences. Insights also include the reading time and speaking time, which is particularly useful to Vloggers, YouTubers, etc., who can quickly determine how much time their script will take on the video.

Reliability

Grammarly is the most popular and best-in-class digital writing assistant tool, growing exponentially both in features and number of users, indicating that it will provide the best services to its customer base.

Grammarly is notably popular among professional writers, bloggers, publishers, marketers, and businesses, showing that Grammarly has a demanding clientele to please. Therefore, their standards are supposed to be (and they are) higher than the competition.

Product Investment

Having more than a million downloads per month and being a top-1000 website by traffic globally, Grammarly has raised $200M in total funding at a valuation of $1B+ so far, which speaks volumes of its success, investors’ trust in the product, and its projections.

Cons of using Grammarly in 2021

Free Version is Limited

The Free version identifies only critical grammatical errors, typos, and limited ‘conciseness.’ Moreover, it only lists the number of total advanced clarity issues in the text with an ‘Ad’ that keeps asking you to buy a Premium subscription for these issues. It also doesn’t support plagiarism checking.

Premium Version is a Tad Expensive

The biggest drawback of Grammarly is that it is a tad expensive for many. Grammarly Premium can be a costly subscription at $30 per month if you don’t have much writing to proofread.

Semantic Issues

Grammarly is good at picking fundamental grammar mistakes – even context-based grammar issues, but it still cannot understand what you have written. If you write a nonsense sentence with no grammatical fault, Grammarly will consider it a correct sentence. It can also happen with incomplete sentences.

Insufficient

Grammarly is a mighty grammar checker but lags behind when it comes to rating the whole document. Its scoring is based on mistakes and length of words and sentences only, unlike some other tools that provide a more comprehensive text scoring. Grammarly is also not an alternative to human proofreading as it can’t understand the meaning of the written content.

Limited Vocabulary

Grammarly has a limited vocabulary in its database so far, which leads to inaccurate synonym suggestions at times. The Thesaurus Writing Tool, another free digital writing assistant, has an extensive vocabulary due to its vast Thesaurus.com database and offers far more vocabulary suggestions and alternatives.

Alternatives Not Provided for Every Issue

For many suggestions like Intricate Text, Split Infinitives, etc., Grammarly doesn’t provide an alternative. You have to rephrase the sentence yourself. Grammarly only points out bloopers sometimes, which can be a little frustrating for amateur writers.

Not Supported Everywhere

Grammarly is not supported everywhere yet. The most prominent places are Google Docs (in Beta at the moment – which doesn’t include Grammarly Premium corrections and the Pop-up Grammarly Editor) and desktop applications. However, it works on the web versions of these desktop applications via its browser extension.

Insufficient Formatting Options in the Editor

Grammarly Editor is imperfect for writing purposes. It is incomparable to authoritative text editors like Microsoft Word and Google Docs. So you have to write your text in another editor and import it in Grammarly for proofreading if you want proper formatting of your document.

Irritating and Aggressive Advertising

Grammarly wants you to upgrade all the time. When using the Free version, you’ll get constant notifications to upgrade to Premium to check for issues that are not available in the Free version.

Only One Language Supported

Grammarly doesn’t offer support for languages other than English. There is also no option available for translation like Ginger.

Only One Account for Premium

The Grammarly Premium account gives you only one license for use on up to five devices. It is an obstacle for people with multiple accounts for different purposes. Grammarly Premium is already expensive, so buying two licenses is not feasible for the majority.

Top 5 Free Grammarly Alternatives 2021

Grammarly stands out as the most prominent and well-received tool when you compare all popular digital writing assistants. It has been endorsed and appreciated by countless publishers and writers. Grammarly has become a top product in the digital writing industry with its robust marketing and significant NLP and AI improvements.

Grammarly Inc. has secured enough funding as of late 2019 to improve its natural language learning database to enhance its AI-based application further. Keeping all this in mind, it is evident that Grammarly is dominating the market. Still, there are a few products that come close for one reason or the other. Here are the top 5 Grammarly alternatives in 2021:

ProWritingAid

Pros: Long-Form Writing (Books, etc.), Writing Insights, Separate Checking of Issues, MS Word Add-in, Efficient Browser Extension

Cons: Short-Form Writing, Fewer Errors Detected, Not for Amateurs, No Free Version

ProWritingAid is considered a worthy alternative to Grammarly (notably for long-form writing – books, etc.), but it falls far behind Grammarly for short-form writing.

