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Guide détaillé avec exemples de code pour l'entraînement personnalisé de grands modèles linguistiques

Vous souhaitez entraîner des modèles linguistiques complexes ? Ce guide vous fournira des exemples de code et des instructions détaillées pour vous aider à atteindre vos objectifs.

H2: Dans les dernières années, les grands modèles linguistiques (LLMs) tels que GPT-4 ont suscité un grand intérêt en raison de leurs incroyables capacités en compréhension et en génération du langage naturel. Cependant, pour adapter un LLM à des tâches ou des domaines spécifiques, une formation personnalisée est nécessaire. Cet article propose un guide détaillé et étape par étape sur la formation personnalisée des LLMs, accompagné d’exemples et d’extraits de code. Prérequis

• A GPU-enabled machine with at least 8GB of RAM

• An understanding of basic ML concepts

• Familiarity with Python and TensorFlow

• Access to a large dataset

Ces dernières années, les grands modèles linguistiques (LLMs) tels que GPT-4 ont suscité un intérêt considérable en raison de leurs incroyables capacités en compréhension et en génération du langage naturel. Cependant, pour adapter un LLM à des tâches ou des domaines spécifiques, une formation personnalisée est nécessaire. Cet article propose un guide détaillé étape par étape sur la formation personnalisée des LLMs, accompagné d’exemples et d’extraits de code.

Prérequis

Avant de plonger, assurez-vous d’avoir :

• Une machine dotée d’une carte graphique et d’au moins 8 Go de RAM

• Une compréhension des concepts de base d’apprentissage machine

• De la familiarité avec Python et TensorFlow

• Un accès à une grande base de données

Mise en œuvre

Une fois les prérequis remplis, vous êtes prêt à commencer à former votre modèle. La première étape consiste à préparer votre base de données. Vous devrez peut-être nettoyer et normaliser vos données avant de les charger dans votre modèle. Une fois que vos données sont prêtes, vous pouvez les charger dans votre modèle. Vous pouvez le faire en utilisant TensorFlow ou un autre framework de deep learning. Une fois que vos données sont chargées, vous pouvez commencer à entraîner votre modèle. Vous pouvez le faire en utilisant des algorithmes d’apprentissage supervisé ou non supervisé. Lorsque vous entraînez votre modèle, vous devrez définir des paramètres tels que le nombre d’itérations, le taux d’apprentissage et le nombre de couches cachées. Vous devrez également définir des métriques pour mesurer la performance de votre modèle.

Une fois que votre modèle est entraîné, vous pouvez le tester sur des données réelles pour voir comment il se comporte. Vous pouvez également effectuer une validation croisée pour vérifier si votre modèle est capable de généraliser ses résultats sur des données différentes. Une fois que vous êtes satisfait des performances de votre modèle, vous pouvez le déployer pour l’utiliser dans un environnement réel. Vous pouvez le déployer sur un serveur ou un cloud public tel que Google Cloud Platform ou Amazon Web Services. Une fois déployé, votre modèle sera prêt à être utilisé par les utilisateurs finaux.

Enfin, vous devrez peut-être maintenir et mettre à jour votre modèle au fil du temps. Vous devrez peut-être ajouter de nouvelles données à votre base de données ou ajuster les paramètres de votre modèle pour améliorer ses performances. Vous devrez également surveiller les performances de votre modèle pour vous assurer qu’il fonctionne correctement et qu’il ne se dégrade pas avec le temps. Enfin, vous devrez peut-être effectuer une analyse des performances pour comprendre comment votre modèle est utilisé et pourquoi il fonctionne bien ou mal.

En résumé, la

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Produire et consommer des messages Avro avec Redpanda Schema Registry

Produire et consommer des messages Avro avec Redpanda Schema Registry est une tâche essentielle pour les applications modernes. Découvrez comment le faire facilement!

Si vous êtes familier avec Apache Kafka®, vous avez peut-être rencontré un registre de schémas compatible avec Kafka – un composant distinct que vous déployez en dehors de votre cluster Kafka, car Kafka n’en a pas intégré. 

Essentiellement, un schéma est une description logique de la façon dont vos données sont organisées, et donc un registre de schémas fournit un référentiel central pour ces schémas, permettant aux producteurs et aux consommateurs d’envoyer et de recevoir des données entre eux de manière transparente. Pour les architectures orientées événements, cela peut devenir complexe et difficile à gérer à mesure que vous évoluez, car les schémas de données peuvent changer et évoluer au fil du temps (pouvant potentiellement tout casser plus tard). 

## Utilisation d’un registre de schémas compatible avec Apache Kafka®

L’architecture Apache Kafka® est bien connue et il est possible de rencontrer un registre de schémas compatible avec Kafka, qui est un composant distinct que l’on déploie en dehors du cluster Kafka, car celui-ci n’en comporte pas.

Essentiellement, un schéma est une description logique de la façon dont vos données sont organisées et un registre de schémas fournit donc un référentiel central pour ces schémas, permettant aux producteurs et aux consommateurs d’envoyer et de recevoir des données entre eux sans heurts. Pour les architectures orientées événements, cela peut devenir complexe et difficile à gérer à mesure que l’on se développe, car les schémas de données peuvent changer et évoluer dans le temps (pouvant potentiellement provoquer des dysfonctionnements plus tard).

