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Container registries serve as libraries to store and access third-party container images required during the build phase of the SDLC and the images produced for deployment to test, staging, and production environments. While public container registries are accessible and convenient, private registries can better integrate into existing CI/CD workflows, offer greater control over access and security, as well as help ensure build repeatability and reliability. This Refcard covers key container concepts and terminology; common use cases; and guidelines for container registry configuration, operation, security, and storage.
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Les apports de l’industrie 4.0 permettent de rendre les entreprises plus agiles, et aptes à répondre aux enjeux d’hyperpersonnalisation des produits, ainsi qu’aux aléas, économiques, sanitaires ou climatiques.

L’industrie doit faire face aujourd’hui à deux défis clés :

  • L’hyperpersonnalisation des offres induite par la montée de l’économie d’expérience, qui pousse les entreprises à aller de la mass production vers la mass customization.
  • La multiplication des changements brusques dans les habitudes de consommation, provoquée par des crises sanitaires, économiques et bientôt climatiques.

L’industrie 4.0 entend répondre à cette double problématique en rendant la production plus agile. Basiquement, l’industrie 4.0, c’est la transformation numérique appliquée au monde de l’industrie, avec une digitalisation des processus de production. Digitalisation qui doit s’accompagner d’une collecte et circulation des données assurée en temps réel entre les sites de production et le SI de l’entreprise.

De la nécessité de disposer d’un socle solide

Des processus standards et une plate-forme robuste sont nécessaires. « Notre partenariat avec SAP remonte à 2007, lors du déploiement de l’ERP qui sert maintenant de socle à notre stratégie Industrie 4.0. Les notions de socle et de standardisation des processus sont très importantes, » témoigne Damien Régnier, Digital & Shopfloor Operation chez Faurecia.

Attention toutefois à ne pas faire de la standardisation des processus un facteur de réduction de la flexibilité. « Il y a un écart entre le monde de l’ERP et le « shop floor ». L’un a besoin de processus standardisés alors que l’autre demande un certain niveau de flexibilité. » C’est donc un équilibre entre agilité et efficacité qu’il faudra savoir trouver.

Tout n’est d’ailleurs pas forcément bon à digitaliser sur la chaîne de production. « Il faut partir du « pain point » pour trouver des sources de gain, du ROI. Cibler les bons processus avec les bonnes technologies, » analyse François-Xavier de Thieulloy, expert Industrie du Futur à la Direction de l’accompagnement chez Bpifrance.

Le MES, primordial sur les chaînes de production

« L’introduction d’un MES (Manufacturing Execution System, logiciel de pilotage de la production) a été une étape importante dans la digitalisation de nos processus de production », explique Alexandre Sizaret, responsable Production System Efficiency chez Airbus. « Notre MES, sur base SAP ME, est aujourd’hui déployé dans 280 stations de production à travers l’Europe et utilisé quotidiennement par 5000 collaborateurs. »

Un MES permet de faire remonter les données de production en temps réel, mais également de faire redescendre alertes, informations et décisions auprès des opérateurs. Alexandre Sizaret alerte toutefois sur les dangers d’une digitalisation à outrance des processus. « À vouloir trop enrichir le MES, nous avons fini par perdre des utilisateurs. Nous avons alors pris du recul pour retravailler l’expérience utilisateur, en partenariat avec les opérateurs et les chefs d’équipe. »

« La co-construction de la solution reste primordiale, confirme François-Xavier de Thieulloy. Il faut écouter les acteurs de terrain afin de pouvoir les embarquer dans le projet. »

Les règles d’une digitalisation réussie

Nous l’avons vu, pour disposer de données de qualité et en quantité suffisante, il faut tout d’abord disposer de fondamentaux solides, comme un ERP. Mais aussi un MES, pour descendre au plus près de la chaîne de production, ainsi que des technologies comme l’IoT qui vont faciliter la capture de données.

Il faut également savoir traiter ces données qui vont aider à la prise de décision (data to action) ou piloter directement des processus (data driven process). Des informations doivent également redescendre afin de faciliter le travail de l’opérateur. L’opérateur augmenté est un des atouts clés de l’Industrie 4.0.

Enfin, lorsque le volume de données devient suffisant, des techniques de Machine Learning et d’Intelligence Artificielle pourront être utilisées afin d’anticiper les aléas et d’améliorer la production ainsi que la maintenance des équipements.

Tout ceci nécessite toutefois un SI solide et complexe, qui n’est pas toujours à la portée des petites entreprises. « Les PME industrielles ont besoin de solutions très packagées, proposant un ROI rapide », confirme François-Xavier de Thieulloy.

