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De spécialiste de l’ingénierie industrielle, ATS accélère sa transformation numérique et lance sur le marché un portfolio de nouveaux services digitaux notamment sur base de solutions SAP Cloud PLM et Assets (de l’Ingénierie à la machine as a service). Un acteur OT et IT, capable d’accompagner les organisations dans leur voyage vers l’industrie 4.0.

ATS, c’est avant tout une aventure familiale, démarrée en 1989 au Creusot. L’histoire d’un spécialiste en ingénierie industrielle (ATS Engineering), mais aussi en conception et réalisation de moyens de production automatisés (ATS Solutions). L’entreprise compte aujourd’hui 200 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel d’environ 20 millions d’euros.

“La quatrième révolution industrielle nous donne l’opportunité de transformer l’industrie, en la rendant à la fois plus performante et plus attractive. Notre ambition est d’accompagner dans leur transformation les femmes et les hommes (end-users) opérant sur des sites industriels, en apportant de nouveaux outils et services pour remettre l’Homme au centre et réinventer l’expérience Homme-machine.” Explique Rodolphe Roy, Président d’ATS. “Faire grandir l’Humain pour amener plaisir et reconnaissance dans l’industrie : Un élément crucial pour booster l’attractivité et attirer de nouveaux talents.”

Le numérique, nouveau pilier d’ATS

Le premier jalon de la transformation d’ATS est posé en 2011, lorsque Rodolphe Roy en devient l’actionnaire unique. En 2017, une fois le rachat sécurisé, la transformation du groupe peut commencer, avec comme nouvel axe le numérique.

La société est dans le même temps repérée par BPI France, qui l’invite à rejoindre le programme accélérateur PME/PMI, puis la French Fab, le porte-drapeau de l’industrie française en tant qu’ambassadeur pour la Bourgogne. Ce programme accélérateur pousse également ATS à aller au-delà de l’OT pour proposer des services IT à ses clients et remettre l’innovation au centre de sa transformation.

Des LAB’Innovation sont ainsi déployés sur chacun des sites d’ATS, afin de permettre à tous les collaborateurs de l’entreprise d’explorer et d’innover avec de nouvelles technologies digitales, comme le cloud, l’ingénierie collaborative en Réalité Virtuelle, l’impression 3D ou encore la capture de la réalité. Le tout en lien avec les clients et partenaires de l’entreprise.

« Notre langue maternelle est l’OT, mais nous avons fait IT seconde langue, ce qui nous permet d’accompagner les industriels dans leur transformation numérique. Nous avons pour vocation à être la courroie de distribution entre ces deux mondes. »

Il est vrai qu’en tant que concepteur de moyens de production automatisés, et connectés, ATS Solutions apporte déjà un savoir-faire à mi-chemin entre OT et IT, pour le compte de clients prestigieux comme Air Liquide, Arkema, Schneider Electric ou encore le CEA.

ATS Connect, l’intégrateur OT/IT des industriels

“Avec ATS Solutions, nous proposons aux industriels des nouveaux moyens de production (CAPEX) automatisés, connectés et flexibles, rappelle Rodolphe Roy. Toutefois, nous étions un peu frustrés de ne pas pouvoir les accompagner dans leurs phases d’exploitation (OPEX), ni dans leurs projets de numérisation de leurs parcs machines existants.”

“Notre nouvelle activité portée par ATS Connect répond à cela, mais pas seulement : nous accélérons sur l’accompagnement à la transition énergétique et environnementale des industriels, jusqu’aux projets de villes intelligentes (smart city).” Complète Jordan Lecat, COO d’ATS Connect.

ATS Connect est chargée de porter les projets de connexion digitale des équipements. Cela commence par un audit 4.0 du moyen de production, des échanges systématiques avec les utilisateurs finaux pour identifier leurs points de douleurs. Nous traitons ensuite la collecte des données et le traitement de l’information pour créer les bons outils de suivi de performance et de maintenance. Le tout en faisant appel au besoin à des technologies innovantes capables de projeter les entreprises dans le monde de l’industrie 4.0. À ce titre, ATS Connect devient un intégrateur de bout en bout de solutions OT/IT.