ProWritingAid is accurate, feature-rich, and integrates well with apps and websites, but the interface is not as user-friendly as Grammarly’s. It also reveals fewer issues as Grammarly has advanced context-based grammar checking capabilities.

ProWritingAid offers better pricing and value for money (Premium is $60 per year, $70 with Plagiarism Checker), and it also has a Lifetime Plan. However, it doesn’t have a free plan like Grammarly. The Online Editor has no word limit, unlike Grammarly’s 60-pages or 100,000 character limit.

ProWritingAid provides many options/tabs to check for each issue separately, handy for longer articles or books. However, it is not as user-friendly for short writing pieces.

It also presents a better analysis of the whole document and provides a lot of information regarding your writing, which you can use to improve your writing style.

ProWritingAid has an easy-to-scroll-through panel at the right-side that contains corrections and suggestions, which you can use to see all issues without scrolling the entire document.

ProWritingAid has the following tabs to check for each issue separately:

  • Grammar
  • Spelling
  • Overused
  • Readability
  • Cliche
  • Sticky
  • Diction
  • All Repeats
  • Echoes
  • Thesaurus
  • Dialogue
  • Consistency
  • Pacing
  • Pronouns
  • Alliterations
  • Homonyms
  • Transition
  • Acronym

Ginger

Pros: Keeps Formatting, 60 Languages & Translation, Built-in Dictionary, Browser Extension, Free Version

Cons: Fewer Issues Detected, Fewer Insights, Interface is just OK, no MS Word plugin

Ginger is also a notable competitor of Grammarly. It has a free version, and it integrates well with different websites. However, it doesn’t have an MS Word plugin. It is also not as accessible due to its clunky interface.

Ginger is not as powerful as Grammarly, but it is still a decent alternative. Ginger’s annual subscription is $89.88 (cheaper than Grammarly’s).

Ginger keeps the original formatting of the text document, which is pleasant. It also has a Translator within the app that supports 60 languages. Also, there’s a built-in dictionary, which you can use to find alternatives to overused words.

WhiteSmoke

Pros: Cheap, Integrates with Platforms, Gimmicks – i.e., Templates, etc.

Cons: Interface is awful, Fewer Mistakes Caught

WhiteSmoke is cheap to use, but it has a horrible interface. It integrates with many platforms, but it is incomparable to an advanced tool like Grammarly. It has some useful gimmicks like templates for specific writing purposes, i.e., Sorry, Thank You, Condolences, etc.

The annual subscription of WhiteSmoke costs $79.99. However, it is not advanced enough to be considered better value for money.

Thesaurus Writing Tool

Pros: Free, Vocabulary suggestions on hovering the cursor over a word, Blog

Cons: Editor is dreadful to use, Ruins Formatting

Thesaurus Writing Tool is a free-to-use online text editor powered by Thesaurus.com. You can copy/paste or write directly in the Editor. It doesn’t retain the original formatting, which makes it a bit uncomfortable to use. Just click on the ‘Check for Grammar’ button, and it will work its magic. It also has a dedicated blog that teaches you how to write better.

The Thesaurus Writing Tool is unimpressive when checking grammatical errors, but it is highly potent in vocabulary suggestions. Its interface is simple but insufficient. Hover over any word, and it will show you a vocabulary card with a lot of synonyms. Clicking on any suggestion will replace the original term with the selected item. The replaced word gets a yellow underline. An undo option is available if you are not happy with your word selection.

Hemingway App

Pros: Free, Information about Text, Text Readability Score

Cons: Ruins Formatting, Fewer Mistakes Caught

Hemingway App is yet another incredible tool that is quite capable and straight-forward. It is convenient for analyzing your document as it scores the content based on its readability. It has a free web app and a paid desktop app. You can copy/paste into the online Editor or write directly, but it messes up the formatting.

Hemingway App identifies the use of passive voice, adverbs, and difficulty of reading. It recognizes long sentences – even the easy-to-read ones – as complex, which affects the document’s grade.

Final Verdict: Grammarly Review 2021

Using advanced NLP and AI, Grammarly free is hands-down the best and must-have writing, editing, and proofreading tool for everyone that checks for spelling and critical grammar mistakes. Easy to use, compatible with most popular products, and trusted by millions of users, Grammarly instantly elevates your writing everywhere; statuses, comments, emails, documents, tweets, you name it! Trying out the free version before upgrading to a premium plan also makes sense.