D’autres défis à ne pas négliger

Alexandre Sizaret insiste par ailleurs sur la nécessité d’assurer une continuité digitale : « La data doit aller de l’ingénierie jusqu’à la production et vice versa. Savoir capter ce qui se passe sur le terrain permettra d’alimenter des jumeaux numériques avec précision. »

Damien Régnier milite pour sa part en faveur de solutions hybrides : « Il faut trouver le bon équilibre entre du tout cloud et du tout local, du tout standard et du tout spécifique, mais aussi du tout agile et du tout efficace. »

Enfin, François-Xavier de Thieulloy, alerte sur le besoin d’accélérer le rythme de transformation : « Nous aimerions passer rapidement de quelques dizaines d’entreprises qui franchissent le pas chaque année vers l’Industrie du Futur à quelques centaines. »


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Les innovations technologiques permettent à l’industrie européenne de relever de nouveaux défis, dont la relocalisation de la production et la maîtrise de l’empreinte environnementale. Place à la quatrième révolution industrielle !

Les trois grandes révolutions industrielles sont toutes liées à des innovations majeures :

  • 1re révolution industrielle, le passage de l’artisanal au mécanisé, grâce à la vapeur.
  • 2e révolution industrielle, une production de masse standardisée, grâce à l’électricité.
  • 3e révolution industrielle, la flexibilité des automates programmables, grâce au numérique.

L’Industrie 4.0 s’appuie non pas sur une innovation de rupture, mais sur un package d’innovations : robotique avancée, Machine to Machine, IoT, réseaux 5G, impression 3D, jumeaux numériques, Blockchain pour la traçabilité, mais aussi Machine Learning et Intelligence Artificielle.

Au cœur de cette révolution se trouve la data. Plus précisément la capacité à collecter toutes les données de l’usine, puis à les faire remonter, généralement dans le cloud, avant de les traiter, en mode big data, puis enfin de transformer ces données en décisions, le data to action.

Lancé en 2011 par un ensemble d’acteurs, dont SAP, le concept d’Industrie 4.0 offre l’agilité et la résilience nécessaires pour répondre aux exigences de l’économie d’expérience et aux aléas, devenus hélas de plus en plus fréquents. Il permet également de basculer d’un modèle de production de masse, initié avec la seconde révolution industrielle, vers une stratégie de personnalisation de masse, répondant mieux aux besoins des consommateurs actuels.

Le moment est venu pour l’Industrie 4.0

Si certaines technologies de l’Industrie 4.0 existent parfois depuis des années, une conjonction de facteurs permet aujourd’hui de les combiner et de les démocratiser. « L’Industrie 4.0 entre en production, car son ROI est fort, explique Aymeric de Pontbriand, CEO de Scortex. Les nouvelles technologies deviennent en effet suffisamment abordables pour que l’équation économique prenne du sens aux yeux des industriels. Mais le vrai challenge reste celui des compétences nécessaires au déploiement en masse de ces nouvelles technologies. »

« Aujourd’hui, nous avons de la donnée et les technologies sont matures, poursuit Erwin Guizouarn, président d’Evolution Energie. Se pose la question du passage à l’échelle. Les industriels veulent pouvoir rapidement déployer ces technologies, en masse. Il y a un vrai challenge sur la fourniture de plates-formes personnalisables, robustes et sécurisées. Les données sont là. Les infrastructures et applicatifs sont en train d’arriver. »

Le moment est venu de relocaliser la production

L’hyperpersonnalisation des produits est une chance pour l’Europe, car elle se traduit par une relocalisation des usines. Difficile en effet de faire parvenir dans un temps raisonnable un produit personnalisé à un client, s’il doit traverser la moitié de la planète dans un conteneur.

Cette nouvelle industrie ne sera toutefois pas celle d’hier, ne fabriquera pas les mêmes produits et ne fera pas travailler les mêmes types de profils. Elle est plus technique, mais aussi plus affûtée et mieux optimisée. Elle se veut également plus vertueuse d’un point de vue écologique.

« La relocalisation de la production est une opportunité fantastique pour l’Europe, confirme Aymeric de Pontbriand. Cela se traduira par de l’emploi, souvent dans des régions désertées. Tout en repartant sur de nouvelles bases, avec une production moderne et soucieuse de son impact environnemental. » Erwin Guizouarn confirme cette tendance verte : « Les grands industriels français se sont engagés à devenir neutres en carbone d’ici 5 à 10 ans. Il y a un vrai mouvement en France pour aller vers des énergies propres et une production décarbonée. Industrie 4.0 et transition énergétique sont non seulement conciliables, mais souhaitables. »

Scortex et Evolution Energie montrent la voie

Les industriels veulent pouvoir disposer de solutions de type Industrie 4.0 clés en main, au ROI immédiat. Evolution Energie se concentre sur l’exploitation des données liées à l’énergie et son utilisation, avec comme objectif une maîtrise de ces coûts, qui peuvent représenter jusqu’à 80 % des dépenses de certains industriels. Scortex numérise pour sa part le contrôle qualité au travers de techniques d’Intelligence Artificielle. Le contrôle qualité manuel par inspection visuelle est en effet une tâche ingrate, qui peut représenter de 20 % à 30 % des dépenses d’un industriel.