SAP, éditeur clé pour ATS

Autre jalon de la transformation d’ATS, la rencontre avec SAP en 2018. ATS voit dans les solutions Cloud Public PLM et Assets, respectivement SAP Enterprise Product Development (SAP EPD) et SAP Intelligent Asset Management (SAP AIM) associé à SAP Business Technology Platform (SAP BTP), une plate-forme ouverte et collaborative de choix pour gérer les équipements des industriels et porter des projets avancés, comme la mise en place de jumeaux numériques connectés. Cette plateforme Cloud devient ainsi un catalyseur pour le développement commercial des nouveaux services numériques d’ATS Connect.

« ATS Connect se positionne clairement comme offreur de solutions Industrie 4.0, explique Jordan Lecat. Nous collectons la data, que nous faisons remonter sur la plate-forme Cloud SAP, afin de proposer des services innovants à nos clients. Par exemple de la maintenance prédictive. Avec ATS Connect, nous pouvons enfin proposer une gestion de bout en bout des moyens de production des industriels. »

Dans le cadre du partenariat entre SAP et le Collectif Continuité Numérique, ATS Connect participe par ailleurs au développement de démonstrateurs Industrie 4.0 autour des jumeaux numériques, lesquels sont déployés sur les Experience Centers SAP de Paris et Barcelone. ATS rejoint ainsi l’écosystème SAP relatif à l’industrie du futur. « Ceci nous rend d’autant plus fiers que nous partageons les valeurs et ambitions portées par SAP et ses Experience Centers : Meet, Inspire, Engage. »

 

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Source de l’article sur sap.com

In scanning the IT landscape, the call for DevOps engineers remains toward the top of many companies’ priorities. A nationwide search through various job posting sites returns literally thousands of DevOps opportunities. However, reviewing these job postings shows that the skillsets required are widely varied. In comparison, software development job descriptions and requirements tend to have a narrower focus – broadly speaking, a language and a particular framework. DevOps job descriptions and requirements range from implementing continuous integration and continuous delivery (CI/CD) processes, to building infrastructure, to configuration management, to cloud operations, to writing code in any number of languages, and so on. It’s an impressive and intimidating list. Have you considered joining the DevOps wave but have been challenged in getting a clear picture of what DevOps is or means? If so, you’re not alone.

What is DevOps?

While many organizations have DevOps teams, even within a single organization, there are likely to be multiple roles within a DevOps team. Why is that? The reason is that DevOps is a process, and various roles within a DevOps team each contribute to the process. The DevOps process is a product of the evolution of Agile development processes. With Agile, production-quality software is iteratively delivered, which drives the need to deploy software more often. The process of getting software into production needed to be streamlined, thus the DevOps movement and process was born.

Source de l’article sur DZONE

Dans le cadre de sa transformation, le Groupe ISB investit dans un nouveau système d’information. La modernisation de son SI va s’effectuer par l’adoption de l’ERP SAP S/4HANA en mode cloud, avec l’offre RISE with SAP. Ce projet sera mené en partenariat avec NTT Data Business Solutions France (NDBS France).

Groupe ISB est un spécialiste du bois qui souffle cette année sa soixantième bougie. Acteur incontournable français des produits et solutions bois pour l’habitat et la construction, il est également spécialiste du rabotage de bois résineux en Europe.

L’entreprise s’appuie essentiellement sur deux marques fortes : Silverwood (bois rabotés : bardages, lambris, terrasses, etc.) et Sinbpla (trading de panneaux et bois résineux). Le groupe compte environ 430 collaborateurs, répartis sur différents sites : usines, hubs portuaires, plateformes logistiques et agences commerciales.