Grammarly Premium is a more robust and advanced tool with numerous amazing features like an advanced clarity checker, tone detector, and plagiarism checker. The Premium version is unparalleled when complemented with knowledge of the English language and some other tools. However, it is insufficient as a standalone tool because it can make slips (especially semantic ones).

I highly recommend Grammarly Premium to professionals (freelancers, writers, bloggers, authors, publishers, and editors) who require intensive use of the app. Similarly, Grammarly for Business is a good investment if your team does intensive writing. Non-intensive users should stick to the Free version as it suffices.

Aa one user said, “Grammarly Premium helps you sound like a pro, or at least helps you avoid looking like a fool!”

FAQs About Grammarly

Is Grammarly a good app?

Yes, Grammarly stands out among its competitors as it has advanced context-based grammar checking capabilities, thanks to its up-to-date natural language processing and artificial intelligence.

Is Grammarly Premium worth it?

Yes, for the most part. However, it is a tad expensive for many. It is suitable for professionals and businesses that have lots of writing needs. It identifies several advanced grammar issues that the Free version only counts. However, it is not a substitute for human proofreading as it can make linguistic mistakes that a human can easily find.

Is Grammarly supported in Google Docs?

It is in Beta at the moment. So, it should be available shortly. At the moment, it is imperfect as it only specifies the number of errors. You have to scroll the document to find those mistakes (underlined red) on your own. It has already started working in the comments, though.

Is Grammarly supported in Quora?

Yes, Grammarly works with Quora.

Is Grammarly supported in Medium?

Yes, Grammarly is available for Medium.

Can Grammarly replace a professional editor?

No, it can’t. Grammarly can make simple semantic mistakes because it doesn’t know the meaning of the written text, so it cannot replace a professional editor. It is only suitable for catching syntactic issues.

Is Grammarly supported in Microsoft Word?

Yes, a plugin is available. It is an efficient plugin as it gives similar options in Microsoft Word as it does in its online editor and desktop application. Grammarly is now available for both Windows and macOS versions of MS Word.

Is Grammarly available for Mac?

Yes, Grammarly’s desktop app is available for macOS. Grammarly is available for both Windows and macOS. Grammarly for MS Word is also available for Mac now.

Is Grammarly supported in WordPress?

Yes, it is supported. You can use Grammarly in WordPress via its browser extension.

Is Grammarly supported in Gmail?

Yes, it is. You can edit your email using the Grammarly browser extension within Gmail. However, it is not the best solution for lengthy content. For extended text, the Online Editor, the Desktop App, and the MS Word Add-in are better options.

Does Grammarly work offline?

No, it doesn’t. Grammarly uses its database to run the app, so an internet connection is necessary.

Does Grammarly help you improve your writing?

Yes. If you read the weekly stats, detailed performance stats PDF, and Grammarly Blog for grammar rules and writing tips and try to implement them in your writing, Grammarly can significantly improve your writing capabilities.

Is Grammarly Safe and Secure?

Yes, Grammarly is quite safe, as Google verifies it. Moreover, Grammarly is as secure as any other site that uses SSL/TLS encryption. It is also reliable for plagiarism checking as it doesn’t violate your privacy.

What is the Grammarly cancellation refund policy?

You can get your money back if you are not satisfied with the Premium subscription by contacting Grammarly support within ten days.

Is Grammarly a reliable checker?

Yes, Grammarly outperforms its competitors. Yet, it cannot surpass a professional human editor.

Is Grammarly available for Android/iOS?

Yes, it is. You can use the Grammarly Keyboard to edit your text for grammar and spelling errors by installing the Grammarly Keyboard app from the Play Store or the App Store. It works like the auto-correct feature. Grammarly is now available on iPad as well.

Check out Grammarly for yourself.

 

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Kubernetes is ruling the container market. According to a CNCF survey, the use of Kubernetes in production in 2020 was 93%, up from 78% in 2019. Moreover, the survey reveals that the use of containers in production in 2020 was 92%. This figure is up 300% from CNCF’s first survey in 2016. 

Due to the adoption of Kubernetes by DevOps teams and the open source community’s encouragement, this figure could grow more. And if it stays at present prices, this market share still is a significant portion. This means that even though Kubernetes makes a lot of things easier, challenges will always appear, as the survey confirms. Namely, the problems listed include networking, storage, tracking, surveillance, a lack of preparation, and, of course, cost management.

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