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Vous aimeriez vous concentrer sur le cœur de votre activité, mais votre temps de travail est envahi par les questions de gestion des ressources humaines ? Et si vous choisissiez un logiciel RH pour votre PME/ETI ? Plutôt que d’être préoccupé par les questions relatives aux dates des congés de vos collaborateurs, ou de vous préoccuper de leur dernière augmentation de salaire, laissez une solution RH prendre le relais. Vous remplacerez vos tableaux excel contraignants et obsolètes. Un logiciel de ressources humaines vous simplifie la vie et surtout, la gestion de votre personnel. Mais au juste : quelles fonctionnalités pouvez-vous attendre de ce type de solutions informatiques destinées aux PME/ETI ?

La gestion du personnel à l’aide d’un logiciel RH pour PME/ETI

La mise en œuvre d’une solution RH informatisée au sein de votre PME vous permet d’optimiser et de simplifier la gestion du personnel. Cette dernière est clairement chronophage si on s’y lance avec des outils inappropriés. Cette tâche est complexe, plus qu’on ne le pense souvent. Elle comprend à la fois des aspects administratifs, qualitatifs et stratégiques. L’objectif visé doit être une meilleure qualité de travail de votre personnel, grâce à l’automatisation des tâches.

Les solutions RH de SAP permettent tout d’abord de structurer les données relatives à votre personnel. Ces données sont regroupées dans une même interface, d’où elles sont directement accessibles. Les responsables et managers ont accès aux informations de manière centralisée, sur une plateforme intuitive et conviviale. L’actualisation des données s’effectue en temps réel. Elle est disponible rapidement à toutes les personnes autorisées.

Un logiciel de gestion RH peut être entièrement personnalisé. Il répond aux besoins spécifiques de chaque entreprise. L’interface de base rassemble des données sur le salaire, les formations, les congés, les compétences. D’autres fonctionnalités peuvent venir s’ajouter. Ainsi, il est possible d’intégrer à la base du logiciel le résultat des évaluations et des entretiens, les questions liées à la retraite, et bien d’autres informations encore.

Ces solutions informatiques RH peuvent assister les managers lors du recrutement de nouveaux collaborateurs. Elles facilitent la publication des annonces et le suivi des candidatures. 

Les avantages d’un logiciel SIRH pour PME/ETI

Outre les logiciels RH courants, des solutions spécifiques aux fonctionnalités pointues ont vu le jour. On les appelle couramment SIRH, pour Système d’Information sur les Ressources Humaines. Un logiciel SIRH se compose généralement de plusieurs modules d’application. Ils permettent d’optimiser la gestion du personnel. Cette solution modulaire présente des avantages. En effet, elle est personnalisable en fonction des besoins des PME/ETI. Le logiciel permet une meilleure structuration des données et des processus. Il contribue aussi à sécuriser les données, ainsi que la gestion des salaires. En effet, les solutions SIRH intègrent le plus souvent un logiciel de paie. Elles aident également l’entreprise à respecter les normes légales relatives à la saisie des données personnelles de leurs collaborateurs.

Les fonctionnalités d’un outil SIRH comprennent ainsi la gestion administrative des données du personnel, les temps de travail, les congés et absences, les notes de frais, la formation professionnelle, les salaires, un outil de gestion des diplômes et compétences, les résultats des entretiens d’évaluation et les bilans sociaux, avec reporting RH.

Les PME/ETI n’ont souvent pas les moyens d’engager des employés pour se charger exclusivement des tâches de gestion. C’est pourquoi disposer d’un outil SIRH performant et soigneusement paramétré pour prendre en compte les besoins de l’entreprise constitue un véritable avantage concurrentiel. Vous pouvez dégager un temps considérable en automatisant la plupart des tâches que nous venons de citer. Vous pourrez ainsi, vous et vos collaborateurs, être plus efficaces. De plus, les logiciels SIRH permettent le plus souvent l’intégration d’un module de gestion de projet.