Un registre de schémas est donc une solution très pratique pour gérer ce type d’architecture. Il permet aux producteurs et aux consommateurs d’accéder facilement aux schémas des données, ce qui leur permet de s’assurer que les données envoyées et reçues sont cohérentes et conformes. De plus, le registre de schémas permet de conserver l’historique des versions des schémas, ce qui peut être très utile pour le débogage et le développement.

Enfin, le registre de schémas peut également être utilisé pour aider à la validation des données. Les producteurs peuvent envoyer des données à un registre de schémas avant de les envoyer à Kafka, ce qui permet de s’assurer que les données sont conformes aux schémas attendus. De même, les consommateurs peuvent également valider les données reçues avant de les traiter, ce qui permet d’assurer la qualité des données et d’améliorer l’efficacité des processus.

En somme, le registre de schémas est un outil très pratique pour gérer les architectures orientées événements. Il permet aux producteurs et aux consommateurs d’accéder facilement aux schémas des données, ce qui leur permet de s’assurer que les données envoyées et reçues sont cohérentes et conformes. De plus, il permet également d’aider à la validation des données, ce qui permet d’améliorer la qualité et l’efficacité des processus.

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gRPC côté client

Le gRPC côté client offre une communication efficace et sécurisée entre un client et un serveur. Il permet une communication rapide et fiable entre les deux parties.

## Sans un standard de validation de schéma, nous devons tomber en arrière sur la validation manuelle dans le code

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je suis très intéressé par les données et leur traitement. Les composants de communication inter-systèmes qui utilisent REST sérialisent leur charge utile en JSON. À l’heure actuelle, JSON manque d’un standard de validation de schéma largement utilisé : le schéma JSON n’est pas répandu. La validation de schéma standard permet de déléguer la validation à une bibliothèque tiers et d’en finir avec elle. Sans celle-ci, nous devons revenir à la validation manuelle dans le code. Pire encore, nous devons garder le code de validation synchronisé avec le schéma.

XML dispose d’une validation de schéma hors boîte : un document XML peut déclarer une grammaire à laquelle il doit se conformer. SOAP, étant basé sur XML, en bénéficie également. Les technologies XML et SOAP sont très populaires et largement utilisées dans les entreprises et les organisations pour leurs systèmes d’information. Cependant, JSON est devenu le format de données préféré pour les communications inter-systèmes, car il est plus léger et plus facile à manipuler que XML.

Heureusement, des outils tels que JSON Schema sont disponibles pour fournir une validation de schéma pour JSON. JSON Schema est un format de description de données qui permet aux développeurs de décrire le contenu des données JSON qu’ils attendent. Il fournit une syntaxe pour décrire les données et permet aux développeurs de valider des données JSON afin de s’assurer qu’elles sont conformes à la structure attendue. En outre, il existe des bibliothèques pour la plupart des langages de programmation qui peuvent être utilisées pour valider automatiquement les données JSON contre un schéma.

JSON Schema est donc un outil très utile pour les développeurs qui travaillent avec des données JSON. Il permet aux développeurs de décrire le contenu des données qu’ils attendent et de valider automatiquement les données pour s’assurer qu’elles sont conformes à la structure attendue. Cela peut grandement simplifier le processus de développement et réduire le temps nécessaire pour tester et déboguer les applications qui utilisent des données JSON.

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Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

The post La logistique durable en mouvement Till Dengel, Richard Howells | 14 min de lecture appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

We will go over the purpose of minimal APIs in.NET Core 6, as well as how to implement them step by step.

Prerequisites

  • .NET Core 6 SDK
  • Visual Studio 2022
  • SQL Server

Introduction

  • Minimal APIs are used to create HTTP APIs with minimum dependencies and configuration.
  • Mostly, it is used in microservices that have fewer files and functionality within a single file.
  • But there are a few things that are not supported in minimal APIs, like action filters and built-in validation; also, a few more are still in progress and will get in the future by .NET Team.

Step-by-Step Implementation Using .NET Core 6

Step 1

Create a new .NET Core Web API.

Source de l’article sur DZONE

Nous sommes entrés dans une ère de transformation numérique en accélération constante dans un monde des affaires très concurrentiel, et cela ne devrait qu’augmenter avec le temps.

Chaque entreprise travaille ardemment à la mise à jour de ses processus. Cependant, pour que les entreprises puissent soutenir ces évolutions rapides, leurs collaborateurs doivent constamment affiner leurs compétences pour répondre aux besoins technologiques croissants. Pour rester à la pointe des changements et des enjeux auxquels seront confrontés tous les secteurs d’activité dans les prochaines années, il est essentiel que les employés aient accès à une formation continue et à une évolution de carrière intéressante, pour parvenir à la fois à la rétention des talents essentiels et à une culture d’entreprise de l’innovation continue.

