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“Cette initiative est née de notre profonde conviction que les entreprises, quelle que soit l’industrie, peuvent tirer parti du partage d’experiences.”

 

Il est ingénieur de formation, issu de Polytech’Nice-Sophia. Elle est diplômée en mathématiques appliquées et a validé une thèse en théorie de l’optimisation. Ils mènent leur carrière dans de grandes entreprises technologiques internationales. Et dirigent le Industrial Council of Artificial Intelligence Research (ICAIR). Olena Kushakovska (SAP) et Jean-Michel Sauvage (Amadeus) pilotent ensemble ICAIR depuis 2020. Ils ont une ambition claire pour l’organisation : accélérer le travail sur l’IA en mettant l’accent sur le développement durable. A l’occasion du 1er SAP Sustainability Summit, la directrice générale de SAP Labs France et le directeur R&D pour les solutions Revenue Management d’Amadeus se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour nous donner leur vision de l’IA durable.

  1. Quels sont les principaux avantages de l’IA dans votre secteur ?

Olena Kushakovska : Chez SAP, nous permettons à nos clients de devenir des entreprises intelligentes, d’utiliser les données pour bâtir des entreprises plus performantes, plus résilientes, plus rentables, plus agiles et plus durables. Nous mettons tout en œuvre pour que la réalité de l’entreprise intelligente soit pleinement intégrée avec les fonctionnalités d’Intelligence Artificielle.

Jean-Michel Sauvage : L’IA est une technologie majeure qui offre la meilleure utilisation possible des données et fournit un service plus performant, plus efficace, prévisible, personnalisé et à plus forte valeur ajoutée sur l’ensemble de la chaîne.

  1. Quand, pourquoi et comment vous êtes-vous engagé avec ICAIR ?

Olena : Amadeus et SAP sont membres fondateurs de ICAIR. La décision d’aller de l’avant a été prise entre Gilles Floyrac et moi il y a environ 2 ans. Gilles était le président d’Amadeus Nice à l’époque et la région Côte d’Azur venait de décrocher le label 3IA. Son idée était que les entreprises conduisent l’agenda industriel parallèlement au monde universitaire. Plus de 60 entreprises de la zone ont soutenu le projet 3IA. Nous avons contacté les entreprises que nous pensions intéressées (ex. IBM, ARM, NXP, Thales Alenia Space, Orange) et le “Club” est né. La réunion de mise en place entre les responsables de site pour sceller le club s’est tenue chez Amadeus puis la 1ère session de travail a eu lieu chez SAP en juin 2019.

Jean-Michel : Les techniques d’IA n’étant pas spécifiques à la résolution d’un problème, cette initiative est motivée par la forte conviction que les entreprises, même lorsqu’elles travaillent dans différents secteurs, peuvent bénéficier de l’apprentissage et du partage d’expériences sur les défis auxquels elles sont confrontées sur des problèmes techniques similaires.

« Nous nous efforçons d’utiliser l’IA de manière durable et d’atteindre les objectifs de durabilité de l’ONU au sein du secteur. » Olena KUSHAKOVSKA

  1. Qu’est-ce qui est spécial avec ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR se concentre sur la recherche appliquée, et à ce titre, est un moyen de lier la recherche fondamentale et les résultats académiques à leur application dans un environnement industriel.

Olena : ICAIR est à taille humaine, agile, diversifié, industriel, pratico-pratique, avec des cas d’utilisation réels. Des entreprises leaders dans le monde composent le conseil. Pour autant, il y a un faible niveau d’administration, une faible bureaucratie, mais beaucoup de bonne volonté et un grand écosystème. La bienveillance et le soutien sont sans faille, et l’implication continue !

  1. Pourquoi avoir choisi l’IA durable comme thème du programme ICAIR ? 

Jean-Michel : L’IA s’accompagne de défis, tant en termes de technologie, de puissance de calcul, que de biais d’apprentissage, ou de décisions humainement explicables. Nous pensons que l’IA peut être conçue et utilisée de manière durable et apporter de la valeur d’une manière qui respecte la planète et les communautés.

Olena : On questionne souvent l’IA en termes écologique ou éthique. Nous voulons envisager la durabilité dans un contexte beaucoup plus large, celui des objectifs de durabilité des Nations Unies. La durabilité s’entend comme la capacité de notre génération à atteindre ses objectifs, sans compromettre la capacité de la génération future à atteindre les leurs. Et ce, par rapport à toutes les ressources : naturelles, humaines, économiques. Nos efforts se concentrent sur l’IA durable pour atteindre les objectifs des Nations Unies au sein de l’industrie.

  1. Quel est le champ d’application d’ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR a été pensé de telle sorte que des chercheurs d’entreprises de Sophia Antipolis hébergeant des laboratoires de recherche travaillant dans différents contextes industriels, et sur différents sujets, puissent discuter et échanger leurs points de vue sur des questions communes liées à l’utilisation de l’IA dans leurs industries respectives.

Olena : Notre objectif est de travailler sur des projets communs et d’échanger sur les meilleures pratiques en matière d’apprentissage automatique et d’intelligence artificielle. Cela permettra de faire progresser les recherches en matière d’IA. Enfin, nous comptons utiliser notre puissance commune pour promouvoir la Côte d’Azur en tant que berceau de l’IA durable.

  1. Qu’est-ce qui vous motive personnellement ?

Olena : Ma volonté est de promouvoir notre grande collaboration, dans l’écosystème incroyablement riche sur le plan technologique et intellectuel de la Côte d’Azur, en montrant à nos maisons-mères que cet endroit est vraiment exceptionnel, et y développer une véritable communauté autour de l’IA. Je veux aussi que la France et l’Europe obtiennent la place qu’elles méritent dans le monde en ce qui concerne l’IA, en veillant à ce que l’IA soit utilisée à bon escient, que la Côte d’Azur soit identifiée comme l’endroit idéal pour l’IA durable, et enfin que les gens ne craignent plus l’IA.

Jean-Michel : Je suis un passionné d’aviation et d’informatique. Heureusement pour moi, les voyages et l’aviation en particulier sont des domaines pleins de défis combinatoires, très complexes à résoudre et à optimiser. Chez Amadeus, nous sommes déjà pleinement engagés dans le déploiement de l’IA. Nous sommes également engagés depuis de nombreuses années dans le développement de systèmes ouverts et interopérables, car nous pensons que c’est en combinant les meilleurs services « atomiques » que nous apporterons une plus grande valeur ajoutée à nos clients, à l’industrie du voyage et aux voyageurs. Mais nous savons aussi que, comme toute évolution de ce genre, elle a besoin de temps, d’expérience, de tests et d’apprentissage. L’IA s’accompagne de nombreuses questions et défis sans réponse. Avec ICAIR, nous faisons partie de l’apprentissage, de l’enseignement, et nous voulons y répondre de la bonne manière.

 

 

 

Les membres sont des entreprises internationales avec des sites sur la Côte d’Azur et menant des recherches en IA :

  • Accenture,
  • ACRI-ST,
  • AIRFRANCE KLM,
  • Amadeus,
  • ARM,
  • Hewlett Packard Enterprise,
  • IBM,
  • NXP Semiconductors,
  • Orange,
  • Renault Software Labs,
  • SAP Labs France,
  • STMicroelectronics,
  • Thales Alenia Space.

Le programme touche l’ensemble de l’écosystème du label 3IA de la Côte d’Azur :

  • Académiques : Institut 3IA, UCA (Université Côte d’Azur), Ecoles, Centres de Recherche
  • Secteurs d’activité : ICAIR, ClusterIA
  • Institutions : MIA, OTESIA, EuropIA
  • Associations : Telecom Valley, Pôle SCS

Des initiatives liées à l’IA lancées par ces acteurs soutiennent la dynamique territoriale de la Côte d’Azur. Elles se rapportent aux objectifs de développement durable des Nations unies et constituent le champ d’application du programme « IA durable ».