2015 : l’année de l’émancipation

Groupe ISB est né du rachat de la division Importation et Solutions Bois (ISB) de Wolseley par ses cadres en 2015. Suite au rapprochement en 2019 avec SCA Wood France, Benjamin Bodet a pris la direction générale du groupe et engagé la transformation d’ISB sur ses deux principaux métiers, qui sont l’importation et la transformation du bois. « Nous avons retravaillé tout d’abord notre modèle économique, puis notre organisation commerciale. Dans le cadre de notre plan stratégique Impact 2026, validé début 2022, nous avons notamment travaillé sur la création de valeur tout le long de la value chain, des pays producteurs à nos clients distributeurs et industriels. »

Groupe ISB a comme ambition de mettre sa politique RSE au cœur de ses activités, en proposant notamment des produits bas carbone, durables et toujours plus respectueux de l’environnement.

Le plan Impact 2026 comprend un volet visant à investir dans les solutions SAP avec comme projet clé l’adoption de l’ERP SAP S/4HANA. Un choix né d’une intense phase de réflexion : « Nous avons passé 18 mois à challenger les différents éditeurs du marché. La balance a finalement penché en faveur de SAP. C’est un environnement que nous connaissons bien, proposé par un acteur qui nous ressemble ; innovant et leader sur son marché. »

Un ERP nouvelle génération… en mode cloud

NTT Data Business Solutions France a été choisi pour accompagner le Groupe ISB dans la mise en place de l’ERP SAP S/4HANA, la méthodologie de travail proposée et l’expertise logistique NTT correspondant aux besoins du Groupe ISB, le logisticien du bois. Une solution que la société a souhaité construire depuis une feuille blanche et déployer en mode cloud, avec RISE with SAP. « Nous voulions disposer d’un outil global, capable d’intégrer au maximum nos processus, mais sans reproduire les défauts de l’ancien système, trop sur mesure, trop permissif et manquant parfois de rigueur, par exemple sur la gestion des données. »

« Opter pour SAP est un véritable challenge qu’on se sent prêt à relever, poursuit Benjamin Bodet. Cela va nous obliger à nous structurer. C’est aussi pour cela que nous avons choisi SAP. » La difficulté principale de ce projet reste d’adapter l’ERP aux spécificités d’un métier qui demeure particulier, le bois. « Notre approche consiste à coller au maximum aux standards de la solution, mais sans écarter toutefois la mise en place de processus spécifiques. Nous allons nous appuyer sur l’expertise en intégration de NDBS FRANCE pour cela. Mais il nous faudra rester raisonnables dans nos envies d’adaptation de l’outil. »

Le projet a été lancé en début d’année 2022 et devrait s’achever avec le go live de la solution SAP S/4HANA, programmé pour le 1er août 2023. 18 mois donc pour mettre en place un ERP au périmètre large (finance, contrôle de gestion, achat, vente, production et logistique) et couvrant toutes les entités du groupe.

Déjà des projets autour de l’ERP SAP S/4HANA

L’adoption d’une solution cloud devrait permettre de faciliter l’accès à l’ERP en France comme à l’étranger. « Nous avons des partenaires un peu partout dans le monde, explique Benjamin Bodet. L’un de nos projets serait par ailleurs d’intégrer SAP le plus en amont possible chez nos partenaires logistiques chargés d’exporter du bois en direction de nos hubs portuaires français. » L’objectif est de connaître au plus tôt et avec le plus de précision possible le contenu de chaque chargement, afin de mieux gérer les stocks et de mieux orienter les flux.

Autre sujet, le transport : « Nous affrétons 20.000 camions chaque année. Investir dans un module avancé de gestion des transports nous permettra de disposer d’une tour de contrôle de l’ensemble de nos flux, routiers comme maritimes, ce qui nous permettra de distribuer nos produits avec la road to market la plus directe possible. »

Dernier défi enfin, l’empreinte carbone, qui est au cœur du plan stratégique Impact 2026 de Groupe ISB. « Pour optimiser notre empreinte carbone, que ce soit lors de la production ou du transport, il nous faut des outils. SAP Product Footprint Management est une solution que nous souhaitons implémenter, car en nous donnant la capacité de mesurer l’impact carbone de nos produits elle pourrait nous apporter un net avantage compétitif et aligner avec les valeurs de notre entreprise que nous portons. »

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Source de l’article sur sap.com

Scraping websites built for modern browsers is far more challenging than it was a decade ago. jsoup is a convenient API that makes scraping websites trivial via DOM traversal, CSS Selectors, JQuery-Like methods, and more. But it isn’t without its caveat. Every scraping API is a ticking time bomb.