Grâce à ce type de solutions ciblées, les industries peuvent basculer par étapes vers le 4.0. Mais certains enjeux restent plus globaux. « Le traitement massif de la donnée permet de passer par exemple à du vrai temps réel, ou de mettre en place une gestion globale de la production au niveau d’un groupe entier », illustre Erwin Guizouarn.

« Lors du passage à l’Industrie 4.0, il faut toutefois faire attention à ne pas laisser des sous-traitants sur le bord de la route, prévient Aymeric de Pontbriand. L’Industrie 4.0 va s’accompagner d’un véritable enjeu d’homogénéisation de la Supply Chain. »


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As we approach our first winter holiday season since the pandemic set in, the world could feel like a very scary place; there is a great deal of uncertainty about the future for businesses, for young people in education, for jobs, for travel. Celebrations are certainly going to be a lot quieter this year.

And yet, the web is far from showing doom and gloom. We’re seeing confidence and positivity in designs across the board. As businesses and people adapt to the demands of social distancing and WFH, we’re seeing a focus on simplifying, appreciating quality over quantity, taking better care of ourselves and our world, and making the most of our time. And this is reflected through design in a variety of ways: visually minimal style, pared down content, fresh colors, statement type, great photography, illustration.

There is confidence in abundance on the web. Enjoy…

Mammut Expedition Baikal

Mammut make outdoor clothing and equipment, and this microsite is for its Eiger Extreme collection. Stunning photographs of Swiss speed climber Dani Arnold climbing at Lake Baikal in Siberia are cleverly interspersed with details of the company’s products he can be seen wearing, along with links to buy. It feels natural, rather than forced.

Wavering Stripes

This a beautifully made site highlighting the experiences of people held in immigration detention centers in the US. The illustrations belie the grimness of the stories told — on the landing page there is a warning as to the nature of the content.

Juan Mora

Proof that holding pages don’t have to be boring, this ‘under construction’ site for interface designer Juan Mora is a far cry from the warning-barrier and stick-figures-at-work gifs of the web’s early days.

Cafecrema

Cafecrema’s simple, one page site creates the atmosphere of 1950s coffee shops through its illustration style, a jazz soundtrack, and a very mid-century modern color palette.

A N Other

Perfume brand A. N Other prioritises quality ingredients and materials, simplicity, craftsmanship, and the environment. Its website captures this perfectly, and invokes a sense of luxury as the result.

Puddle Sound

Puddle is an architectural and interior design company, who also do product and furniture design. For a Tokyo hotel project they created a vacuum tube amplifier, that is the subject of this site. It is as simple as can be with only the barest essential information, and with all attention focused on the product shots.

Hous

Hous Luxe Woningen are a Dutch company who build luxury homes. The high quality images, muted color scheme and generous use of white space in its website reflects this sense of luxury perfectly.

Who Cares?

Who Cares? is an interactive game designed to raise public awareness of endangered animal species. The illustration style is very pleasing, and there are some lovely little details in the animation and sound.

Ugly

This site for sparkling water company Ugly, uses bold, cartoonish typography and illustrated characters to add a lot of character to, well, water.

Glyphs

Glyphs font editor version 3 was released on 16th November. The accompanying site has a fresh feel, mainly due to its striking color scheme. The on scroll animation showcasing variable fonts is a nice touch.

Ruler Agency

Ruler Digital Agency uses color only in the images of work on its own site. Everything else is grayscale, even the images, which can be a really effective technique when it is used well, as it is here.

Zoë Pepper

Zoë Pepper is a collective of freelance brand strategists who work with early stage startups. The site is minimal without feeling empty, and utilises quirky illustration and scrolling animation to good effect.

Karst

Karst make notebooks using paper made from stone, and woodless pencils. Its site has a simple, clean feel with a muted, neutral color scheme that complements the colors of its notebook covers.

London Alley

London Alley is a production company who concentrate on music videos and advertising. Its site is simple and striking with plenty of video, and effective use of split screen.

LoveSeen

LoveSeen makes false eyelashes, and nothing else. The site has a fun, inclusive feel — more girl(and boy)friends together than glossy, high fashion magazine. It’s appealing and persuasive.