En savoir plus : ICAIR – Industrial Council of Artificial Intelligence Research

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Source de l’article sur sap.com

Gartner predicts that by 2023, over 50% of medium to large enterprises will have adopted a Low-code/No-code application as part of their platform development.
The proliferation of Low-code/No-code tooling can be partially attributed to the COVID-19 pandemic, which has put pressure on businesses around the world to rapidly implement digital solutions. However, adoption of these tools — while indeed accelerated by the pandemic — would have occurred either way.
Even before the pandemic, the largest, richest companies had already formed an oligopsony around the best tech talent and most advanced development tools. Low-Code/No-code, therefore, is an attractive solution for small and mid-sized organizations to level the playing field, and it does so by giving these smaller players the power to do more with their existing resources.
While these benefits are often realized in the short term, the long-term effect of these tools is often shockingly different. The promise of faster and cheaper delivery is the catch — or lure — inside this organizational mousetrap, whereas backlogs, vendor contracts, technical debts, and constant updates are the hammer.
So, what exactly is the No-Code trap, and how can we avoid it?

What is a No-Code Tool?

First, let’s make sure we clear up any confusion regarding naming. So far I have referred Low-Code and No-Code as if they were one term. It’s certainly easy to confuse them — even large analyst firms seem to have a hard time differentiating between the two — and in the broader context of this article, both can lead to the same set of development pitfalls.
Under the magnifying glass, however, there are lots of small details and capabilities that differentiate Low-code and No-code solutions. Most of them aren’t apparent at the UI level, leading to much of the confusion between where the two come from.
In this section, I will spend a little bit of time exploring the important differences between those two, but only to show that when it comes to the central premise of this article they are virtually equivalent.

Low-Code vs. No-Code Tools

The goal behind Low-Code is to minimize the amount of coding necessary for complex tasks through a visual interface (such as Drag ‘N’ Drop) that integrates existing blocks of code into a workflow.
Skilled professionals have the potential to work smarter and faster with Low-Code tools because repetitive coding or duplicating work is streamlined. Through this, they can spend less time on the 80% of work that builds the foundation and focuses more on optimizing the 20% that makes it different. It, therefore, takes on the role of an entry-level employee doing the grunt work for more senior developers/engineers.
No-Code has a very similar look and feel to Low-Code, but is different in one very important dimension. Where Low-Code is meant to optimize the productivity of developers or engineers that already know how to code (even if just a little), No-Code is built for business and product managers that may not know any actual programming languages. It is meant to equip non-technical workers with the tools they need to create applications without formal development training.
No-Code applications need to be self-contained and everything the No-Code vendor thinks the user may need is already built into the tool.
As a result, No-Code applications create a lot of restrictions for the long-term in exchange for quick results in the short-term. This is a great example of a ‘deliberate-prudent’ scenario in the context of the Technical Debt Quadrant, but more on this later.

Advantages of No-Code Solutions

The appeal of both Low-Code and No-Code is pretty obvious. By removing code organizations can remove those that write it — developers — because they are expensive, in short supply, and fundamentally don’t produce things quickly.
The benefits of these two forms of applications in their best forms can be pretty substantial:
  • Resources: Human Capital is becoming increasingly scarce — and therefore expensive. This can stop a lot of ambitious projects dead in their tracks. Low-Code and No-Code tools minimize the amount of specialized technical skills needed to get an application of the ground, which means things can get done more quickly and at a lower cost.
  • Low Risk/High ROISecurity processes, data integrations, and cross-platform support are all built into Low-Code and No-Code tools, meaning less risk and more time to focus on your business goals.
  • Moving to Production: Similarly, for both types of tools a single click is all it takes to send or deploy a model or application you built to production.
Looking at these advantages, it is no wonder that both Low-Code and No-Code have been taking industries by storm recently. While being distinctly different in terms of users, they serve the same goal — that is to say, faster, safer and cheaper deployment. Given these similarities, both terms will be grouped together under the ‘No-Code’ term for the rest of this article unless otherwise specified.

List of No-Code Data Tools

So far, we have covered the applications of No-Code in a very general way, but for the rest of this article, I would like to focus on data modeling. No-Code tools are prevalent in software development, but have also, in particular, started to take hold in this space, and some applications even claim to be an alternative to SQL and other querying languages (crazy, right?!). My reasons for focusing on this are two-fold: 
Firstly, there is a lot of existing analysis around this problem for software development and very little for data modeling. Secondly, this is also the area in which I have the most expertise.
Now let’s take a look at some of the vendors that provide No-Code solutions in this space. These in no way constitute a complete list and are, for the most part, not exclusively built for data modeling. 

1. No-Code Data Modeling in Power BI

Power BI was created by Microsoft and aims to provide interactive visualizations and business intelligence capabilities to all types of business users. Their simple interface is meant to allow end-users to create their own reports and dashboards through a number of features, including data mapping, transformation, and visualization through dashboards. Power BI does support some R coding capabilities for visualization, but when it comes to data modeling, it is a true No-Code tool.

2. Alteryx as a Low-Code Alternative

Alteryx is meant to make advanced analytics accessible to any data worker. To achieve this, it offers several data analytics solutions. Alteryx specializes in self-service analytics with an intuitive UI. Their offerings can be used as Extract, Transform, Load (ETL) Tools within their own framework. Alteryx allows data workers to organize their data pipelines through their custom features and SQL code blocks. As such, they are easily identified as a Low-Code solution.

3. Is Tableau a No-Code Data Modeling Solution?

Tableau is a visual analytics platform and a direct competitor to Power BI. They were recently acquired by Salesforce which is now hoping to ‘transform the way we use data to solve problems—empowering people and organizations to make the most of their data.’ It is also a pretty obvious No-Code platform that is supposed to appeal to all types of end-users. As of now, it offers fewer tools for data modeling than Power BI, but that is likely to change in the future.

4. Looker is a No-Code Alternative to SQL

Looker is a business intelligence software and big data analytics platform that promises to help you explore, analyze, and share real-time business analytics easily. Very much in line with Tableau and Power BI, it aims to make non-technical end-users proficient in a variety of data tasks such as transformation, modeling, and visualization.

You might be wondering why I am including so many BI/Visualization platforms when talking about potential alternatives to SQL. After all, these tools are only set up to address an organization’s reporting needs, which constitute only one of the use cases for data queries and SQL. This is certainly a valid point, so allow me to clarify my reasoning a bit more.

While it is true that reporting is only one of many potential uses for SQL, it is nevertheless an extremely important one. There is a good reason why there are so many No-Code BI tools in the market—to address heightening demand from enterprises around the world — and therefore, it is worth taking a closer look at their almost inevitable shortcomings.

Source de l’article sur DZONE

Un data warehouse (entrepôt de données) est un système de stockage numérique qui connecte et harmonise de grandes quantités de données provenant de nombreuses sources différentes. Il a pour but d’alimenter la Business Intelligence (BI), le reporting et l’analyse, ainsi que soutenir la conformité aux exigences réglementaires afin que les entreprises puissent exploiter leurs données et prendre des décisions intelligentes fondées sur les données. Les data warehouse stockent les données actuelles et historiques dans un seul et même endroit et constituent ainsi une source unique de vérité pour une organisation.

Les données sont envoyées vers un data warehouse à partir de systèmes opérationnels (tels qu’un système ERP ou CRM), de bases de données et de sources externes comme les systèmes partenaires, les appareils IoT, les applications météo ou les réseaux sociaux, généralement de manière régulière. L’émergence du cloud computing a changé la donne. Ces dernières années, le stockage des données a été déplacé de l’infrastructure sur site traditionnelle vers de multiples emplacements, y compris sur site, dans le Cloud privé et dans le Cloud public.

Les data warehouse modernes sont conçus pour gérer à la fois les données structurées et les données non structurées, comme les vidéos, les fichiers image et les données de capteurs. Certains utilisent les outils analytiques intégrés et la technologie de base de données in-memory (qui conserve l’ensemble de données dans la mémoire de l’ordinateur plutôt que dans l’espace disque) pour fournir un accès en temps réel à des données fiables et favoriser une prise de décision en toute confiance. Sans entreposage de données, il est très difficile de combiner des données provenant de sources hétérogènes, de s’assurer qu’elles sont au bon format pour les analyses et d’obtenir une vue des données sur le court terme et sur le long terme.