Pour relever ces défis, de nombreuses entreprises et personnes se tournent vers des ressources, des cours et des certifications facilement accessibles sur le site SAP Learning afin de combler leur déficit de compétences. SAP est classée parmi les leaders dans le rapport d’Évaluation des prestataires de formation informatique de l’IDC MarketScape U.S. et MarketScape Europe. Cette recherche porte sur l’analyse des entreprises de formation informatique les plus connues, dotées de portefeuilles de formation adaptés aux entreprises qui envisagent d’importantes initiatives de transformation.

Les formations SAP favorisent l’acquisition de compétences innovantes

Le portefeuille de formations SAP Learning aide à répondre aux besoins de formation individuels et à renforcer les aptitudes technologiques des entreprises. SAP estime que les ressources de formation et de certification sont de plus en plus nécessaires dans l’environnement de travail actuel. Selon le rapport d’Évaluation des prestataires de formation informatique de l’IDC MarketScape U.S. les points forts de l’offre SAP sont les suivants :

  • Les clients apprécient les services de formation supplémentaires.
  • Les clients apprécient l’offre de préparation des tests de certification.
  • Les clients disent qu’ils l’utiliseront plus souvent l’année prochaine.
  • Elle peut aider les clients à personnaliser le contenu ou les parcours.
  • Elle a un point de vue important sur l’utilité de la formation.
  • Elle dispose d’un excellent processus d’actualisation et de mise à jour de son contenu.
  • Elle contient des exemples concrets d’amélioration des processus client.
  • Elle intègre des travaux pratiques dans une bonne partie de son contenu.
  • Elle propose une gamme intéressante de tarification et de packages.
  • Les apprenants apprécient l’utilisation des quiz pour valider les apprentissages.

Prenons l’exemple de Neils Wijsbeek, spécialiste chez Deloitte Consulting B.V. Malgré ses sept années d’expérience des solutions SAP, Wijsbeek continue de se former en permanence et valide ses compétences en passant régulièrement les certifications sur les solutions SAP SuccessFactors. Wijsbeek constate que le fait de continuer à mettre à jour ses certifications est important pour sa carrière et permet de démontrer son expertise de manière très visible. «Le processus de certification, notamment sa préparation, vous oblige à approfondir le contenu et à développer rapidement vos compétences », dit-il. À une époque où il n’a jamais été aussi crucial de rester à l’avant-garde des évolutions dans le secteur numérique, il a également déclaré que le contenu delta obligatoire de la certification SAP exige des utilisateurs qu’ils se forment sur les nouveautés des versions et les derniers développements, ce qui implique un accroissement de l’expertise tant individuelle que de son entreprise auprès des clients.

Notre équipe chez SAP se consacre à la création d’expériences de formation épanouissantes telles que celles de Wijsbeek, qui permettent aux collaborateurs d’approfondir facilement et souvent leurs compétences. Les responsables de recrutement sont actuellement confrontés à des défis de fidélisation des collaborateurs, ce qui limite considérablement la croissance de leurs entreprises. Avec l’avancée rapide des progrès technologiques, les meilleurs talents sont constamment sollicités et débauchés, ce qui crée des ruptures au niveau des compétences et des collaborateurs surchargés de travail. Par exemple, bien que la plupart des entreprises soient devenues multi-cloud, 86 % des professionnels de l’informatique pensent qu’un manque de compétences ralentira les projets Cloud.

Chez SAP Learning, nous veillons à ce que les entreprises puissent facilement transformer et perfectionner leurs compétences, ce qui donne aux collaborateurs des opportunités de développement de leur carrière et participe grandement à leur motivation. Pour aider les entreprises à accomplir cette tâche et rencontrer les besoins des individus à chaque étape de leur parcours d’apprentissage, nous avons lancé un nouveau site SAP Learning qui devient le point d’accès unique et simplifié à l’ensemble des ressources de formation SAP.

 

Formation SAP disponible pour les apprenants quelque soit leur niveau

SAP Learning offre à tous des opportunités de perfectionnement, de reconversion et de validation de compétences SAP. Par exemple, avec notre récente version du site SAP Learning, nous offrons un accès gratuit à plusieurs contenus pour la mise à niveau des compétences sur la plateforme SAP Business Technology Platform (SAP BTP), y compris un tout nouveau parcours de formation axé sur le développement d’applications Low-code/No- code. Cela permet de garantir que des apprenants, quelque soit leur niveau, depuis les développeurs débutants jusqu’à ceux qui occupent déjà un poste de développeur confirmé, peuvent facilement acquérir des compétences SAP dans des domaines d’innovation clés et se préparer à une certification SAP gratuitement.

Afin de soutenir l’effort des entreprises pour consolider les compétences d’innovation de leurs employés, SAP fournit les ressources d’apprentissage nécessaires, permettant d’accroître la compétitivité globale de leur business. La mise à disposition de formations et de certifications SAP dans une organisation est devenue un élément essentiel d’atteinte des objectifs stratégiques.

Les solutions SAP Learning aident à valider les compétences et l’expérience SAP des utilisateurs et permettent aux apprenants tout au long de leur vie professionnelle, comme Wijsbeek, de rester à la pointe de l’évolution du secteur et de se présenter, ainsi que leur organisation, comme des leaders de l’innovation. « La façon dont les programmes de formation ont évolué au fil des années permet de trouver très facilement les supports nécessaires, notamment pour maintenir sa certification à jour grâce au contenu delta », explique Wijsbeek.