Chartogne-Taillet

This site for wine-growers Chartogne-Taillet uses illustration and an animated, ‘hand’ drawn map to create a sense of heritage, appropriate for a family with a long history of making wine in the Champagne region. It is reminiscent of a label on a good bottle of wine.

Refusi Studio

Refusi Studio is a design agency from Italy. This portfolio site is simple, with strong colors and big, statement typography. And a giant cartoon eye.

Yesterday, Today, Tomorrow

Yesterday, Today, Tomorrow is an interactive project from the National Film Board of Canada. It uses tweets to trace emotional ‘waves’ throughout the Covid-19 pandemic.

Boost

Boost is a gummy (chew) vitamin supplement for the immune system. Big type, big graphics and lots of orange and purple — the colors associated with vitamin C and antioxidants — make vitamins cool.

Philiber

Philiber is a meal delivery subscription service, available in urban centers in Quebec. The site is clean and modern, with a comforting color scheme and a nice mix of photography and flat style illustrations.

Source


Source de l’article sur Webdesignerdepot

When I use map apps such as Google Maps, I often use Street View to display more detailed views of a street or inside of a building.  Although Google Street View is fantastic, there are many use cases where I want to control the development pipeline and assets without having to upload images to Street View. 

To control and optimize your business workflow, you can use open-source Marzipano to build virtual tours yourself and host the tours on your own web site.  This tutorial explains how to build the tour with open source software and host it for free on GitHub Pages. The technology and techniques can scale to large cloud businesses and are in production at commercial sites.   This tutorial focuses on a minimal simplified site to get you started with the basic concepts in minutes.

Source de l’article sur DZONE

As more organizations move to establish DevOps techniques into their Software Development Life Cycle, the need of security becomes even more evident when so much application development is going on. But…

Security and DevOps Aren’t Natural Companions

The idea of security in DevOps or DevSecOps doesn’t go very well with the classic DevOps process that insists on continuous integration, delivery, and deployment. When at production you’re constantly releasing smaller bits of your code and application using the DevOps pipeline, introducing security to DevOps can slow down the process significantly. You can’t just pass that through a security team that takes several weeks bringing the new release out to production. 

Source de l’article sur DZONE

L’éthique est au cœur de la démarche IT de la MAIF. Robotiser les processus, oui, à condition que cela soit bénéfique aux sociétaires, aux collaborateurs, ainsi qu’aux performances et aux engagements sociaux de l’entreprise. À ce jour, une quinzaine de robots ont été déployés avec succès.

La MAIF est un assureur à part. Capitalisant sur ses valeurs mutualistes et sociales, la MAIF est financièrement solide, a décroché 16 fois le Podium de la relation client pour le secteur de l’assurance, tout en restant le seul assureur à faire partie des 50 entreprises les plus admirées des Français (IFOP – JDD – Nov 2019). Un impressionnant palmarès, mais qui ne doit pas faire oublier les questions d’efficacité opérationnelle. Un élément clé de satisfaction des sociétaires.

C’est en 2017 que la MAIF s’est penchée sur les technologies de RPA (Robotic Process Automation). Après une première expérimentation, l’assureur a compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette technologie. Suite à appel d’offre, la solution de SAP a été choisie et déployée en 2018.

« Nous répondons aux sollicitations des métiers, qui expriment leurs besoins et décrivent une solution d’automatisation. Après étude du projet, le RPA est souvent préconisé pour répondre à ces demandes, car il est souple, facile à mettre en œuvre, avec un budget restreint » explique Jocelyn Paris, Chargé d’étude des systèmes d’information à la MAIF.

Avec le RPA, il n’est pas nécessaire de développer de nouvelles applications dans l’environnement MAIF : le robot va tout simplement reproduire des actions utilisateur. Ce qui est à la fois rapide et peu coûteux. Une quinzaine de robots sont aujourd’hui en production.

Une aide précieuse pour le service contrats

Les assureurs ont une responsabilité d’évaluation du niveau de risque de chaque assuré. Plusieurs fois par an, la MAIF fait ainsi ressortir les situations en alerte. Toutefois, un tiers de ces alertes peuvent être écartées selon des règles spécifiques et sans qu’il soit nécessaire de se mettre en relation avec l’assuré. Ce travail fastidieux peut être confié à un robot, libérant ainsi du temps pour les collaborateurs. Mis en place en un peu plus d’un mois, ce robot est un succès et se charge de sortir les fiches pouvant l’être de façon automatique.

Lors du batch d’avril 2020, les collaborateurs n’ont pas pu avoir un accès direct aux fiches papier. Le robot a donc été modifié pour reporter l’ensemble des fiches au prochain batch de septembre. Les services en charge d’imprimer et de traiter ces fiches ont été soulagés d’une tâche difficile à mettre en œuvre en télétravail. Les processus de RPA ont ainsi montré leur capacité à s’adapter rapidement à une nouvelle situation.