La gestion optimisée des salaires avec un logiciel de paie intégré à votre solution SIRH

Une bonne gestion des salaires prend du temps. Les PME/ETI peinent souvent à remplir pleinement cette mission, ce qui entraîne des erreurs et des conflits avec les collaborateurs. Pourtant, les outils SIRH offrent des solutions conviviales et simples pour automatiser cette tâche administrative et comptable. Le premier avantage est de vous éviter de rassembler les données relatives à la paie à partir de plusieurs systèmes différents. Avec un logiciel SIRH et son module dédié à la paie, il suffit de quelques clics pour préparer efficacement le versement des salaires, puis pour le valider. 

Les solutions SAP vous permettent de consulter les données personnelles relatives à la rémunération par le biais d’une seule interface. Les données pertinentes du dossier du salarié peuvent être extraites rapidement. De même, vous avez accès à la rémunération passée de vos employés et à son historique. Lors du changement de données personnelles, la mise à jour se fait automatiquement, à partir de la base générale. N’oubliez pas qu’il est essentiel que les informations figurant sur les fiches de paie soient correctes. 

Votre logiciel paie vous donne accès à ces données en temps voulu et met en évidence les changements intervenus. Il vous permet aussi de vérifier toutes les fiches avant de les valider et d’effectuer le versement des salaires. Exportez facilement les données salariales de tous les employés et partagez-les avec les comptables. Les employés peuvent également télécharger leur fiche de paie directement depuis leur portail individuel. L’ensemble de la procédure gagne donc en transparence. Les documents sont toujours disponibles en ligne, évitant un classement fastidieux de fiches papier.

Le talent management avec un logiciel RH pour PME/ETI

Votre logiciel de gestion des ressources humaines vous permet également un meilleur management des talents et compétences. Ainsi, les contrats d’objectifs et les évaluations régulières constituent un instrument de gestion RH efficace, qui facilite le talent management et permet aux collaborateurs de développer leur motivation et leurs compétences. Ils contribuent à garantir l’engagement des employés dans leur travail et à déterminer les besoins en qualifications. Grâce aux solutions RH, les entreprises peuvent mettre en place un processus systématique. Ce processus garantit une compréhension commune des exigences et des objectifs.

Les contrats d’objectifs aident les managers à formuler des tâches complexes et à les traduire en résultats concrets et mesurables. Un logiciel RH dédié au management des compétences des salariés contribue à automatiser ce processus et permet une planification efficace. Il assure la transparence nécessaire en attribuant les exigences requises aux différentes fonctions. Le logiciel effectue une comparaison entre l’objectif visé et les compétences des collaborateurs. Il conçoit clairement des déroulements pour les différents projets et processus. Le logiciel RH permet aussi de faciliter l’évaluation. 

Grâce à un concepteur de listes et de statistiques, les bilans sont réalisés de manière flexible et rapide. De cette manière, les responsables de l’entreprise identifient les collaborateurs les plus performants et ceux qui le sont moins. Il nécessitera donc de motiver ou former ces derniers.

La tendance actuelle est au travail agile. Ainsi, les réunions ou entretiens d’évaluation traditionnels sont peu adaptés à ces formes modernes d’activité. De plus en plus d’entreprises ont abandonné les évaluations annuelles et les contrats d’objectifs sur 12 mois, au profit de bilans plus rapprochés, par période de 4 ou 6 mois.  Cela permet aux managers de donner un feedback à leurs employés à des intervalles plus courts. Les managers et les employés discutent ensemble de ce qui s’est bien passé au cours des derniers mois, des points à améliorer et du soutien dont l’employé a besoin. 

Pour éviter que ces entretiens indispensables au talent management ne soient trop chronophages, l’utilisation d’un logiciel RH est recommandée. 

Recruter de nouveaux talents avec un logiciel RH pour PME/ETI

Le recrutement de vos collaborateurs est un facteur essentiel de succès. Vous devez pouvoir effectuer une sélection soigneuse, sans perdre du temps. Affichage du poste, sélection des candidats, contrat de travail : autant d’étapes incontournables que les PME/ETI peuvent gérer plus facilement à l’aide d’un logiciel RH. Ce type de solutions, comme nous l’avons vu, contribue à un talent management efficace. Elles trouvent un domaine d’application idéal dans le recrutement de nouveaux collaborateurs. 