Alors que SAP Learning continue d’évoluer pour satisfaire les besoins des apprenants partout dans le monde, je suis extrêmement enthousiasmé par le dévouement de notre équipe pour faciliter la progression des compétences et de la carrière des apprenants SAP, alors que nous entamons cette année supplémentaire de transformation de nos formations en mode digital.


Jan Meyer est responsable des systèmes de formation pour SAP Learning.

*IDC MarketScape, Évaluation des fournisseurs de formations informatiques États-Unis 2021 (doc. #US47541121, décembre 2021)
**IDC MarketScape : Évaluation des fournisseurs de formation informatique européenne 2021 (doc. #EUR148400521, décembre 2021)

The post SAP classée parmi les leaders de la formation informatique aux États-Unis et en Europe par IDC MarketScape appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

“Minimum Viable Product,” or “MVP,” is a concept of agile development and business growth. With a minimum viable product, you focus on creating the simplest, most basic version of your product, web application, or code possible.

Minimum viable products include just enough features to attract early adopters and validate your idea in the early stages of the development lifecycle. Choosing an MVP workflow can be particularly valuable in the software environment because it helps teams receive, learn from, and respond to feedback as quickly as possible.

The question is, how exactly do you define the “minimum” in MVP? How do you know if your MVP creation is basic enough while still being “viable”?

Defining the Minimum Viable Product: An Introduction

The concept of “Minimum Viable Product” comes from the Lean Start-up Methodology, introduced by Eric Ries. The purpose of MVP is to help companies quickly create versions of a product while collecting validated insights from customers for each iteration. Companies may choose to develop and release minimum viable products because they want to:

  • Introduce new products into the market as quickly as possible;
  • Test an idea with real users before committing a large budget to product development;
  • Create a competitive product with the use of frequent upgrades;
  • Learn what resonates with the target market of the company;
  • Explore different versions of the same product.

Aside from allowing your company to validate an idea for a product without building the entire concept from scratch, an MVP can also reduce the demand on a company’s time and resources. This is why so many smaller start-ups with limited budgets use the MVP and lean production strategy to keep costs as low as possible.

Defining an MVP: What your Minimum Viable Product Isn’t

When you’re building a Minimum Viable Product, you’re concentrating on developing only the most “essential” features that need to be in that product. For instance, you might be building a shopping app for a website. For the app to be “viable,” it would need to allow customers to search through products and add them to a basket or shopping cart. The app would also need a checkout feature and security components.

However, additional functionality, like the ability to send questions about an item to a customer service team or features that allow clients to add products to a “wish list,” may not be necessary straight away. Part of defining a minimum viable product is understanding what it isn’t. For instance, an MVP is not:

  • A prototype: Prototypes are often mentioned alongside MVPs because they can help with early-stage product validation. However, prototypes are generally not intended for customers to use. The “minimum” version of a viable product still needs to be developed enough for clients and users to put it to the test and provide feedback.
  • A minimum marketable product: An MVP is a learning vehicle that allows companies to create various iterations of an item over time. However, a minimum marketable product is a complete item, ready to sell, with features or “selling points” the company can highlight to differentiate the item from the competition.
  • Proof of concept: This is another similar but distinct idea from MVP. Proof of concept items test an idea you have to determine whether it’s attainable. There usually aren’t any customers involved in this process. Instead, companies create small projects to assess business solutions’ technical capabilities and feasibility. You can sometimes use a proof of concept before moving on to an MVP.

Finding the Minimum in your MVP

When finding the “minimum” in a minimum viable product, the primary challenge is ensuring the right balance. Ideally, you need your MVP to be as essential, cost-effective, and straightforward as possible so that you can create several iterations in a short space of time. The simpler the product, the easier it is to adapt it, roll it out to your customers, and learn from their feedback.

However, developers and business leaders shouldn’t get so caught up focusing on the “Minimum” part of Minimum Viable Product that they forget the central segment: “Viable”; your product still needs to achieve a specific purpose.

So, how do you find the minimum in your MVP?

1. Decide on Your Goal or Purpose

First, you’ll need to determine what your product needs to do to be deemed viable. What goal or target do you hope to achieve with your new product? For instance, in the example we mentioned above, where you’re creating an ecommerce shopping app, the most basic thing the app needs to do is allow customers to shop for and purchase items on a smartphone.

Consider the overall selling point of your product or service and decide what the “nice to haves” are, compared to the essential features. For instance, your AR app needs to allow people to interact with augmented digital content on a smartphone, but it may not need to work with all versions of the latest AR smart glasses.

2. Make a List of Features

Once you know the goal or purpose of your product, the next step is to make a list of features or capabilities you can rank according to importance. You can base your knowledge of what’s “most important” for your customers by looking at things like:

  • Competitor analysis: What do your competitors already offer in this category, and where are the gaps in their service or product?
  • User research: Which features or functionalities are most important to your target audience? How can you make your solution stand out from the crowd?
  • Industry knowledge: As an expert in your industry, you should have some basic understanding of what it will take to make your product “usable.”