« Nous avons démarré avec un premier robot chargé de faciliter la régularisation des situations comptables de certains de nos assurés. Sur 15.000 cas recensés par an, 8000 à 9000 sont maintenant traités par ce robot, soit 1500 heures gagnées, témoigne Magalie Vincent, Responsable d’équipe au service contrats. Un nouveau robot, déployé en janvier 2020, aide à traiter les fiches d’observation de la sinistralité. Sur 8000 fiches, le robot a pu en écarter 2600. Cela simplifie notre travail en nous soulageant d’une tâche chronophage, qui mobilisait jusqu’à 15 collaborateurs. Nous pouvons ainsi nous pencher sur les cas les plus intéressants et nous recentrer sur notre rôle d’analyse du risque. »

Notez qu’une phase d’ajustement des critères d’action de ce nouveau robot devrait lui permettre de prendre en charge un plus grand nombre de dossiers.

Une accélération des rapprochements bancaires

Il est parfois difficile d’effectuer des rapprochements entre les paiements reçus et les contrats des assurés. Chaque jour, des centaines de règlements ne sont pas rattachés automatiquement au compte d’un sociétaire. La MAIF dispose d’un outil pour faire ressortir les virements non identifiés et d’un autre pour rechercher des coordonnées bancaires dans les bases de la société. L’affectation au bon sociétaire des fonds reçus sans référence reste toutefois un travail fastidieux.

Le rapprochement entre ces différentes bases de données est une tâche qui peut être en grande partie automatisée. Le robot se charge de prendre la référence d’un paiement dans le premier outil et de rechercher à qui il pourrait correspondre dans le second. Le service de la gestion économique dispose ainsi de plus de temps pour se pencher sur des dossiers complexes.

« Le robot nous aide dans ce travail fastidieux, long et très répétitif, confirme Sylvie Carasco, Chargée de gestion comptable, service comptabilité assurance et réassurance. Il est capable de rechercher simultanément dans plusieurs bases de données suivant des critères comme le nom ou l’IBAN, et de trouver un ou plusieurs sociétaires pouvant correspondre. Le travail de recherche est ainsi défriché, ce qui permet d’accélérer la clôture de chaque dossier. Ce robot est d’une aide précieuse, en particulier lors des périodes d’échéances annuelles, où 500 à 600 recherches doivent être effectuées chaque jour, occupant de 7 à 8 personnes à temps plein. »

Là encore, ce robot s’est montré particulièrement utile pendant la crise du Covid-19. Avec un taux de réussite de 80 %, il remplit ses objectifs. L’amélioration continue des critères d’action du robot devrait encore augmenter son efficacité.

Et des dizaines d’autres projets en préparation…

Le service qui gère les conventions automobiles en est déjà à trois robots déployés et un quatrième en cours de développement. Très intéressé par le RPA, le service conventions réfléchit à d’autres processus que cette technologie pourrait contribuer à automatiser.

« C’est un travail que nous avons mené sur plusieurs années, explique Céline Beunet, Responsable du service conventions. Les robots du service convention adressent des tâches précises : prise en charge d’un évènement non déclaré via l’ouverture d’un dossier et l’envoi d’un courrier au sociétaire ; automatisation du changement d’assureur lorsque le recours a été initialement présenté à la mauvaise partie ; suivi du remboursement du forfait, lorsqu’un recours présenté par une compagnie adverse a été contesté et refusé. Dans ce dernier cas de figure, le robot vérifie dans les échanges informatisés que nous avons bien été remboursés, puis classe le dossier. Ce que j’aime, c’est la possibilité de fixer les conditions d’action du robot et non de lui confier 100 % des processus. Ainsi, dès qu’un cas est litigieux, le gestionnaire reprend automatiquement la main. »

Le premier ROI du RPA est le temps qu’il fait gagner aux équipes. Économique et facile à mettre en œuvre, c’est un outil sans concurrence pour automatiser les processus. « Par rapport au coût d’automatisation d’une chaine logicielle, le RPA revient quasiment 10 fois moins cher, confirme Jocelyn Paris. Mais attention, le ROI est évalué selon quatre axes : la satisfaction des sociétaires ; la satisfaction des collaborateurs ; la performance de l’entreprise ; et l’aspect RSE. On ne veut surtout pas d’un robot qui remplace l’humain, mais d’une technologie qui aide l’humain. »

Maintenant que la plate-forme est en place et accessible largement, les demandes affluent et devraient sans nul doute s’intensifier. « La société française va vers plus de réglementation et d’administratif. Le RPA peut contribuer à atténuer ce phénomène. Si un robot peut s’occuper d’un traitement administratif, c’est aussi bien, car nous préférons que nos collaborateurs se focalisent sur leur cœur de métier : la relation humaine. » L’assureur militant s’engage ainsi au service de la performance comme du bien-être de ses collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

Les entreprises créent des plateformes ouvertes qui permettent aux clients de participer à tous les aspects de l’expérience, à la fois de manière active et de manière passive.