Real-world HTML is flaky. It changes without notice since it isn’t a documented API. When our Java program fails in scraping, we’re suddenly stuck with a ticking time bomb. In some cases, this is a simple issue that we can reproduce locally and deploy. But some nuanced changes in the DOM tree might be harder to observe in a local test case. In those cases, we need to understand the problem in the parse tree before pushing an update. Otherwise, we might have a broken product in production.

Source de l’article sur DZONE

Le cœur du système d’information d’Atos, comprenant 42 systèmes et 500 interfaces, a été basculé vers le cloud Microsoft Azure, au travers de l’offre RISE with SAP. Un projet mené en seulement 9 mois par les équipes d’Atos.

Atos est un des leaders mondiaux des entreprises de services du numérique, avec une présence dans 71 pays et un effectif de 105.000 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel de près de 11 milliards d’euros. Atos est un acteur engagé : partenaire des Jeux olympiques et paralympiques depuis 2001, le groupe met également en œuvre une stratégie net-zéro visant à la fois à atteindre la neutralité carbone en interne, mais aussi à proposer des services et produits décarbonés à ses clients.

Jusqu’alors, Atos hébergeait son système d’information dans ses propres datacenters, dont l’ERP Nessie. Une offre basée sur des solutions SAP, ayant basculé en 2020 vers l’ERP Intelligent SAP S/4HANA. Fin 2020, l’entreprise a décidé de migrer Nessie vers le cloud.

« Plusieurs raisons ont mené à ce choix, explique Frédéric Aubrière, DSI groupe d’Atos. Chaque changement opéré sur un SI on-premise se traduit par des dépenses d’investissement (CAPEX), qu’il faut valider auprès de la direction financière. Avec le cloud, la discussion peut se recentrer sur les seules dépenses d’exploitation (OPEX), ce qui participe à lever certains verrous. En déléguant la gestion des infrastructures à un hyperscaleur, nous libérons également des ressources IT internes, qui peuvent se concentrer sur leur cœur de métier. Enfin, la crise sanitaire a démontré que la flexibilité apportée par le cloud était un atout pour les entreprises. »

Un des arguments mis en avant par Atos est que le cloud est devenu suffisamment mature pour supporter des workloads critiques. « Pendant longtemps, le cloud a été réservé à des systèmes connexes, l’ERP restant hébergé sur site. Aujourd’hui, le cœur du SI n’est plus un terrain interdit au cloud. J’estime qu’il peut et doit basculer vers le cloud. » En migrant le cœur de son système d’information vers le cloud, Atos entend lancer un message fort en direction des entreprises qui hésiteraient encore à adopter ce modèle de déploiement. Le projet est donc particulièrement stratégique pour le groupe. « Ce que nous avons réalisé avec notre SI, nous pouvons le faire pour celui de nos clients », confirme Frédéric Aubrière.

Un projet mené à bien en seulement 9 mois

Atos a mis en œuvre tout son savoir-faire – et la force de frappe de ses nombreux experts – pour réaliser cette migration en un temps record. Le choix s’est porté sur l’offre RISE with SAP, avec un déploiement effectué sur les infrastructures Microsoft Azure de Francfort. Un choix stratégique là encore, les serveurs utilisés dans ce datacenter Microsoft étant des Bull Sequana S. Du matériel conçu par Bull, filiale d’Atos, et certifié SAP, avec des instances pouvant atteindre les 12 To en scale up (et plus d’une centaine de téraoctets en scale out).

Le projet a démarré fin 2020. Dès avril 2021, le système de test basculait en live, suivi par les instances de développement et de qualité. L’instance de production est entrée en fonction le 13 septembre 2021, soit environ 9 mois après le début du projet. Un tour de force de la part d’Atos. Si l’ERP a été migré sans modifications majeures, le périmètre du projet reste en effet particulièrement important. « Nous avons migré notre ERP vers le cloud, mais aussi l’ensemble des systèmes connexes gravitant autour de lui », explique Frédéric Aubrière. Au total, 42 systèmes ont été migrés et 500 interfaces. 5000 tests ont été effectués afin de couvrir un large spectre de cas d’utilisation.