3. Create Your Iterations

Once you’ve defined your most important features, the next stage is simply building the simplest version of your product. Build the item according to what you consider to be its most essential features and ask yourself whether it’s serving its purpose.

If your solution seems to be “viable,” you can roll it out to your target audience or a small group of beta testers to get their feedback and validate the offering. Use focus groups and market interviews to collect as much information as possible about what people like or dislike.

Using your feedback, you can begin to implement changes to your “minimum” viable product to add more essential features or functionality.

Understanding the “Minimum Viable Product”

Minimum viable products are evident throughout multiple industries and markets today – particularly in the digitally transforming world. For instance, Amazon might be one of the world’s most popular online marketplaces today, but it didn’t start that way. Instead, Jeff Bezos began purchasing books from distributors and shipping them to customers every time his online store received an order to determine whether the book-selling landscape would work.

When Foursquare first began, it had only one feature. People could check-in at different locations and win badges. The gamification factor was what made people so excited about using the service. Other examples include:

  • Groupon: Groupon is a pretty huge discount and voucher platform today, operating in companies all around the world. However, it started life as a simple minimum viable product promoting the services of local businesses and offering exclusive deals for a short time. Now Groupon is constantly evolving and updating its offerings.
  • Airbnb: Beginning with the use of the founders’ own apartment, Airbnb became a unicorn company giving people the opportunity to list places for short-term rental worldwide. The founders rented out their own apartment to determine whether people would consider staying in someone else’s home before eventually expanding.
  • Facebook: Upon release, Facebook was a simple social media tool used for connecting with friends. Profiles were basic, and all members were students of Harvard University. The idea quickly grew and evolved into a global social network. Facebook continues to learn from the feedback of its users and implement new features today.

Creating Your Minimum Viable Product

Your definition of a “minimum viable product” may not be the same as the definition chosen by another developer or business leader. The key to success is finding the right balance between viability – and the purpose of your product, and simplicity – or minimizing your features.

Start by figuring out what your product simply can’t be without, and gradually add more features as you learn and gain feedback from your audience. While it can be challenging to produce something so “minimalistic” at first, you need to be willing to release those small and consistent iterations if you want to leverage all the benefits of an MVP.

Suppose you can successfully define the meaning of the words “Minimum” and “Viable” simultaneously with your new product creations. In that case, the result should be an agile business, lean workflows, and better development processes for your entire team.

 

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Few things are more important to a web designer or developer’s chances of success than having the proper workflow. The term “workflow” applies to the set of standardized steps you or your company uses to create, test, and deploy designs or products.

Over the years, as development processes have evolved, so too have the workflows experts use to bring their ideas to life. The MVP workflow, or “Minimum Viable Product” strategy, is one of the most popular options in 2022.

Here’s what you need to know about the MVP workflow and how it differs from some of the other standard workflows developers may be used to.

What is the Designer/Developer Workflow?

As mentioned above, the designer/developer workflow is a series of steps used by experts in the web design world to achieve a creative goal. The process includes the steps taken to start a project, evolve it, and finish it. Since software is never developed without tools, the technology you’ll access throughout the development process is also considered in most workflows.

An example of a standard development workflow might look like this:

  • Scaffolding: This is the stage wherein you start your new web project, creating a git repo, downloading libraries, preparing file structures, and completing other tasks to make sure your product is ready to roll out into the world.
  • Develop: This is where you’ll spend most of your time writing code for your application or website. The development process may include various specific tools and support from other staff members.
  • Test: In this stage, you examine the functionality of your code to determine if everything works as it should. If there are errors or issues, you can go back and develop fixes to the potential problems. Your code may go through the development/test process several times before you can move to the next stage.
  • Integrate: This is when you merge the code for your part of the development process with the rest of the team. You can also integrate your code into websites and existing apps at this point. If you’re working solo, you can skip this process.
  • Optimize: You prepare all your assets for use on a production server during the optimization stage. Files are generally optimized to ensure your visitors can view your site easily or access your applications with ease.
  • Deploy: In the deployment stage, developers push code and assets up into the server and allow for changes to be viewed by the public.

What is MVP? (Minimum Viable Product)

Now you know what a developer workflow looks like, you can begin to assess the concept of the “MVP” workflow. The term “MVP” stands for Minimum Viable Product.

The idea of “Minimum Viable Product” applies to a range of industries, from education to healthcare and government entities. This term comes from lean start-up practices and focuses heavily on the value of learning and changing during the development process.

When you adapt your workflow to focus on an MVP, you’re essentially adjusting your focus to a point where you can create a stripped-back version of something new – like an app or a website. The MVP is built just with the core features (the minimum), so you can bring the idea to market and test it as quickly as possible.

For instance, if your goal were to create an attractive new website for a client, an MVP would focus on implementing the crucial initial tools, and nothing else. While you may create checkout pages, product pages, and other aspects of the site, you wouldn’t populate it with content or start experimenting with bonus widgets and apps.

So, how does this offer a better alternative to the standard workflow?

Simply put, an MVP workflow is quick, agile, and easy. The idea is you can validate key concepts with speed, fail quickly, and learn just as fast. Rather than having to build an entire app and almost start over from scratch every time you find an error, you can race through the iteration and development process.