Schéma qui montre ce qu'est un data warehouse


Avantages de l’entreposage de données

Un data warehouse bien conçu constitue la base de tout programme de BI ou d’analyse réussi. Son principal objectif est d’alimenter les rapports, les tableaux de bord et les outils analytiques devenus indispensables aux entreprises d’aujourd’hui. Un entrepôt de données fournit les informations dont vous avez besoin pour prendre des décisions basées sur les données et vous aide à faire les bons choix, que ce soit pour le développement de nouveaux produits ou la gestion des niveaux de stock. Un data warehouse présente de nombreux avantages. En voici quelques-uns :

  • Un meilleur reporting analytique : grâce à l’entreposage de données, les décideurs ont accès à des données provenant de plusieurs sources et n’ont plus besoin de prendre des décisions basées sur des informations incomplètes.
  • Des requêtes plus rapides : les data warehouse sont spécialement conçus pour permettre l’extraction et l’analyse rapides des données. Avec un entrepôt de données, vous pouvez très rapidement demander de grandes quantités de données consolidées avec peu ou pas d’aide du service informatique.
  • Une amélioration de la qualité des données : avant de charger les données dans l’entrepôt de données le système met en place des nettoyages de données afin de garantir que les données sont converties dans un seul et même format dans le but de faciliter les analyses (et les décisions), qui reposent alors sur des données précises et de haute qualité.
  • Une visibilité sur les données historiques : en stockant de nombreuses données historiques, un data warehouse permet aux décideurs d’analyser les tendances et les défis passés, de faire des prévisions et d’améliorer l’organisation au quotidien.

Capture d'écran de la solution SAP Data Warehouse Cloud


Que peut stocker un data warehouse ?

Lorsque les data warehouse sont devenus populaires à la fin des années 1980, ils étaient conçus pour stocker des informations sur les personnes, les produits et les transactions. Ces données, appelées données structurées, étaient bien organisées et mises en forme pour en favoriser l’accès. Cependant, les entreprises ont rapidement voulu stocker, récupérer et analyser des données non structurées, comme des documents, des images, des vidéos, des e-mails, des publications sur les réseaux sociaux et des données brutes issues de capteurs.

Un entrepôt de données moderne peut contenir des données structurées et des données non structurées. En fusionnant ces types de données et en éliminant les silos qui les séparent, les entreprises peuvent obtenir une vue complète et globale sur les informations les plus précieuses.


Termes clés

Il est essentiel de bien comprendre un certain nombre de termes en lien avec les data warehouse. Les plus importants ont été définis ci-dessous. Découvrez d’autres termes et notre FAQ dans notre glossaire.

Data warehouse et base de données

Les bases de données et les data warehouse sont tous deux des systèmes de stockage de données, mais diffèrent de par leurs objectifs. Une base de données stocke généralement des données relatives à un domaine d’activité particulier. Un entrepôt de données stocke les données actuelles et historiques de l’ensemble de l’entreprise et alimente la BI et les outils analytiques. Les data warehouse utilisent un serveur de base de données pour extraire les données présentes dans les bases de données d’une organisation et disposent de fonctionnalités supplémentaires pour la modélisation des données, la gestion du cycle de vie des données, l’intégration des sources de données, etc.

Data warehouse et lac de données

Les data warehouse et les lacs de données sont utilisés pour stocker le Big Data, mais sont des systèmes de stockage très différents. Un data warehouse stocke des données qui ont été formatées dans un but spécifique, tandis qu’un lac de données stocke les données dans leur état brut, non traité, dont l’objectif n’a pas encore été défini. Les entrepôts de données et les lacs de données se complètent souvent. Par exemple, lorsque des données brutes stockées dans un lac s’avèrent utiles pour répondre à une question, elles peuvent être extraites, nettoyées, transformées et utilisées dans un data warehouse à des fins d’analyse. Le volume de données, les performances de la base de données et les coûts du stockage jouent un rôle important dans le choix de la solution de stockage adaptée.

Diagramme qui montre la différence entre un data warehouse et un lac de données

Data warehouse et datamart

Un datamart est une sous-section d’un data warehouse, partitionné spécifiquement pour un service ou un secteur d’activité, comme les ventes, le marketing ou la finance. Certains datamarts sont également créés à des fins opérationnelles autonomes. Alors qu’un data warehouse sert de magasin de données central pour l’ensemble de l’entreprise, un datamart utilise des données pertinentes à un groupe d’utilisateurs désigné. Ces utilisateurs peuvent alors accéder plus facilement aux données, accélérer leurs analyses et contrôler leurs propres données. Plusieurs datamarts sont souvent déployés dans un data warehouse.

Diagramme d'un data mart et de son fonctionnement


Quels sont les composants clés d’un data warehouse ?

Un data warehouse classique comporte quatre composants principaux : une base de données centrale, des outils ETL (extraction, transformation, chargement), des métadonnées et des outils d’accès. Tous ces composants sont conçus pour être rapides afin de vous assurer d’obtenir rapidement des résultats et vous permettre d’analyser les données à la volée.

Diagramme montrant les composants d'un data warehouse

  1. Base de données centrale : une base de données sert de fondement à votre data warehouse. Depuis le départ, on utilisait essentiellement des bases de données relationnelles standard exécutées sur site ou dans le Cloud. Mais en raison du Big Data, du besoin d’une véritable performance en temps réel et d’une réduction drastique des coûts de la RAM, les bases de données in-memory sont en train de monter en puissance.
  2. Intégration des données : les données sont extraites des systèmes source et modifiées pour aligner les informations afin qu’elles puissent être rapidement utilisées à des fins analytiques à l’aide de différentes approches d’intégration des données telles que l’ETL (extraction, transformation, chargement) et les services de réplication de données en temps réel, de traitement en masse, de transformation des données et de qualité et d’enrichissement des données.
  3. Métadonnées : les métadonnées sont des données relatives à vos données. Elles indiquent la source, l’utilisation, les valeurs et d’autres fonctionnalités des ensembles de données présents dans votre data warehouse. Il existe des métadonnées de gestion, qui ajoutent du contexte à vos données, et des métadonnées techniques, qui décrivent comment accéder aux données, définissent leur emplacement ainsi que leur structure.
  4. Outils d’accès du data warehouse : les outils d’accès permettent aux utilisateurs d’interagir avec les données de votre data warehouse. Exemples d’outils d’accès : outils de requête et de reporting, outils de développement d’applications, outils d’exploration de données et outils OLAP.

Architecture de data warehouse 

Auparavant, les data warehouse fonctionnaient par couches, lesquelles correspondaient au flux des données de gestion.

Diagramme de l'architecture d'un data warehouse

Couche de données

Les données sont extraites de vos sources, puis transformées et chargées dans le niveau inférieur à l’aide des outils ETL. Le niveau inférieur comprend votre serveur de base de données, les datamarts et les lacs de données. Les métadonnées sont créées à ce niveau et les outils d’intégration des données, tels que la virtualisation des données, sont utilisés pour combiner et agréger les données en toute transparence.

Couche sémantique

Au niveau intermédiaire, les serveurs OLAP (Online Analytical Processing) et OLTP (Online Transaction Processing) restructurent les données pour favoriser des requêtes et des analyses rapides et complexes.

Couche analytique

Le niveau supérieur est la couche du client frontend. Il contient les outils d’accès du data warehouse qui permettent aux utilisateurs d’interagir avec les données, de créer des tableaux de bord et des rapports, de suivre les KPI, d’explorer et d’analyser les données, de créer des applications, etc. Ce niveau inclut souvent un workbench  ou une zone de test pour l’exploration des données et le développement de nouveaux modèles de données.

Un data warehouse standard comprend les trois couches définies ci-dessus. Aujourd’hui, les entrepôts de données modernes combinent OLTP et OLAP dans un seul système.

Les data warehouse, conçus pour faciliter la prise de décision, ont été essentiellement créés et gérés par les équipes informatiques. Néanmoins, ces dernières années, ils ont évolué pour renforcer l’autonomie des utilisateurs fonctionnels, réduisant ainsi leur dépendance aux équipes informatiques pour accéder aux données et obtenir des informations exploitables. Parmi les fonctionnalités clés d’entreposage de données qui ont permis de renforcer l’autonomie des utilisateurs fonctionnels, on retrouve les suivantes :

  1. La couche sémantique ou de gestion fournit des expressions en langage naturel et permet à tout le monde de comprendre instantanément les données, de définir des relations entre les éléments dans le modèle de données et d’enrichir les zones de données avec de nouvelles informations.
  2. Les espaces de travail virtuels permettent aux équipes de regrouper les connexions et modèles de données dans un lieu sécurisé et géré, afin de mieux collaborer au sein d’un espace commun, avec un ensemble de données commun.
  3. Le Cloud a encore amélioré la prise de décision en permettant aux employés de disposer d’un large éventail d’outils et de fonctionnalités pour effectuer facilement des tâches d’analyse des données. Ils peuvent connecter de nouvelles applications et de nouvelles sources de données sans avoir besoin de faire appel aux équipes informatiques.