« Hormis quelques ajustements dans les paramètres de connexion, la bascule a été transparente pour les utilisateurs. Le portail MyAtos est toujours accessible de la même façon et permet toujours d’accéder aux mêmes services. Notre SI est par ailleurs toujours aussi stable et performant. » Les performances des infrastructures correspondent jusqu’à maintenant au cahier des charges d’Atos, avec un SLA de 99,7% et un RPO très proche de zéro (30 minutes). « Nous allons exécuter un dry run du DRP dans les prochains mois, afin de mesurer le délai de reprise d’activité de notre SI », confie le DSI d’Atos.

SAP BTP et décarbonisation en ligne de mire

Avec son contrat unique, l’offre RISE with SAP est un facteur de simplification lors du passage au cloud. « Avoir un unique contrat, signé en direct avec SAP, nous permet de nous affranchir de la complexité de la tarification des hyperscaleurs, confirme Frédéric Aubrière. C’est une forme de contrat plus confortable pour les clients et apportant une meilleure prédictibilité sur les coûts. RISE with SAP nous permet également de conserver notre code et nos applications. Il permet de basculer vers le cloud de façon non violente, en respectant les processus et spécificités du groupe. »

Une fois le SI stabilisé et les processus calés entre SAP et Atos, l’entreprise compte travailler sur la prochaine génération de son ERP. Au menu, un nettoyage du code spécifique et son adaptation à la SAP Business Technology Platform (SAP BTP). En parallèle, une connexion avec certains services Microsoft Azure sera mise en place. Autre tâche confiée à la DSI d’Atos, la décarbonation du fonctionnement de sa nouvelle plate-forme cloud. L’élasticité propre aux infrastructures cloud devrait permettre au groupe d’ajuster les ressources au plus près des besoins. L’objectif d’Atos est d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2028.

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Source de l’article sur sap.com

Infrastructure is one of the core tenets of a software development process — it is directly responsible for the stable operation of a software application. This infrastructure can range from servers, load balancers, firewalls, and databases all the way to complex container clusters.

Infrastructure considerations are valid beyond production environments, as they spread across the entire development process. They include tools and platforms such as CI/CD platforms, staging environments, and testing tools. These infrastructure considerations increase as the level of complexity of the software product increases. Very quickly, the traditional approach for manually managing infrastructure becomes an unscalable solution to meet the demands of DevOps modern rapid software development cycles. And that’s how Infrastructure as Code (IaC) has become the de facto solution in development today.

Source de l’article sur DZONE

After an application is deployed to production, developers should lock down its underlying infrastructure to prevent accidental changes. Some of the common accidents that can affect the availability of an application in production are: moving, renaming, or deleting the resource crucial to the function of the application. You can use locks that prevent anyone from performing a forbidden action to avoid such mishaps.

Creating Locks

Almost every resource in Azure supports locks, so you will find the lock option in the settings section of nearly all resources in the portal. For example, the following screenshot illustrates locks on resource groups:

Source de l’article sur DZONE

Afin de mieux piloter sa production et répondre à la demande client, Lidea a mis en place un processus S&OP à l’aide de la solution SAP IBP. Un projet, mais aussi un challenge pour ce nouveau semencier issu de la fusion de deux entités.

Lidea est un semencier français issu du rapprochement entre Euralis Semences et Caussade Semences Group. Il se classe dans le top 10 mondial des semenciers grandes cultures. La société propose une offre étendue, allant des céréales aux légumes secs en passant par les plantes fouragères. Elle référence plus de 500 variétés de semences.

Lidea dispose de 8 sites de production situés en France, en Roumanie, en Ukraine, en Espagne et en Russie, avec une surface cultivée totale de 45.000 hectares. La société réalise un chiffre d’affaires annuels de 360 millions d’euros, pour 2100 collaborateurs. 73% de son activité sont réalisés à l’export.