MVP workflows are also highly appealing to start-ups and entrepreneurs hoping to validate ideas without a massive amount of upfront investment.

Examples of MVP Workflows

Still confused? The easiest way to understand how an MVP workflow works is to look at an example.

Let’s start with a conceptual example. Say you were building a voice transcription service for businesses. The desired features of this product might include the ability to download transcription, translate them into different languages, and integrate them into AI analytics tools.

However, using the MVP approach, you wouldn’t try to accomplish all of your goals with your software at once. Instead, you’d focus on something simple first – like the ability to download the transcripts. Once you confirm you can do that, you can start a new workflow for the next most important feature for the app.

One excellent example of a company with an MVP approach is Airbnb. The entrepreneurs behind this unicorn company, Joe Gebbia and Brian Chesky, didn’t have a lot of cash to build a business with at first. They had to use their own apartment to validate the idea of creating a website where people could share their available “space” in a home or apartment with the public.

To begin, Airbnb only created a very basic website, published photos of their property, and waited to see the results. After discovering people were genuinely interested in renting another person’s home, the company was able to begin experimenting with new ideas to make a site where people could list their properties for travelers.

The Pros and Cons of an MVP Workflow

There are a lot of benefits to the MVP workflow – particularly when it comes to gaining agility and developing new products quickly. However, there are downsides too.

Pros

  • With an MVP approach, you can maximize your learning opportunities and create a more innovative, successful product at speed. You get to test every step of the way.
  • You release iterations or versions of your product quickly, which means you discover problems faster, allowing you to quickly solve these issues.
  • You build on the benefits of customer fans, “evangelists” in the marketplace who are keen to help your product or service grow.
  • An MVP gives you more freedom to try out unique ideas and “risks” you might otherwise avoid with a traditional workflow.
  • Because you’re focusing on creating only the “minimum viable product,” you don’t have to spend a fortune on initially setting up your workflows.

Cons

  • Agile work with an MVP flow requires a lot of effort in collecting constant feedback from customers and releasing iterations.
  • You’ll need to dedicate yourself to releasing many small and frequent product releases on a tight schedule.
  • You might have to revise the functionality of your product or app a number of times.

Creating Your MVP Workflow

If you believe an MVP workflow might be effective for you, the first step is defining your “Minimum Viable Product.” The app, website, or product you design needs to align with your team’s strategic goals, so think about what your company is trying to achieve at this moment – before you get started. If you have limited resources, or specific purposes, like improving your reputation as a reliable company, now might not be the right time to develop a new MVP.

Ask what purpose your minimum viable product will serve and what kind of market you’re going to be targeting. You’ll need to know your target customer to help you test the quality and performance of each iteration of your MVP. Once you know what your ideal “product” is, ask yourself what the most important features will be.

You can base these decisions on things like:

  • User research
  • Competitive analysis
  • Feedback from your audience

For example, if you’re producing an AI chatbot that helps companies to sort through customer inquiries, the most important “initial feature” may be the ability to integrate that bot into existing websites and apps owned by the company.

MVP Approach Guidelines

Once you have your hierarchy of most valuable features for your minimum viable product, you can translate this into an action plan for development. Remember, although you’re focusing on the “minimum” in development, your product still needs to be “viable.” In other words, it still needs to allow your customer to achieve a specific goal.

  • Review your features: Reviewing your prioritized product requirements and the minimum level of functionality you can deliver with each of these “features.” You need to ensure you’re still providing value to your customer with anything you produce.
  • Build your solution: Build your minimum set of features for the product or service. Remember to build only what is required. You can use methodologies like the agile or waterfall method to help guide your team during this process.
  • Validate your solution: Release your offering into the market, and ensure you have tools in place to gather feedback from early adopters. Use beta programs, focus groups, and market interviews to understand how your solution works for your customers and where you can improve on your current offer.
  • Release new iterations: Based on what you learn from your target audience, release improvements to your product quickly. Use your validation strategies to collect information from your audience with each release.
  • Review again: Go back to your product requirements and desired features and start the process over again, this time focusing on the next most valuable functionality. Over time, the value of your minimum viable product will increase.

Using the MVP Workflow Approach

While the MVP workflow approach might not be the right solution for every development or design team, it can work very effectively in the right circumstances. The MVP approach doesn’t minimize the importance of understanding market problems and delivering value. Instead, the focus is on delivering quick value that gradually increases and evolves over time.

As many developers and designers know, the most useful form of product validation in most cases is real-world validation. When your customers have had an opportunity to use a product on a day-to-day basis, they can provide much more effective feedback.

Just keep in mind that committing to the MVP approach also means changing your workflow and committing to iterations – otherwise, other features may never be completed. You’ll need to be willing to work quickly and in small bursts without getting too heavily caught up in one feature or functionality.

 

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There are a lot of factors that contribute to a better user experience on a website. Pages need to load quickly to give users peace of mind and efficiency. Navigation must be clear and straightforward, with direct pathways for visitors to follow when finding your contact pages, blog posts, and products. Your colors need to work seamlessly together while providing just enough contrast in the areas that need it most.

Excellent user experience needs to be considered for every part of your website that acts as a touchpoint with a potential customer or user.