 

The Future of Analytics Has Arrived

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The Future of Analytics Has Arrived

Kate Wright, responsable de la Business Intelligence augmentée chez SAP, évoque la valeur d’un data warehouse Cloud moderne.


Les 7 principaux avantages d’un data warehouse Cloud  

Les data warehouse Cloud gagnent en popularité, à juste titre. Ces entrepôts modernes offrent plusieurs avantages par rapport aux versions sur site traditionnelles. Voici les sept principaux avantages d’un data warehouse Cloud :

  1. Déploiement rapide : grâce à l’entreposage de données Cloud, vous pouvez acquérir une puissance de calcul et un stockage de données presque illimités en quelques clics seulement, et créer votre propre data warehouse, datamarts et systèmes de test en quelques minutes.
  2. Faible coût total de possession (TCO) : les modèles de tarification du data warehouse en tant que service (DWaaS) sont établis de sorte que vous payez uniquement les ressources dont vous avez besoin, lorsque vous en avez besoin. Vous n’avez pas besoin de prévoir vos besoins à long terme ou de payer pour d’autres traitements tout au long de l’année. Vous pouvez également éviter les coûts initiaux tels que le matériel coûteux, les salles de serveurs et le personnel de maintenance. Séparer les coûts du stockage des coûts informatiques vous permet également de réduire les dépenses.
  3. Élasticité : un data warehouse Cloud vous permet d’ajuster vos capacités à la hausse ou à la baisse selon vos besoins. Le Cloud offre un environnement virtualisé et hautement distribué capable de gérer d’immenses volumes de données qui peuvent diminuer ou augmenter.
  4. Sécurité et restauration après sinistre : dans de nombreux cas, les data warehouse Cloud apportent une sécurité des données et un chiffrage plus forts que les entrepôts sur site. Les données sont également automatiquement dupliquées et sauvegardées, ce qui vous permet de minimiser le risque de perte de données.
  5. Technologies en temps réel : les data warehouse Cloud basés sur la technologie de base de données in-memory présentent des vitesses de traitement des données extrêmement rapides, offrant ainsi des données en temps réel et une connaissance instantanée de la situation.
  6. Nouvelles technologies : les data warehouse Cloud vous permettent d’intégrer facilement de nouvelles technologies telles que l’apprentissage automatique, qui peuvent fournir une expérience guidée aux utilisateurs fonctionnels et une aide décisionnelle sous la forme de suggestions de questions à poser, par exemple.
  7. Plus grande autonomie des utilisateurs fonctionnels : les data warehouse Cloud offrent aux employés, de manière globale et uniforme, une vue unique sur les données issues de nombreuses sources et un vaste ensemble d’outils et de fonctionnalités pour effectuer facilement des tâches d’analyse des données. Ils peuvent connecter de nouvelles applications et de nouvelles sources de données sans avoir besoin de faire appel aux équipes informatiques.
Capture d'écran de la solution SAP Data Warehouse Cloud
L’entreposage de données prend en charge l’analyse complète des dépenses de l’entreprise par service, fournisseur, région et statut, pour n’en citer que quelques-unes.

Meilleures pratiques concernant l’entreposage des données

Pour atteindre vos objectifs et économiser du temps et de l’argent, il est recommandé de suivre certaines étapes éprouvées lors de la création d’un data warehouse ou l’ajout de nouvelles applications à un entrepôt existant. Certaines sont axées sur votre activité tandis que d’autres s’inscrivent dans le cadre de votre programme informatique global. Vous pouvez commencer avec la liste de meilleures pratiques ci-dessous, mais vous en découvrirez d’autres au fil de vos collaborations avec vos partenaires technologiques et de services.

Meilleures pratiques métier

Meilleures pratiques informatiques

Définir les informations dont vous avez besoin. Une fois que vous aurez cerné vos besoins initiaux, vous serez en mesure de trouver les sources de données qui vous aideront à les combler. La plupart du temps, les groupes commerciaux, les clients et les fournisseurs auront des recommandations à vous faire. 

Surveiller la performance et la sécurité. Les informations de votre data warehouse sont certes précieuses, mais elles doivent quand même être facilement accessibles pour apporter de la valeur à l’entreprise. Surveillez attentivement l’utilisation du système pour vous assurer que les niveaux de performance sont élevés. 

Documenter l’emplacement, la structure et la qualité de vos données actuelles. Vous pouvez ensuite identifier les lacunes en matière de données et les règles de gestion pour transformer les données afin de répondre aux exigences de votre entrepôt.

Gérer les normes de qualité des données, les métadonnées, la structure et la gouvernance. De nouvelles sources de données précieuses sont régulièrement disponibles, mais nécessitent une gestion cohérente au sein d’un data warehouse. Suivez les procédures de nettoyage des données, de définition des métadonnées et de respect des normes de gouvernance.

Former une équipe. Cette équipe doit comprendre les dirigeants, les responsables et le personnel qui utiliseront et fourniront les informations. Par exemple, identifiez le reporting standard et les KPI dont ils ont besoin pour effectuer leurs tâches.

Fournir une architecture agile. Plus vos unités d’affaires et d’entreprise utiliseront les données, plus vos besoins en matière de datamarts et d’entrepôts augmenteront. Une plate-forme flexible s’avérera bien plus utile qu’un produit limité et restrictif. 

Hiérarchiser vos applications de data warehouse. Sélectionnez un ou deux projets pilotes présentant des exigences raisonnables et une bonne valeur commerciale.

Automatiser les processus tels que la maintenance. Outre la valeur ajoutée apportée à la Business Intelligence, l’apprentissage automatique peut automatiser les fonctions de gestion technique du data warehouse pour maintenir la vitesse et réduire les coûts d’exploitation.

Choisir un partenaire technologique compétent pour l’entrepôt de données. Ce dernier doit offrir les services d’implémentation et l’expérience dont vous avez besoin pour la réalisation de vos projets. Assurez-vous qu’il puisse répondre à vos besoins en déploiement, y compris les services Cloud et les options sur site. 

Utiliser le Cloud de manière stratégique. Les unités d’affaires et les services ont des besoins en déploiement différents. Utilisez des systèmes sur site si nécessaire et misez sur des data warehouse Cloud pour bénéficier d’une évolutivité, d’une réduction des coûts et d’un accès sur téléphone et tablette.  

Développer un bon plan de projet. Travaillez avec votre équipe sur un plan et un calendrier réalistes qui rendent possible les communications et le reporting de statut.


En résumé 

Les data warehouse modernes, et, de plus en plus, les data warehouse Cloud, constitueront un élément clé de toute initiative de transformation numérique pour les entreprises mères et leurs unités d’affaires. Les data warehouse exploitent les systèmes de gestion actuels, en particulier lorsque vous combinez des données issues de plusieurs systèmes internes avec de nouvelles informations importantes provenant d’organisations externes.

Les tableaux de bord, les indicateurs de performance clés, les alertes et le reporting répondent aux exigences des cadres dirigeants, de la direction et du personnel, ainsi qu’aux besoins des clients et des fournisseurs importants. Les data warehouse fournissent également des outils d’exploration et d’analyse de données rapides et complexes, et n’ont pas d’impact sur les performances des autres systèmes de gestion.


Pictogramme qui représente un entrepôt de données

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En savoir plus


Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Our Self-presentation skills far supersede our verbal communication
We speak more through our bodies than our words. The posture we assume, the expression on our face, hand gestures, and our eye movement conveys far more than we would like to expose.
A subtle smile in a meeting can indicate a willingness to engage in a dialogue, while a stern look can instantly kill the conversation. Constantly checking the phone or looking at the watch can signal disengagement, while focusing on the other person signals interest.
Rolling our eyes expresses distrust or disgust in another person’s idea or behavior, while our eyes light up when we are genuinely curious about others. Keeping head down while walking in the hallway shows a lack of presence while acknowledging people passing by through a simple nod creates warmth. A firm handshake to begin an interview can exude confidence and power, while a limp handshake can reveal nervousness and weakness.
These non-verbal cues form a part of our body language that speaks even when we are silent, revealing how we are thinking and feeling in the moment.
Olivia Fox Cabane who has lectured at Stanford, Yale, Harvard, MIT, and the United Nations says:

In the scope of human evolution, language is a relatively recent invention. But we’ve been interacting well before this through nonverbal modes of communication. As a result, nonverbal communication is hardwired into our brains, much deeper than the more recent language-processing abilities. This is why nonverbal communication has a far greater impact.