Le rapprochement d’Euralis Semence et de Caussade Semences Group a doublé la taille de l’organisation, ce qui se traduit par un important effort d’intégration et de transformation. “C’est un choc des cultures, avec des processus, des méthodes et des stratégies différentes, explique Sébastien Monaco, CIO et CDO de Lidea. Notre challenge est de faire de cette fusion un succès, d’aligner les équipes, la culture et les processus, puis de préparer la croissance sur de nouveaux territoires. Nous voulons également poursuivre notre effort d’innovation continue, sur les produits, mais également sur les technologies numériques à destination des agriculteurs.”

Lidea souhaite ainsi se tourner plus largement vers ses clients, les distributeurs et fermiers, en adoptant un modèle consistant à ajuster ses plans de production en fonction de la demande.

Le besoin de se structurer… autour de solutions SAP

Si Euralis Semences disposait d’un ERP SAP ECC, l’outillage au niveau de la supply chain restait réduit à sa plus simple expression, avec de nombreuses tâches réalisées manuellement. Du point de vue IT, Caussade Semences Group partait d’encore plus loin. “Avec le doublement de l’organisation, nous ne pouvions plus laisser la situation en l’état”, constate Sébastien Monaco. De multiples projets ont donc été lancés, dont l’extension du périmètre de l’ERP d’Euralis Semences, ainsi que la mise en place d’un CRM et de SAP IBP.

L’utilisation de SAP Integrated Business Planning a comme objectif premier la mise en place d’un processus S&OPau sein de Lidea. “Un quick win était nécessaire sur ce projet, afin de montrer aux actionnaires que nous étions capables de concrétiser la fusion en menant à bien un projet d’envergure portant sur un processus clé de Lidea.” Ce projet est donc doublé d’un challenge stratégique.

“Notre objectif est de créer un core model qui puisse être déployé à l’échelle de Lidea (32 pays couverts) et qui puisse se connecter très facilement aux master data de nos briques financières et industrielles. Le choix de SAP IBP est assumé: nous voulions prendre une brique de la cartographie S/4 HANA de SAP, afin d’anticiper le futur, dont notre migration de l’ERP SAP ECC vers SAP S/4HANA. L’une des raisons du choix de TeamWork est qu’il dispose déjà de références clients dans notre industrie. C’est essentiel pour nous, car nous travaillons dans un secteur particulier et nous avions fixé un délai très court – 6 mois – pour mener à bien ce projet.”

SAP IBP adopté pour le processus S&OP

Le projet a démarré en avril 2021, avec comme impératif un démarrage de la solution en septembre de la même année, lors du lancement de grosses campagnes annuelles. Un délai très court, compte tenu des autres travaux réalisés en parallèle sur le système d’information du groupe (ERP, CRM, datawarehouse…). Afin de tenir ces délais, Lidea a choisi de rester au plus près des standards proposés par SAP IBP. Le projet a également été découpé en deux vagues, la première se concentrant sur la mise en place d’un processus S&OP élargi, la seconde abordant les aspects financiers.

“Notre processus S&OP réconcilie demande et offre, détaille Sébastien Monaco. Les données des commerciaux sont remontées, avec la prise en compte de particularités, comme la gestion des campagnes. Les marchandises disponibles sont réparties, par BU, puis à des niveaux plus fins allant jusqu’au client. Le demand shaping permet de pousser des offres ou de contraindre la demande suivant la capacité de production. Enfin, les données sont remontées dans l’ERP SAP ECC, afin de planifier la production.”

Un démarrage effectif en septembre 2021

La livraison du premier lot et la formation des utilisateurs ont été réalisés dans les temps permettant ainsi de mener les campagnes de rentrée avec SAP IBP.

“Ce projet ambitieux a été réalisé pour un coût très modéré. Sur le terrain du ROI, l’OTIF (on time, in full) est monté de 90% à 98%, améliorant ainsi la satisfaction client. Les gains de productivité internes sont également importants. J’estime que la solution SAP IBP devrait être rentabilisée d’ici 12 à 15 mois.” Le second lot se concentrera sur la finance : scénarios PIC, forecast P&L. Il devrait être livré en fin d’année.