Le succès des plateformes ouvertes

Les clients ne se contentent plus d’être de simples consommateurs de biens et services, ils font partie intégrante du business model. Lorsqu’ils contribuent à la conception, production, commercialisation et utilisation de produits et services, la participation des clients est active. Quand ils acceptent de laisser les entreprises utiliser leurs données pour formuler et fournir des produits et services qui leur sont destinés, elle est passive.

Quoi qu’il en soit, les entreprises ne peuvent survivre sans créer des plateformes de données qui encouragent à la fois la participation active et passive des clients au développement de produits, de services et à l’expérience globale. Contrairement aux référentiels de données classiques qui ne servent qu’aux entreprises, ces plateformes ouvertes offrent de la valeur aussi bien aux clients qu’à l’entreprise.

Par exemple, plutôt que de devoir atteindre attendre la prochaine version d’une application de suivi alimentaire ou de cuisine, les clients ont accès à des plateformes ouvertes où les utilisateurs peuvent ajouter de nouveaux aliments, de nouveaux produits et de nouvelles recettes que d’autres personnes peuvent rechercher et utiliser. Les entreprises agroalimentaires et culinaires boostent la fidélité des clients et parviennent à développer leur plateforme de manière exponentielle, ce qui nécessite que très peu d’investissements supplémentaires.

Toutes ces données offrent aux entreprises agroalimentaires des informations inestimables sur la façon et l’endroit les plus adaptés pour développer leur activité. La plateforme devient le socle de l’entreprise et fournit une visibilité incroyablement riche sur le client, ce qui permet de définir une orientation
stratégique pour l’avenir.

D’autres entreprises, comme les fournisseurs de matériels agricoles ou fabricants de réacteurs d’avions, créent également des plateformes qui surveillent leur utilisation et encouragent la participation. Au fur et à mesure que ces plateformes deviennent plus intelligentes et que de nouvelles fonctionnalités sont ajoutées, la participation devient plus facile, créant ainsi un cercle vertueux. En échange de leur créativité et de leur expertise, les clients s’attendent à recevoir de meilleurs produits et services, bien sûr, mais apprécient aussi le statut, la reconnaissance, le sentiment d’appartenance et le sens issus de leur contribution à quelque chose qui leur tient à cœur.

Les clients s’attendent de plus en plus à contribuer à leur expérience des quatre façons suivantes :

En tant qu’utilisateurs

Les entreprises les plus performantes intègrent désormais les données client à l’expérience client, ce qui permet aux clients d’en tirer directement parti. Avant, par exemple, les montres connectées constituaient à elles seules l’expérience. Aujourd’hui, ce sont des dispositifs d’entrée qui alimentent les plateformes de données afin que les clients puissent profiter d’expériences beaucoup plus riches qu’ils ne pourraient le faire avec le dispositif seul (par exemple, records personnels, concours collectifs, rencontres et partage d’itinéraires).

En tant que créateurs

Les entreprises mettent des plateformes numériques à disposition du client pour libérer son imagination. Plutôt que de laisser les clients attendre la prochaine version de leur jeu vidéo, par exemple, les éditeurs créent des plateformes ouvertes sur lesquelles les joueurs peuvent créer de nouveaux niveaux et modules à destination de toute la communauté. D’autres permettent aux clients de suggérer de nouveaux concepts de produits.

En tant que producteurs

Les clients contribuent activement à la fabrication de produits. Par exemple, si les systèmes d’énergie renouvelable permettent aux clients qui produisent de l’électricité excédentaire de la vendre au réseau, les fournisseurs de repas en ligne livrent quant à eux aux clients des ingrédients et instructions pour qu’ils préparent eux-mêmes leurs repas à la maison (quoi de plus important qu’un repas fait maison et pris en famille ?).

En tant que soutiens

Les clients privilégient de plus en plus les entreprises qui leur permettent d’être actifs, de participer visiblement aux trois 3 R (réduction, réutilisation et recyclage) et à des programmes de recommerce (ou commerce inversé) (9). Les produits pouvant être facilement reconvertis, revendus, démontés et recyclés donnent satisfaction aux personnes préoccupées par le changement climatique, d’autant plus que les trois R sont en train de devenir un enjeu moral pour un nombre croissant de clients (voir « Les valeurs définissent la valeur »).

Quelles sont les étapes suivantes pour votre entreprise ?