She then points out ‘Without our realizing it, our bodies send out thousands of signals every minute. Just like our breath and heartbeat, these signals are part of the millions of bodily functions controlled not by our conscious mind but by our subconscious mind.’
Understanding the power of our body language and the role it plays in workplace communication and collaboration can bring us together by adopting positive communication styles as opposed to setting us apart through bridges of misunderstanding.

Importance of Body Language in Communication

Our body language plays a key role in impression management, the art of influencing how we are perceived by others.
A positive body language can show our enthusiasm to contribute, confidence in our abilities, being comfortable in taking on challenges, passion to drive results, and present to recognize future demands. It can open a world of new possibilities.
A negative body language can send strong signals of our resistance to contribute, doubt of our abilities, uneasiness to take on challenges, indifferent and uncaring attitude towards outcomes, and disconnected from reality to be able to handle future potential. It can close doors to success and growth.
Maya Angelou said, ‘People may not remember what you said, but they will remember how you made them feel.’
Since our emotions drive a large part of our decision-making, guess who will get the attention when a new project or a position opens up — a person who exhibited confidence in their body language or someone who looked like a nervous wreck?
Intelligence and brilliance are not enough to be successful at work. Our self-presentation skills far supersede our verbal communication.

The way you carry yourself is a source of personal power — the kind of power that is the key to presence. It’s the key that allows you to unlock yourself—your abilities, your creativity, your courage, and even your generosity. It doesn’t give you skills or talents you don’t have; it helps you to share the ones you do have. It doesn’t make you smarter or better informed; it makes you more resilient and open. It doesn’t change who you are; it allows you to be who you are. — Amy Cuddy

What happens when what we say is not in alignment with what we believe? We can lie through our words, but our bodies will reveal the truth. The non-verbal cues that we send through our body speak stronger than words.
Consider this. Someone approaches you with advice on a new strategy. Instead of expressing your true opinion, you simply nod in agreement. But, the tension around your eyes, the tone of your voice, and many other non-verbal cues can make the other person uncomfortable and leave them feeling unsure of your advice with the decision to never trust you again.
The idea is not to be inauthentic through your body language but to be aware of its implications. 
Research shows that we form impressions about others within a few minutes of meeting them and then our confirmation bias guides us in picking data that confirms our point of view. Anything that strengthens our belief system is readily accepted and that which contradicts it is rejected.
Being aware of the role our body language plays in forming this impression can help us twist the outcome of an interview in our favor.
For someone in a leadership position, body language is extremely important since people in an organization mimic not only the way leaders talk but also pick on their non-verbal cues.
A leader with positive body language appears approachable, open to feedback and shows a willingness to change while a leader with negative body language appears inaccessible, closed to feedback, and arrogant to adapt and change with the future demands.
Amy Cuddy asks, ‘Our non-verbals govern how others think and feel about us, but do our non-verbals govern how we think and feel about ourselves?’
Absolutely. Mastering the art of non-verbal communication not only leads to better communication with others, but it benefits us too. Presenting our best self forward by adopting positive body language enables us to be the creator of our future as opposed to being a victim of other’s perceptions. It leads to more opportunities for growth with higher chances of success.

4 Body Language Mistakes and How to Fix Them

1. Mind Is Not Attuned to The Body

When our mind is not in congruence with our body, we may try to portray a state which is in conflict with our inner self by controlling our posture and expression on our face, but sooner or later this incongruence will show up in our body language.
A positive body language cannot keep up with the negative mental state — what goes up in our mind will show up in our body. Without our realization, these ‘microexpressions’ will be noticeable to the people around us.

Our body language expresses our mental state whether we like it or not. Our facial expressions, voice posture, and all the other components of body language reflect our mental and emotional condition every second. Because we don’t control this flow consciously, whatever is in our head will show up in our body language — Olivia Fox Cabane

How to Align Our Mind and Body:

Research shows that our mind cannot distinguish imagination from reality. So, whatever our mind believes, our body will project.
We can bring out the desired body language by catching ourselves in those moments of negative mental states — disagreement, insecurity, angst, frustration, anxiety, criticism, and self-doubt, and choosing to get into a positive one.

  1. When you need to project confidence, seek inspiration.
  2. When you feel angst due to a disagreement, ask yourself ‘What can I learn from the other person?’ and ‘How are my biases causing me to be closed-minded?’
  3. When all you can see is negativity, choose to ask ‘What’s the one positive thing I can think about this situation.’
  4. When self-doubt consumes you, tell yourself ‘I need to let go of my fears to create a better version of myself.’
  5. When you exaggerate a negative outcome, ask yourself ‘What’s the worst that can happen?’ and ‘Is it really that bad or am I making up stories?’
Adopting a positive frame of reference and moving from a problem to a solution mindset can help us shift gears from a negative internal state to a positive one.

2. We Do Not Make a Commitment to Be Present

‘Being present—paying attention to what’s going on rather than being caught up in your thoughts — can yield immense rewards. When you exhibit presence, those around you feel listened to, respected, and valued,’ explains Olivia Fox Cabane.
When we are not engaged in a conversation, consumed in our own thoughts, and pretend to listen, it clearly shows up in the non-verbal signals we send to the other person.
We may start fidgeting with our phone or laptop showing signs of distraction, look here and there instead of making eye contact signaling we are not interested in what they have to say and may even shift too many times in our position out of discomfort.
Without our awareness, our body language will convey disrespect and distrust to the other person.
How to Be Present:

You must commit to a conversation, even the brief ones, or walk away. If you’re too distracted, admit that to both yourself and the other person. Be present or be gone. — Celeste Headlee 

It’s more polite to walk away from a conversation that doesn’t interest you than pretend to be present.
Once you decide to participate, you first need to convince and tell yourself that you want to be present. Say ‘I choose to be present,’ and then adopt body language that aligns with it — look at the other person with enthusiasm, lean just a little to build interest, and try to grasp what the other person intends to say.
You may occasionally drift away, but by choosing to be mentally present, you can bring your mind back to the conversation. Active listening though difficult is the most effective form of non-verbal communication that requires continuous practice and training of the mind.

3. We Ignore Context

When we talk to someone, their perception of us is based on the context of the meeting, their expectations, and their own personal and cultural filters.
Without recognizing that people operate within a certain context, we may send non-verbal signals that conflict with their values, contradicts their mental state, or even violates their sense of self.
How to Apply Context:
When engaged in a difficult conversation, without empathizing with how the other person might be feeling in the moment, we may appear cold, unemotional, and downright rude. By adopting kindness and warmth in our body language, we can convey the right message without necessarily making them feel bad.
When someone is passed up for a promotion, showing an attitude of indifference without understanding the value it holds in their life can make them resent you. Body language that shows presence and concern by giving them an opportunity to express their feelings can build better relationships.
When a co-worker is grieving a personal loss, you may appear too intrusive in your body language when all they need is space to let the feelings subside. It could be a personal preference or a cultural nuance, but without understanding their context you may actually do more harm than good.
When dealing with difficult people, your body language may switch to a fight-or-flight response. But, if you take a moment to analyze the situation without being at the effect of a fundamental attribution error, you may understand the rationale behind their behavior.
Every situation is unique. We need to project the right body language for each person by taking their context and personal filters into account.

4. We Tell a Conflicting Story

We may believe that we are highly approachable, but others may find us unapproachable. We may also think that we are open-minded, while others may find us biased. We may assume that we provide a psychologically safe environment to our people, but our employees may be terrified to make mistakes.
Now, it’s easy to say that ‘it’s just them, not me. I have already communicated to them multiple times.’ But really, is that the true story? Your intention may be far from the reality of your situation.    