Mais plus que tout, ce projet a permis de fédérer les équipes des deux coopératives autour d’un objectif commun, créant ainsi une dynamique d’appartenance au nouveau groupe. En quelques mois, un des processus clés de l’entreprise a été déployé sur plusieurs pays. “Nos différents sites sont les premiers bénéficiaires de SAP IBP, qui leur donne une vision globale des productions démarrées et de comment est servie la demande client. Le flux S&OP proposé par SAP IBP est le maître des ordres de fabrication de nos sites de production,” conclut Sébastien Monaco.

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Source de l’article sur sap.com


Stream-Aligned and Platform Teams

The 2021 State of DevOps report identifies two types of teams as the way high-maturity teams organize themselves: stream-aligned teams and platform teams. The idea of a « platform » or « internal developer platform » is fundamental to GitOps. While a GitOps pipeline begins with committing code to a Git repository, it is made possible by a platform that paves the way for that new code to move in an automated way from the repository to a production environment.

The platform is how the Ops team provisions resources such as cloud services, storage, service meshes, and security and monitoring tools in a ready-made template. These templates are created even before they are needed and made available to any developer within the organization. The big shift due to this is that developers need not raise a ticket for the resources they need: they can pick a ready-made template and deploy their code in a matter of minutes. From the Ops side, they have peace of mind knowing they have configured this template and that it follows security protocol by default. It does not require developers to separately configure security for deployments.

Source de l’article sur DZONE

“Minimum Viable Product,” or “MVP,” is a concept of agile development and business growth. With a minimum viable product, you focus on creating the simplest, most basic version of your product, web application, or code possible.

Minimum viable products include just enough features to attract early adopters and validate your idea in the early stages of the development lifecycle. Choosing an MVP workflow can be particularly valuable in the software environment because it helps teams receive, learn from, and respond to feedback as quickly as possible.

The question is, how exactly do you define the “minimum” in MVP? How do you know if your MVP creation is basic enough while still being “viable”?

Defining the Minimum Viable Product: An Introduction

The concept of “Minimum Viable Product” comes from the Lean Start-up Methodology, introduced by Eric Ries. The purpose of MVP is to help companies quickly create versions of a product while collecting validated insights from customers for each iteration. Companies may choose to develop and release minimum viable products because they want to:

  • Introduce new products into the market as quickly as possible;
  • Test an idea with real users before committing a large budget to product development;
  • Create a competitive product with the use of frequent upgrades;
  • Learn what resonates with the target market of the company;
  • Explore different versions of the same product.

Aside from allowing your company to validate an idea for a product without building the entire concept from scratch, an MVP can also reduce the demand on a company’s time and resources. This is why so many smaller start-ups with limited budgets use the MVP and lean production strategy to keep costs as low as possible.

Defining an MVP: What your Minimum Viable Product Isn’t

When you’re building a Minimum Viable Product, you’re concentrating on developing only the most “essential” features that need to be in that product. For instance, you might be building a shopping app for a website. For the app to be “viable,” it would need to allow customers to search through products and add them to a basket or shopping cart. The app would also need a checkout feature and security components.

However, additional functionality, like the ability to send questions about an item to a customer service team or features that allow clients to add products to a “wish list,” may not be necessary straight away. Part of defining a minimum viable product is understanding what it isn’t. For instance, an MVP is not:

  • A prototype: Prototypes are often mentioned alongside MVPs because they can help with early-stage product validation. However, prototypes are generally not intended for customers to use. The “minimum” version of a viable product still needs to be developed enough for clients and users to put it to the test and provide feedback.
  • A minimum marketable product: An MVP is a learning vehicle that allows companies to create various iterations of an item over time. However, a minimum marketable product is a complete item, ready to sell, with features or “selling points” the company can highlight to differentiate the item from the competition.
  • Proof of concept: This is another similar but distinct idea from MVP. Proof of concept items test an idea you have to determine whether it’s attainable. There usually aren’t any customers involved in this process. Instead, companies create small projects to assess business solutions’ technical capabilities and feasibility. You can sometimes use a proof of concept before moving on to an MVP.