One of the most significant touchpoints of all is your forms.

All websites need some form of interactive content to thrive. Users need to be able to do something with the site, whether it’s looking for information with a search bar, contacting a team for a quote, making a booking, or completing a purchase. Forms power the majority of the interactive activities available on websites.

If you know how to master great UX on a form, you can contribute to more meaningful interactions between your brands and their customers. But not all web forms are the same. Here are some of the top types of forms you need to master and how you can optimize them.

The “Opt-In” Form

The Opt-in Form is probably the best-known form in the digital landscape. It’s essentially a form that asks visitors to “opt-in” to a specific offer. Sometimes, this means signing up for a webinar; other times, it’ll be agreeing to an email newsletter or a regular series of blog updates.

Opt-in forms grab attention quickly and ask for something specific from the audience. For instance, this example from HuffPost encourages visitors to “Subscribe to the Morning Email.”

Opt-in forms are all about generating action.

Sometimes, they’re placed at the bottom of a landing page after a company has had a chance to explain precisely what they’re offering. Other times, you’ll find the opt-in form situated on a sidebar of a website, constantly enticing people to “sign up” if they like what they see on a blog post or article.

It’s also common for opt-in forms to appear as pop-ups and exit pop-ups on modern websites. For example, a brightly colored opt-in form that promises an immediate benefit to a customer could encourage them to hand over their details before they abandon your website.

How to Design a Great Opt-In Form

So what kind of best practices go into an excellent opt-in form?

  • Start with simplicity: If you’re asking your visitors to do something, don’t overwhelm them with too big of a request straight away. Keep the form short and simple, so it doesn’t seem like too much extra work for the visitor. Something like “Subscribe to our newsletter” should ask for nothing more than an email. 
  • Highlight the benefits: Most customers won’t want to give you a place in their inbox or the opportunity to interact with them further unless you can offer something in return. Even if you’re asking for something small, like an email address, let the customer know what’s in it for them. In the HuffPost example above, the company highlights that you can wake up to the day’s “most important news.” 
  • Give the visitor the power: Let your visitor know they’re in control here. They want to see that they’re getting exactly what they need from you in exchange for their contact details. This means reassuring them that their email address won’t be used for spam, like H&B Sensors does here: 

The Contact Form 

The Contact Form is another crucial part of building an effective UX for your website – but it’s also an element that web designers and business owners often overlook. When customers decide they want to learn more about a business, they need a quick and easy way to get in touch.

Contact forms need to be easy to find and use on any website. Usually, your user will expect to see a link to the contact form situated somewhere at the bottom of your webpage. It might be called “Contact Us” or “Customer Support.” Avoid anything that would go over the user’s head.

Aside from being easy to track down, your contact form also needs to reassure an audience that they’re making the right decision by getting in touch. Therefore, the content needs to be short, sweet, and authoritative—highlight why the user might contact your company and how they can do so.

Avoid any unnecessary information in the contact form. For example, you don’t need to know your client’s age and their job to answer a question about where their nearest physical branch is. Keep form fields to the point, or you’ll chase customers away.

How to Design a Great Contact Form

Design something personalized but straightforward to make the most of your contact form. Use features like smart content and conditional logic, if possible, to adapt the page to the user’s needs. Dynamic content is becoming increasingly valuable these days. Other best practices include:

  • Set the right expectations: Let your customers know how active you are and how quickly they can expect to hear back from you. Imagery and the right fonts can also set expectations about the kind of communication your audience can expect. For example, this contact page from the Marvel app is fun and playful, like the company itself:

  • Provide multiple options: If your customer doesn’t want to use your contact form, give them another way to get in touch. Ensure the contact page includes information like where to find you on social media and your professional phone number. 
  • Simplify things on your end: To ensure that you can contact your audience as quickly as possible, allow your customers to choose a specific subject that their query is connected to. Allowing them to choose “Sales” or “Order issues” means you can automatically direct the message to the right team member on the back-end. 

The Online Payment Form 

Sometimes, when your customers have seen what you have to offer and they’ve checked out the competition, they decide to go ahead with their purchase. To facilitate this, you’re going to need an online payment form. Online forms ensure that your customers can safely enter their credit or debit card details to purchase whatever you have to offer.

Most payment processing companies like PayPal, Square, and Stripe come with payment forms included, so you can easily embed them into a website in minutes. However, there’s always the option to customize those payment forms.

For instance, ideally, you’ll need a payment form that keeps your customer on the same page, so they don’t have to log into another browser to make their purchase. The fewer transitions your client has to make, the safer they’ll feel.

How to Design a Great Payment Form

When designing any payment form, simplicity and security are the two most important factors. Your customer should be able to enter their information quickly and easily and get through the transaction process without worrying about their details.

Remember to:

  • Keep it simple: The fewer fields the visitor has to fill out, the better. Customers still feel uncomfortable sharing personal information and payment details online. Make the experience as painless as possible. If your client already has an account with your business, you might create a system that automatically fills some of the fields, such as their email address, name, and billing address. 
  • Offer the right integrations: The proper payment forms will integrate with the payment services your customers prefer to use. Options include PayPal, Stripe, Square, Verified by Visa, and Mastercard. Get a developer to integrate the right APIs with your form to give your customers the broadest range of options. 
  • Ensure security: Give customers peace of mind by providing as much security evidence as possible. An SSL certificate that places the padlock on the top of the browser next to the URL is a great way to make customers feel more secure. Integrating verification options so your customers can avoid fraud issues is another significant step. Sometimes just putting logos from the card types you accept on the page will make a customer feel more secure. 