Just after we observe what others do and just before we feel some emotion about it, we tell ourselves a story. We add meaning to the action we observed. We make a guess at the motive driving the behavior. Why were they doing that? We also add judgment — is that good or bad? And then, based on these thoughts or stories, our body responds with an emotion. — Kerry Patterson

When our body language doesn’t match our words, people pick up on our non-verbal signals — the sign of contempt on our face when someone makes a mistake, pacing back and forth when conveying bad news, showing nervousness by fidgeting when asking for feedback, rolling eyes when we disagree, making hand gestures that signal blame and so on.
So, while you may communicate one thing with your words, your body may speak the opposite. And when people get confusing signals, they tend to go with what they observed and not what they heard.
How to Tell the Right Story:
Bring your body language in sync with the message you wish to convey. People find it easy to trust a person when their body language reflects their words.
When asking for feedback, look the person in the eye and don’t be distracted. When someone makes a mistake, show curiosity in your face to enable them to learn from their mistakes. When telling people to feel comfortable to approach you, make open arm-hand gestures. When communicating bad news, be intense but show confidence in your ability to make things right by looking at people with passion and hope.
People spend a lot of time perfecting their speech without verifying what their speech is conveying through their body. When it comes to making the right impression, don’t just speak through your words, make your body language count too.

Summary

Master the art of non-verbal communication in the workplace by:

  1. Tuning to a positive state of mind: Be self-aware of your negative mental states and choose to get into a positive one.
  2. Committing to being present: Practice active listening and engage fully in the conversation instead of being simply present.
  3. Taking context into account: Connect with the other person by taking their values, mental state, and sense of self into account.
  4. Telling the right story: Bring your body in sync with the message you wish to convey.
Previously published here.

Source de l’article sur DZONE

Le changement climatique est un sujet brûlant. Pour y remédier, tous les pays du monde se doivent d’agir et de mener des actions coordonnées. Depuis plus de 10 ans, SAP s’emploie à agir contre le changement climatique. L’éditeur a fixé ses premiers objectifs de baisse des émissions de CO2 dès 2009. Bien qu’il ait une nouvelle fois été classé numéro 1 des éditeurs de logiciels dans les indices de durabilité du Dow Jones cette année, le plus dur reste à accomplir.

Dans le cadre du mouvement #FridaysForFuture, des milliers d’étudiants descendent dans la rue chaque vendredi pour manifester en faveur de la protection du climat. Le rapport annuel sur l’écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions qui vient d’être publié a tiré une autre sonnette d’alarme avant la conférence sur le climat de cette semaine. En comparant la tendance des émissions de gaz à effet de serre à leur niveau souhaitable, le rapport souligne que ces émissions doivent baisser de 7,6 % par an sur la prochaine décennie pour que l’humanité parvienne à contenir l’élévation des températures du globe à 1,5 °C. Un réchauffement supérieur à 1,5 degré entraînerait des phénomènes climatiques plus fréquents et plus intenses, à l’image des vagues de chaleur et des tempêtes observées ces dernières années, et ferait planer de graves menaces sur les populations, les pays, l’environnement, mais aussi les entreprises.

Favoriser l’action pour le climat via les solutions SAP

Pour lutter contre les dommages causés par le changement climatique, SAP s’appuie sur la numérisation. Ce faisant, l’éditeur aide ses clients à réduire leurs émissions de CO2 et à contribuer à l’objectif de développement durable numéro 13 des Nations unies, à savoir Mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques.

« Le principal levier de SAP se traduit par son portefeuille de produits, qui permet aux clients d’agir de manière positive sur le plan économique, environnemental et social », explique Daniel Schmid, directeur du développement durable de SAP. « Avec plus de 437 000 clients à son actif, notre entreprise dispose d’un énorme potentiel pour changer les choses. »

Une partie de ce potentiel a déjà été réalisée en collaboration avec les clients.

Lors dialogue consacré aux aspects stratégiques du développement durable qui s’est tenu au siège de SAP en septembre, Hanno Schoklitsch, fondateur et PDG de Kaiserwetter, a parlé de la façon dont son entreprise recourt à l’Internet des Objets (IdO) et l’intelligence artificielle (IA) pour accélérer la transition vers les énergies vertes. Il a présenté le dernier bilan d’ARISTOTELES, plateforme IdO optimisée par SAP Cloud Platform, qui s’appuie sur des analyses de données intelligentes et des simulations de données prédictives pour améliorer les investissements et le financement en faveur de l’efficacité énergétique.

Il est essentiel d’amplifier cet impact. En conséquence, les équipes SAP s’activent à faire évoluer les solutions SAP qui aident à transformer la mobilité urbaine et qui soutiennent les réseaux de chaîne logistique pour qu’ils gagnent en transparence, dans l’objectif de passer à une économie circulaire « zéro déchet » et de lutter contre la pollution plastique.

Donner l’exemple : efforts consentis en interne

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Tout en cherchant à élaborer des produits et services qui aident les clients à déployer des modèles économiques durables, SAP s’engage à réduire ses propres émissions de gaz à effet de serre. Des mesures ont déjà été mises en place pour atteindre cet objectif.

SAP s’est fixé l’objectif de réduire de 85 % ses émissions de CO2 tout au long de la chaîne de création de valeur d’ici 2050, un objectif qui s’inscrit dans l’initiative « Science Based Targets ». Dans ce cadre-là, l’éditeur a récemment renforcé son engagement en adoptant les objectifs de réduction des émissions de 1,5 ºC dans l’optique d’une future neutralité carbone. Pour atteindre la neutralité carbone dans ses propres activités d’ici 2025, SAP s’appuie sur une stratégie en trois volets : éviterréduirecompenser.

  • Éviter : dans la mesure du possible, SAP s’emploie à éviter les émissions de gaz à effet de serre. Il s’agit d’une priorité absolue, qui passe par exemple par le recours aux télécommunications virtuelles en lieu et place des vols d’affaires.
  • Réduire : au cas où les émissions de gaz à effet de serre ne pourraient pas être évitées, SAP cherche à renforcer l’efficacité et réduire tous les types d’émissions, par exemple avec l’efficacité énergétique des bâtiments, les opérations des centres de données, le covoiturage, l’autopartage et la mobilité connectée.
  • Compenser : SAP a élargi ses modèles de compensation des déplacements professionnels. Dans le cas des vols d’affaires, un prix interne du carbone a été établi pour compenser les émissions de CO2, et SAP a émis des cartes de carburant neutres en carbone pour toutes les voitures de fonction.

En 2009, SAP s’est fixé l’objectif de ramener les émissions de gaz à effet de serre aux niveaux de 2000 d’ici 2020. Ce résultat a été atteint dès la fin 2017 alors que les effectifs de SAP ont été multipliés par quatre au cours de cette période. L’année dernière, SAP a fait tomber ses émissions à 310 kilotonnes, dépassant ainsi son objectif annuel de réduire le nombre de ses émissions de CO2 à moins de 333 kilotonnes. Les chiffres exacts sont disponibles dans le rapport intégré annuel. En outre, un tableau de bord interne de durabilité permet aux employés de découvrir la répartition de ces rejets par pays, par site et par secteur d’activité.

Tous les centres de données et établissements SAP fonctionnent aux énergies vertes depuis 2014. En outre, SAP introduit progressivement un système de management environnemental conforme à la norme ISO 14001 sur les sites SAP du monde entier.  En 2019, 55 sites SAP avaient déjà obtenu la certification ISO 14001.  Un système de management de l’énergie certifié ISO 50001 est intégré aux systèmes de gestion existants de certains sites, tels que le siège de SAP à Walldorf et St. Leon-Rot, pour améliorer en continu la performance énergétique de l’entreprise.

La mobilité joue également un rôle clé dans la lutte contre le changement climatique. C’est la raison pour laquelle le profil des employés qui font la navette entre domicile et lieu de travail est pris en compte dans le calcul des émissions de CO2 de SAP. Avec son large éventail de voitures électriques, à ses systèmes de transport public spéciaux ainsi qu’à son vif soutien du vélo et du covoiturage, SAP propose différents moyens de se déplacer et de voyager de manière durable. Les résultats de l’enquête 2018 sur les trajets domicile-travail ont révélé une tendance positive : en 2018, les émissions quotidiennes de CO2 en lien avec ces trajets ont diminué de 4,7 % par rapport à l’année précédente. L’utilisation de la voiture a baissé de 5 %, celle des transports publics est restée stable et le recours au vélo a augmenté de 15 %. Le travail à domicile a progressé de 11 % d’une année sur l’autre.