Créez de la valeur à partir de la participation passive

Généralement, les clients acceptent de fournir leurs données en échange de valeur, surtout s’ils n’ont rien à faire. Par exemple, après avoir obtenu l’autorisation des clients d’accéder à leurs données bancaires et de carte de crédit, les sociétés financières utilisent des algorithmes de Machine Learning, des outils d’analyse et d’immenses référentiels de données pour créer des rapports d’investissement pertinents, sans que les clients n’aient à bouger le petit doigt.

De la livraison de produits finis à la mise à disposition de plateformes ouvertes

Appréhendez les clients comme de véritables partenaires, capables de participer à n’importe quelle étape de la chaîne de valeur. Donnez-leur les moyens d’agir avec une partie du produit, comme des jeux vidéo en ligne ouverts ou des services de repas qui permettent aux clients de préparer eux-mêmes leur repas. Engagez-vous dans un concept de copropriété à long terme en collaborant avec vos clients et d’autres entreprises, et en prenant soin de vos clients.

Expliquez la contrepartie

Expliquez clairement au client la valeur qu’il reçoit en échange de ses contributions à la chaîne valeur. L’expression créative, les liens communautaires, la reconnaissance et les expériences personnalisées, en plus de la valeur du produit lui-même, sont des exemples de ce que les clients pourraient obtenir.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références

(9) Alissa Marchat, “Consumers Prefer Reverse Vending Machines for Bottle Recycling, Survey Finds,” The Shelby Report, April 27, 2018, http://www.theshelbyreport.com/2018/04/27/consumer-recycling- preference-survey/. Brandon Gaille, “27 Recommerce Industry Statistics and Trends,” Brandon Gaille, January 22, 2018, https://brandongaille.com/27-recommerce-industry-statistics-and-trends/.

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Source de l’article sur sap.com

BNP Paribas annonce la signature d’un accord de distribution des produits SAP au sein du Groupe. L’usage des technologies de SAP permettra de développer de nouvelles solutions innovantes et de répondre aux demandes de plus en plus complexes des régulateurs du monde entier en matière de gestion financière, de risque et de reporting. Le contrat porte notamment sur les solutions SAP HANA et SAP S/4HANA pour accélérer la transformation.

Le Groupe BNP Paribas est une banque de premier plan en Europe avec un rayonnement international. Il est présent dans 71 pays, avec près de 199 000 collaborateurs, dont plus de 151 000 en Europe. Le Groupe détient des positions clés dans trois grands domaines d’activité : Domestic Markets et International Financial Services, dont les réseaux de banques de détail et les services financiers sont regroupés dans Retail Banking & Services, et Corporate & Institutional Banking, centré sur les clientèles Entreprises et Institutionnels.

BNP Paribas fait face à l’évolution de son secteur et contribue à sa transformation. Pour parvenir à plus d’efficacité opérationnelle, le Groupe mise sur la digitalisation de son activité et sur la contribution de SAP à cette stratégie.

Des solutions nouvelle génération pour plus « d’intelligence » dans la gestion de l’activité

Les banques doivent s’adapter aux nouvelles exigences d’un secteur en constante évolution, notamment en matière d’analyse de gestion des risques et d’évolution des marchés. La base de données SAP HANA répond à ces attentes grâce à des outils d’analyse avancés et des moteurs de traitement de données multi-modèles intégrés – plus de 1,5 milliard d’informations seront ainsi traitées chaque jour. Cette plateforme de base de données permettra également de développer des applications nouvelle génération. Grâce à des analyses avancées en temps réel, l’entreprise gagne en agilité et évolue en maîtrisant ses coûts. La solution SAP HANA permet ainsi de :

  • Moderniser l’architecture existante de suivi des risques de marché et d’améliorer les performances
  • Créer de nouvelles capacités de reporting et d’analyse des risques en temps réel
    Améliorer la production des reporting réglementaires, par l’augmentation des volumes des données traitées, leur fréquence et leur diversité.

L’ERP intelligent et intégré SAP S/4HANA fait également évoluer la fonction financière. Il va permettre de perfectionner la gestion prévisionnelle des achats, grâce à des processus comptables plus digitalisés et prédictifs permettant d’accélérer la clôture de fin de période, de garantir une conformité permanente et une expérience utilisateur de qualité pour une productivité plus élevée.