Support Forms

Some companies bundle the contact form and the support form together. Others have a separate support form to get their queries routed directly to the people most capable of helping them. If you want to take the second route, it might be a good idea to design a “help” section on your website where you can locate the support form.

The “Help” section on a site often appears alongside other links on the footer. For instance, it could appear alongside “About” links and “Contact” options. Here’s an example of Hubspot’s Customer Support options:

The best customer support pages come with various ways for clients to help themselves and find answers to their most pressing questions. For example, you might have a search bar where your audience can search for the answers to their queries or a knowledge base full of helpful blogs.

Hubspot allows users to choose between a blog, knowledge base, academy training center, community forum, developer discussion board, and assistance from a certified partner.

How to Design a Great Customer Support Form

Designing a good customer support form is about getting your audience the information they need as quickly as possible. Once again, you’ll need to stick to as few form fields as possible here to avoid angering an already frustrated customer. Also, remember to:

  • Ask for the right information: Find out what the query is about by giving the customer a drop-box menu full of possible topics to choose from. If you need a product reference number or something similar, ask for that at the top of the form, then allow the customer to provide extra information about their query underneath. 
  • Set expectations: Let your customers know when they can expect to get a response to their concerns and provide them with advice on what to do next. For instance, you could invite them to check out your knowledge base while they wait for a response. 
  • Keep it simple: Avoid using technical jargon on your support request forms. Be direct in your requests for summaries of the issue at hand, contact information, and other supplemental data. 

Customer Feedback Forms

According to Microsoft, around 96% of customers say that customer service is crucial in determining their loyalty to a specific brand. Another 52% of global customers believe that companies need to respond to the feedback provided by customers.

To ensure your customer service strategies are on-par with what your customers expect, you need to get feedback from your audience. That’s where a feedback form comes in. Customer feedback forms often appear after a client has finished purchasing on the “thank you” screen. They may also occur after a customer has completed a service interaction online.

Here’s an example of an Apple feedback form:

How to Design a Great Customer Feedback Form

By leaving you feedback, your customer is doing you a massive favor. They’re giving you a chance to learn from your mistakes and improve the service you can give next time around. Feedback is one of the best tools for any business that wants to grow and thrive.

If you want your customers to use your feedback forms, you’ll need to make them as simple as possible. Your customers don’t have time to waste on a complex form.

  • Don’t make any fields mandatory: Don’t stop your customers from submitting a form unless they’ve completed every field. Allow them to enter the information they consider to be the most important, and that’s it. You can even fill some of the form out for your customer, if possible, by entering their name and email address if they’re already a member of your site.
  • Make it mobile responsive: Remember there are around 3.5 billion smartphone users worldwide. You can’t afford to lose feedback because your form isn’t responsive. Every form should look and feel incredible on any device. 
  • Include a rating option: If your customers don’t have much to say about your service, or they’re not wordsmiths, they might prefer a rating option instead. A one-to-five rating system that allows your customer to judge your product or service on a scale of poor to wonderful is a great way to gain quick information. Check out the Uber Engineering example here:

Though you can pre-enter some information on a feedback form to make your customer’s life easier, don’t overstep your bounds. Adding your customer’s email address to the form is fine if they’re already a customer with you. Pre-selecting the “very satisfied” rating above would look presumptuous.

Top Tips to Improve Every Form Design

The online form is an essential part of any web design project, but it’s also frequently overlooked. Unfortunately, without a good set of forms, your customers will struggle to interact with your company in a meaningful way.

When creating any form, remember:

  • Reduce friction: Reduce the friction for your customers by asking as few questions as possible. The less your customer has to answer, the better. If you can pre-populate forms with information like your customer’s name and email address, this could help. 
  • Keep it simple: Make sure that the form is clean and easy to use. Your customers shouldn’t be confused about where to click or how to submit their information. A single-column design is often better than a multi-column option.
  • Be clear in error messages: Don’t just tell your visitors that something has gone wrong. Let them know what they need to do to submit the form successfully. If possible, use inline validation with real-time feedback to let your audience know that you recognize the information they’ve submitted.
  • Keep data secure: Make sure your audience feels safe by letting them know how you will use this information and why you’re asking for it. If you’re asking for an email address, make the benefits of entering that information clear. 
  • Make fields optional: Allow your audience to add more information to a form if they want to – but don’t demand it. Give some freedom to the visitor. 

The better your forms are, the more effective your interactions with customers will be. Remember, it’s not just the face-to-face interactions that your customers judge when making decisions about your business and whether to trust you. Today’s digital world has prompted a new demand for more meaningful virtual experiences.

Your form could be the first interaction you have with a client, whether it’s a contact form, a booking form, or something else entirely. Get that right, and you can improve your chances of your customers coming back to interact with you again later.

 

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