Finding the Minimum in your MVP

When finding the “minimum” in a minimum viable product, the primary challenge is ensuring the right balance. Ideally, you need your MVP to be as essential, cost-effective, and straightforward as possible so that you can create several iterations in a short space of time. The simpler the product, the easier it is to adapt it, roll it out to your customers, and learn from their feedback.

However, developers and business leaders shouldn’t get so caught up focusing on the “Minimum” part of Minimum Viable Product that they forget the central segment: “Viable”; your product still needs to achieve a specific purpose.

So, how do you find the minimum in your MVP?

1. Decide on Your Goal or Purpose

First, you’ll need to determine what your product needs to do to be deemed viable. What goal or target do you hope to achieve with your new product? For instance, in the example we mentioned above, where you’re creating an ecommerce shopping app, the most basic thing the app needs to do is allow customers to shop for and purchase items on a smartphone.

Consider the overall selling point of your product or service and decide what the “nice to haves” are, compared to the essential features. For instance, your AR app needs to allow people to interact with augmented digital content on a smartphone, but it may not need to work with all versions of the latest AR smart glasses.

2. Make a List of Features

Once you know the goal or purpose of your product, the next step is to make a list of features or capabilities you can rank according to importance. You can base your knowledge of what’s “most important” for your customers by looking at things like:

  • Competitor analysis: What do your competitors already offer in this category, and where are the gaps in their service or product?
  • User research: Which features or functionalities are most important to your target audience? How can you make your solution stand out from the crowd?
  • Industry knowledge: As an expert in your industry, you should have some basic understanding of what it will take to make your product “usable.”

3. Create Your Iterations

Once you’ve defined your most important features, the next stage is simply building the simplest version of your product. Build the item according to what you consider to be its most essential features and ask yourself whether it’s serving its purpose.

If your solution seems to be “viable,” you can roll it out to your target audience or a small group of beta testers to get their feedback and validate the offering. Use focus groups and market interviews to collect as much information as possible about what people like or dislike.

Using your feedback, you can begin to implement changes to your “minimum” viable product to add more essential features or functionality.

Understanding the “Minimum Viable Product”

Minimum viable products are evident throughout multiple industries and markets today – particularly in the digitally transforming world. For instance, Amazon might be one of the world’s most popular online marketplaces today, but it didn’t start that way. Instead, Jeff Bezos began purchasing books from distributors and shipping them to customers every time his online store received an order to determine whether the book-selling landscape would work.

When Foursquare first began, it had only one feature. People could check-in at different locations and win badges. The gamification factor was what made people so excited about using the service. Other examples include:

  • Groupon: Groupon is a pretty huge discount and voucher platform today, operating in companies all around the world. However, it started life as a simple minimum viable product promoting the services of local businesses and offering exclusive deals for a short time. Now Groupon is constantly evolving and updating its offerings.
  • Airbnb: Beginning with the use of the founders’ own apartment, Airbnb became a unicorn company giving people the opportunity to list places for short-term rental worldwide. The founders rented out their own apartment to determine whether people would consider staying in someone else’s home before eventually expanding.
  • Facebook: Upon release, Facebook was a simple social media tool used for connecting with friends. Profiles were basic, and all members were students of Harvard University. The idea quickly grew and evolved into a global social network. Facebook continues to learn from the feedback of its users and implement new features today.

Creating Your Minimum Viable Product

Your definition of a “minimum viable product” may not be the same as the definition chosen by another developer or business leader. The key to success is finding the right balance between viability – and the purpose of your product, and simplicity – or minimizing your features.

Start by figuring out what your product simply can’t be without, and gradually add more features as you learn and gain feedback from your audience. While it can be challenging to produce something so “minimalistic” at first, you need to be willing to release those small and consistent iterations if you want to leverage all the benefits of an MVP.

Suppose you can successfully define the meaning of the words “Minimum” and “Viable” simultaneously with your new product creations. In that case, the result should be an agile business, lean workflows, and better development processes for your entire team.

 

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