« En tant qu’acteur de longue date dans le secteur des services financiers, SAP possède une connaissance et une compréhension approfondies des exigences et des défis auxquels les banques sont confrontées au niveau mondial », a déclaré Luka Mucic, Chief Financial Officer de SAP. « Nous sommes fiers de collaborer avec le Groupe BNP Paribas pour soutenir leur initiative de transformation numérique. »

À propos du Groupe BNP Paribas

BNP Paribas est une banque de premier plan en Europe avec un rayonnement international. Elle est présente dans 71 pays, avec près de 199 000 collaborateurs, dont plus de 151 000 en Europe. Le Groupe détient des positions clés dans ses trois grands domaines d’activité : Domestic Markets et International Financial Services, dont les réseaux de banques de détail et les services financiers sont regroupés dans Retail Banking & Services, et Corporate & Institutional Banking, centré sur les clientèles Entreprises et Institutionnels. Le Groupe accompagne l’ensemble de ses clients (particuliers, associations, entrepreneurs, PME, grandes entreprises et institutionnels) pour les aider à réaliser leurs projets en leur proposant des services de financement, d’investissement, d’épargne et de protection. En Europe, le Groupe a quatre marchés domestiques (la Belgique, la France, l’Italie et le Luxembourg) et BNP Paribas Personal Finance est le 1er acteur spécialisé du financement aux particuliers en Europe. BNP Paribas développe également son modèle intégré de banque de détail dans les pays du bassin méditerranéen, en Turquie, en Europe de l’Est et a un réseau important dans l’Ouest des Etats-Unis. Dans ses activités Corporate & Institutional Banking et International Financial Services, BNP Paribas bénéficie d’un leadership en Europe, d’une forte présence dans les Amériques, ainsi que d’un dispositif solide et en forte croissance en Asie-Pacifique.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

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La crise sanitaire a appris aux entreprises combien il est essentiel de savoir s’adapter rapidement. Que ce soit en termes de production, de sourcing ou encore de distribution. En adoptant un modèle plus durable, il est possible de garantir la continuité de l’activité, même en cas de changement inattendu et massif de la demande.

L’économie d’expérience s’est imposée comme la thématique clé de l’année 2019. Ce concept a toutefois été éclipsé en 2020 par un invité inattendu, la résilience. Les PRA et autres plans de préparation aux risques ont en effet été confrontés à une réalité de terrain : une crise sanitaire et économique, doublée de schémas de consommation et de distribution profondément perturbés.

Défi 1 : éviter la rupture d’activité

Les moins chanceuses des entreprises sont celles pour lesquelles le confinement a enlevé toute possibilité d’activité. Au plus dur de la crise sanitaire, certaines ont dû ainsi purement et simplement fermer leurs portes. Mais d’autres ont su également rebondir, au travers de la distribution multicanale, de l’innovation métier, ou de la saisie de nouvelles opportunités de marché.

Les industriels qui ont su rediriger rapidement leur production vers de nouveaux produits (masques, respirateurs, gel hydroalcoolique, repas à emporter…) ont pu tirer leur épingle du jeu. Avec les crises économiques, sanitaires et climatiques qui s’annoncent, il faut s’attendre à une multiplication de ces défis de flexibilité, et s’y préparer.

Défi 2 : le télétravail

Dans l’absolu, beaucoup d’entreprises pourraient poursuivre leur activité avec une majorité de leurs salariés en télétravail. Mais peu étaient prête à travailler de la sorte, du fait d’un back-office inaccessible hors des murs de l’organisation et manquant de flexibilité opérationnelle. Des solutions cloud, comme Teams ou Zoom, ont pu compenser en partie ce manque. Mais ce n’est pas suffisant.

Il faut maintenant mettre en place des systèmes plus agiles et intelligents, capable de mieux analyser et prévoir, mais aussi de mieux s’adapter à une forte volatilité de la demande. Ceci doit d’accompagner d’infrastructures ouvertes vers l’extérieur et sécurisées, mettant en œuvre des technologies comme des équipements informatiques mobiles, des solutions informatiques en mode cloud, des systèmes de communication unifiée, de la blockchain, etc.

Défi 3 : se rapprocher du consommateur

Qui dit télétravailleur dit consommation à distance. Les entreprises se doivent donc d’aller vers le consommateur, en privilégiant le B2C, par exemple au travers de l’e-commerce. Mais aussi en transformant le B2B en B2B2C ou encore le Direct Selling en Social Selling.

Cela induit des changements profonds dans la structure logistique, avec une nécessité d’optimiser à la fois la production et la chaîne de distribution, afin de desservir un maximum de clients en un minimum de fret. Nous retrouvons ici une problématique que nous avions déjà rencontrée avec la montée de l’économie d’expérience. Celle-ci se traduit en effet par une hyper-personnalisation des produits, qui doivent être directement livrés au client, sans délai.

La solution est donc peut-être de combiner ces deux problématiques, afin de les transformer en opportunité : savoir combiner l’impératif de résilience imposé par la situation économique et sanitaire à la volonté d’expérience portée par les consommateurs et partenaires.

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