Si les émissions de CO2 ne peuvent être évitées ou réduites, auquel cas SAP investit dans des projets de compensation d’émissions et reçoit en retour des crédits carbone des projets sponsorisés. L’accent est mis sur des projets ambitieux, tels que le Fonds Livelihoods qui conjugue reboisement et amélioration des moyens de subsistance des communautés rurales et satisfait aux critères du label GOLD standard du WWF (World Wide Fund for Nature). À ce jour, 2,3 millions d’arbres ont été plantés, dont 1 million entre 2018 et 2019, par exemple, dans le cadre du projet « Réserve de forêt de Kikonda » en Ouganda.

Agir au niveau individuel

Chacun de nous, nous pouvons de bien des façons changer les choses, tant dans notre vie personnelle que professionnelle. Les employés de SAP sont désireux d’apporter une contribution positive. Selon l’enquête annuelle menée auprès du personnel, 93 % des employés conviennent qu’il est important pour SAP de poursuivre sa stratégie de développement durable. Plus de 200 personnes s’engagent comme défenseurs du développement durable au sein d’un réseau mondial pour encourager le changement et inspirer leurs collègues.

Le programme SAP Next-Gen, mis en place en collaboration avec les laboratoires d’innovation technologique de l’ONU, soutient une série de hackathons en faveur de l’action climat, Reboot the Earth, dont la finale aura lieu lors du sommet pour le climat à New York prévu en septembre prochain. De nombreux employés de SAP sur différents sites se sont portés volontaires pour jouer le rôle de juges dans les concours locaux.

Les lignes directrices de la programmation durable compilées par l’équipe Performance and Scalability de SAP ont également valeur d’exemple. Selon Detlef Thom, expert produit SAP en développement : « Pour les développeurs de logiciels et les architectes, appuyer le développement durable et contribuer à l’informatique écoresponsable implique de concevoir des programmes logiciels qui utilisent efficacement les ressources informatiques tout en économisant de l’énergie. Cela devient encore plus impératif si l’on tient compte du grand nombre de transactions commerciales que gère un système SAP à l’échelle mondiale. »

The post SAP, acteur de la lutte contre le changement climatique appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Ubuntu Server has taken data centers around the world by storm. Whether you’re deploying Ubuntu for a large-scale project or for a small office, it is a stable, customizable, and powerful Linux distribution with innovative and cutting-edge features.

Ubuntu is a fantastic platform on which to build your servers — Jay LaCroix

Source de l’article sur DZONE

A domain name is an essential element of every project, product, and company. It’s central to a brand and has a disproportionately large impact on user experience. Not only that, but it also impacts SEO and ultimately revenue.

Domain names are also one of the most commonly retailed elements in web technology, with most designers hoarding a small empire’s worth of domain names “just in case” the right side-project comes along.

Because so much of the information and advice on domain names is provided by companies selling domain names and is therefore not impartial, we wanted to bust some of the myths you’ll encounter.

Myth 1: Anyone Can Own a Domain Name

In fact, almost no one can own a domain name. As demonstrated by the (probably) annual renewal notices you receive, you are merely renting a domain name.

You pay a registrar, who registers the domain with ICANN (The Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) — or an entity to whom ICANN has delegated the responsibility for a particular TLD.

Even when renting a domain, you do not have the right to use it; thousands of UK-based businesses have had .eu domains stripped from them as a result of being removed from the EU.

Myth 2: There’s a Perfect Domain For Every Project

Domains do not have inherent value; they acquire value over time.

25 years ago, if you were building a search engine, the ‘perfect’ domain might have been search.com, find.com, or perhaps look.com — the particularly cynical might have opted for webads.com. You almost certainly wouldn’t have registered google.com because it says nothing about search.

Any domain name can acquire value through longevity, SEO, and branding

google.com acquired its value through a simple, relentless branding strategy and a generous dollop of luck.

Any domain name can acquire value through longevity, SEO, and branding.

Myth 3: Your Domain Name Should Contain Keywords

If you’re at the point of registering a domain name, either your business is new, or your digital strategy is. In either case, you have hopefully carried out keyword research, but without a live site, your keyword research hasn’t been validated. In other words, you don’t know what your keywords are.

Even if you’re confident that you know exactly what your keywords should be at this time, your keywords may change. The pandemic has required most businesses to pivot to some degree. eatoutny.com isn’t much use if legal restrictions have forced you to switch to a delivery business — unless you’ve also registered eatinny.com.

Furthermore, in the area of ecommerce, customers tend to view keyword-heavy domain names as budget options because they are like generic-brand goods. It may be that your business will only ever be a budget option, but it’s not a wise business decision to restrict your options.

There is an SEO benefit to keywords in a domain, but it is minimal and will almost certainly vanish in the next few years — even for EMD (Exact Match Domains) — because it is too close to gaming the system.

Myth 4: You Don’t Need a .com

As frustrating as it may be to seek out a .com you’re happy with, nothing says “late to the party” like a .biz domain.

A .co extension is slightly better in some regions because the .co.** format is commonly used; .co.jp for example. However, .co tends to be typed as .com by users accustomed to the more common format.

nothing says “late to the party” like a .biz domain

It’s possible to opt for pun-based names using regionally specific TLDs like buy.it, or join.in. This kind of strategy will play havoc with your local search strategy because computers don’t understand puns; you’ll potentially do quite well in Italy or India, though.

If you’re registering a domain for a non-profit, then .org is perfectly acceptable. However, carefully consider whether a domain is worth the lost traffic if you can’t also register the .com (because people will type .com).

The one exception is industry-specific TLDs that communicate something about the domain’s contents to a target demographic. For example, .design is a great extension for designers, and .io is fine for an app if it targets developers (i.e., people who understand the joke). You should also register the .com if you can, and if you can’t, carefully consider whom you’re likely to be competing with for SERPs.

This is not to say that anything other than a .com is worthless, just worth less than the .com.

Myth 5: A Trademark Entitles You to Register a Domain

Trademark registration and domain registration are two entirely different processes, and one does not entitle you to the other. This has been legally challenged a few times and fails far more often than it succeeds.

Trademarks are rarely blanket registrations, which means the trademark owner needs to declare the industry in which it will operate; there was no enmity between Apple Inc. and Apple Corp Ltd. until the former moved into music publishing and no one could download the White Album onto their iPod.

There is, however, a limited value in registering a domain that has been trademarked elsewhere. Not least because you will be competing against their SEO, and if they’re big enough to trademark a name, they’ve probably grabbed the .com.

Myth 6: Premium Domains Are a Good Investment

Premium domains are domains that have been speculatively registered in the hope of attracting a huge resale fee. The process is commonly referred to as ‘domain squatting.’

Domain squatters bulk-register domains in the hope that one of them will be valuable to someone. As a result, they are forced to charge exorbitant fees to cover their losses; a premium domain will cost anything from 1000–100,000% of the actual registration cost.

Setting aside the cost — which would be better spent on marketing — premium domains often come with legacy issues, such as a troubled search engine history, that you do not want to inherit.

Myth 7: A Matching Handle Must be Available on Social Media

The business value of a social media account varies from company to company and from platform to platform. Even if it is valuable to you, numerous marketing strategies will accommodate a domain name: prepending with ‘use,’ or ‘get,’ or appending with ‘hq,’ for example.

More importantly, it’s unwise to allow a third-party to define your long-term brand identity; sure, Facebook is huge now, but then so was the T-Rex.

Myth 8: You Need a Domain Name

A domain name is an alias, nothing more. You don’t actually need a domain name — what you need is an IP address, which a domain name makes human-friendly.

Think of domain names as an accessibility issue; humans are less able to read IP addresses than computers, and domains bridge the gap. (See how helpful accessibility is?)

While a domain name is beneficial, question whether a sub-domain or even an IP address would do. Registering a domain is an exciting stage of a project that many people never get past, leaving themselves with a huge collection of domains that they pay an annual fee for, and never actually develop.

What Makes a Good Domain Name

Now we’ve dispelled some of the myths surrounding domain names, let’s look at the key characteristics shared by good domain names:

A Good Domain Name is Brandable

A brandable domain is non-generic. It’s the difference between a sticky-plaster and a band-aid. Unique is good, rare is acceptable, generic is a waste of money.

A Good Domain Name is Flexible

Keep it flexible. Don’t tie yourself to one market or one demographic. Your domain name needs to work now and fifty years in the future.

A Good Domain Name is Musical

Six to 12 characters and two to three syllables is the sweet spot. Names in that range have a musical rhythm our brains find it easier to retain and recall.

A Good Domain Name is Phonetic

There are 44 word sounds in the English language. Other languages have similar totals. If you use a domain name that is pronounced phonetically, it will be easy to communicate.

Source

The post 8 Domain Name Myths Every Web Designer Should Know first appeared on Webdesigner Depot.


Source de l’article sur Webdesignerdepot

In the AngularAndSpring project charts are displayed. To display the charts I have developed the ngx-simple-charts library. The design goal is to be D3.js based, have a typesafe Angular API, and be so simple and small that it can be migrated fast to new Angular versions. Currently the library supports line charts, bar charts might be supported in the future. 

Creating and Configuring the Angular Library

The Angular CLI can generate a library shell with this command: ng generate library <library_name>

Source de l’article sur DZONE

There are many reasons you might be wanting to improve your design skills this year. Perhaps you have extra time on your hands and want to put it to good use. Or maybe you’re new to web design and finding that there’s a lot you still don’t know how to do. It could also be that you recognize that the web is changing, and your skills could use some refreshing to keep up.

Whatever the reason, there are many ways to level up your web design skills in 2021. Here are 12 ideas to get you started:

Tip 1: Niche Down If You Haven’t Already

Jack-of-all-trades designers might be able to say “yes” to everyone. However, they’re going to be stretched very thin as they attempt to strengthen every skill needed to keep up with demand.

It’s much easier to become a trusted designer and to improve your skills if you have a smaller and more specific skill set to develop.

Just keep in mind that niching down doesn’t necessarily mean focusing on a particular industry. For instance, you might choose to be a UX designer instead of a web designer. Or you might specialize in designing ecommerce websites instead of monetized blogs. Just find something that you’re passionate about and will be good at doing, and zero-in on the skills needed for it.

Tip 2: Play Around in the Sandbox

Local development environments are useful for staging websites, doing redesigns, and testing updates safely away from live sites. But you can also use them for experimenting with new design techniques, trends, templates, plugins, and more.

Local by Flywheel is the one I prefer to use:

Here’s a good exercise to start with:

Take a website you like — something you’ve looked at in awe and couldn’t imagine ever building on your own. Then, put yourself to the test. See if you can recreate it in your sandbox.

Don’t be hard on yourself if you don’t figure it out right away. Consult your resources and give yourself time to make sense of what’s going on and implement it with the available skills and tools.

Tip 3: Redesign One of Your First Projects

There’s always a clear evolution in a designer’s skill set, from the day they begin designing to the present day. And that’s a good thing. If your work doesn’t improve or change with time, then you’re going to have a lot of catching up to do when the stagnation begins to hurt your business.

Want to see how much progress you’ve made so far? Revisit one of your first projects and look at it with fresh eyes. I bet you’ll see a big change in how you design today from how you designed that site then.

Now, ask yourself what you would do differently. And then, go to your sandbox and do the redesign.

Tip 4: Work on a Passion Project

A friend of mine is taking a UX design course and needed some users to run through a prototype he created for the class. He could create anything he wanted, so he designed an app related to his other love: Music.

While he could’ve easily thrown together some carbon copy of Spotify or SoundCloud, he came up with a completely new concept. And it was really impressive, to the point where I urged him to put it into production and see if he could list it in the app stores.

I think it’s when we’re really passionate about something that we’re willing to push past our limits. So, carve out some time to tackle that passion project you’ve been toying around with and see where it takes you.

Tip 5: Share Your Designs on Dribbble and Ask for Feedback

One of the reasons UX designers do user testing is how valuable users’ raw input is. While it would be nice to think that design is a completely subjective matter, that isn’t really the case when usability becomes compromised due to design choices.

Understanding what users like and dislike is an important part of taking your design skills to the next level. And a good way to do that is to share your designs on Dribbble.

Here’s an example of UI8 asking for feedback:

Tip 6: Create a Design Toolbox

I’m a huge fan of automation and shortcuts powering things behind the scenes in business.

After all, one of the reasons you become a web designer is so you can design, right? When you’re bogged down with administrative and logistical tasks, that’s time spent away from doing what you enjoy.

One way in which you can streamline your backend processes is by putting together a design toolbox. Your preferred CMS. Flexible templates or apps you use from project to project. Website testing tools. And so on.

As you do this, it’ll force you to examine how you build websites. Are you really working as efficiently as possible? Are there newer apps or systems that’ll help you design better sites? And as you improve your design toolbox, you’ll improve your design skills.

Tip 7: Subscribe to Your Favorite Blogs

I have a hard time recommending this one, only because I’m reluctant to sign up for yet another newsletter. That said, I do see the value in subscribing to some blog newsletters as I don’t always remember to revisit their websites and check out the latest content.

What I’d suggest you do is pick one or two design blogs that have a good variety of content and publish regularly. And then pick one small business or freelance blog.

WebdesignerDepot, of course, is a good one to start with as it comes at a good frequency, recommends great reads from all around the web, and is fluff-free:

I’d also recommend signing up for one that’s focused on your niche as well as one for business.

As a freelancer, I’d vote for the Freelancers’ Union newsletter. There’s always something timely and useful in there.

Tip 8: Listen to a Podcast

I just adopted a second dog, so I’ve spent a lot more time on walks while house-training her. At first, I was stressed about it because it was time spent away from work. However, I started to fill that time with podcasts and found that it helped me work better for the rest of the day.

One reason is that I’ve been listening to work-related podcasts, which are always chock full of helpful tips. Another reason is that it gives my eyes a rest from looking at the screen so that when I come back 15 or so minutes later, I feel refreshed and ready to go.

Rebekah Carter has a good set of web design podcast recommendations to get you started.

Tip 9: Take a Free Online Design Course

There’s an overabundance of information online. If you want to brush up on CSS, there are hundreds of YouTube courses that cover it. If you want to learn how to use a new WordPress plugin, you’ll find dozens of great tutorials across various online course platforms, YouTube channels, and even people’s blogs.

There’s no need to go back to school to become a better designer. Here are five places where you’re bound to find free courses for web designers.

Tip 10: Read a Book on Design Principles or Theory

It’s easy to lose sight of design principles when your clients are clamoring for a website that will make them a lot of money, get them a lot of readers, and so on. Sure, you can design a UI and UX that works, but do you remember why the design choices you made are effective?

Choose a book — just one to start — that’ll help you reconnect with the roots of good web design. Not only will you get a good refresher on web design principles or design theory, but you might learn something brand new.

Here are some of my favorite books for web designers:

Tip 11: Find Your People

Now more than ever, finding a community of like-minded web designers, developers, or freelancers is important. It’s not just about having a group of people to vent to when clients drive you nuts (though that’s great, too).

It’s about finding a group that brings something new to the table and enriches your understanding of web design and what it means to be a web designer.

If you’re on Facebook or LinkedIn, start there. There are tons of web design and freelance groups that have productive discussions every day. If you prefer to meet up with local designers and developers, check out Meetup.

You may be surprised by how many groups there are and the kinds of meetups they have planned.

Tip 12: Attend a Virtual Conference

Did any of you attend a design conference last year? I did. I virtually attended Adobe MAX — from the comfort of my home, in my pajamas, for three days.

I scheduled my assignments around the sessions I wanted to attend and didn’t have to pick one over the other (i.e., “Do I make money or do I learn something new?”).

Some of the sessions showed us how to do more with Adobe’s tools, while some of them featured design and business leaders who shared personal insights on how to work more effectively. It was a great way to shake up my normal routine and to get a ton of information about the future of web design in a short period of time.

Which of These Tips Will You Use to Improve Your Design Skills?

Like I said before, there’s a lot you can do to improve your design skills. Just be careful not to overdo it.

Pick one or two things on this list to start with. If you have more time in your schedule and you’re excited about what you’ve learned so far, add a couple more.

Just take it slowly. Your brain will only be able to absorb so much at once. Plus, the last thing you want is to burn yourself out on skills training and not have the energy to complete your work.

 

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