Les logiciels de gestion des ressources humaines présentent l’avantage de permettre un aperçu clair et précis des candidatures. Vous pouvez vous en servir pour publier vos offres d’emploi, mais aussi pour stocker et classer, voire analyser les lettres de motivation, les courriels et les candidatures en ligne. Les données récoltées sont partagées avec les managers responsables. Ils peuvent participer utilement à la décision d’embauche. Le logiciel RH pour PME/ETI vous aide aussi à optimiser les communications avec les candidats, à expédier les invitations à un entretien ou à l’inverse, les refus. Vous pouvez les automatiser tout en conservant leur caractère individualisé. 

Votre solution SIRH veille à ce que rien ne soit oublié. Elle traite toutes les étapes, de manière chronologique, et détermine automatiquement, à chaque demande, l’état du processus. Vous évitez ainsi les retards, par exemple lors de l’envoi des accusés de réception. Vous risquez bien moins de négliger les candidatures les plus intéressantes ou de les perdre. Le logiciel RH peut être programmé pour effectuer une présélection des candidats. Il garantit un gain de temps appréciable pour le service. 

Vous obtenez un aperçu synthétique et transparent de l’ensemble du processus de gestion des candidats. Qu’il s’agisse de déterminer des quotas, de générer une correspondance automatique, de sélectionner des profils ou d’effectuer un premier classement des candidatures, le logiciel RH garantit un accès rapide à toutes les données nécessaires. Il détecte aussi les doublons et peut générer un historique des requêtes ou des candidatures.

A retenir

Comme nous avons pu le voir, le choix d’un outil SIRH contribue à optimiser de nombreux processus de gestion au sein des entreprises. Cette optimisation dégage du temps pour les responsables et leurs collaborateurs. Cela est essentiel pour les PME et ETI, qui ne peuvent disposer d’un service de ressources humaines dédié. L’outil SIRH participe au succès de l’entreprise. Il facilite la mise en œuvre de ses projets.

Facteur d’innovation et de progression de l’activité, les logiciels RH SAP facilitent la gestion de la paie, la gestion des talents et la gestion plus classique du personnel. Différents modules peuvent venir répondre à des besoins spécifiques de l’entreprise.

SAP SuccessFactors vous aide à repenser la gestion des ressources humaines. L’outil modernise le fonctionnement de votre PME ou ETI. Vous centralisez la gestion des documents et des dossiers et rationalisez vos services. Vous gagnez en efficacité et en agilité, grâce à des solutions informatiques taillées sur mesure pour l’entreprise d’aujourd’hui. 

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Source de l’article sur sap.com

The best free online coding websites for beginners are hubs of education and insight, designed to take your knowledge and career to the next level.

For years, technical careers have been gaining more attention among innovative individuals. In a digital world, people capable of speaking computer language often have the widest selection of job opportunities. However, before you can start leveraging the blossoming job market, you need to hone your skills. That’s where free coding websites come in.

A free online coding website is an environment where you can develop your understanding of various kinds of code, update your programming prowess, and even earn certifications. Today, we’re going to be looking at some of the most impressive coding websites on the market.

Coding Careers: Opportunities in 2021 and Beyond

Before we leap into our overview of the best free coding websites, let’s examine why it’s so important to invest in your coding role. Looking at the US Bureau of Labor Statistics, we see that coders earn an average of $89,190 per year.

Elsewhere, CompTIA notes that technology hiring has accelerated since the end of 2020, with up to 391,000 new positions opening in the US during December.

Though coding careers have been popular for some time now, they have particularly high value following the pandemic, as companies worldwide adapt to the changes associated with remote workforces, digital customer service, and ecommerce. The pandemic has made us more reliant on technology than ever before, as a result:

  • Coding skills are in high demand: Coding skills are essential for the newly digital world. Studies find that the pandemic has accelerated digital transformation by around 7 years. Companies need coding professionals to stay ahead of the curve.
  • Coding knowledge is becoming more versatile: Companies are looking for coding skills in more than just programmers. They want their data analysts, IT workers, artists, designers, and other professionals to have these talents too.
  • People with coding talent can earn more: Jobs requiring coding skills tend to pay more than those that don’t. This reveals the growing need for coding knowledge in the digital ecosystem.

Coding skills provide an avenue to tech professionals for higher-income jobs, and these careers are growing faster on average than other job opportunities.

The Best Websites for Learning to Code

Learning to code or developing your existing coding skills can help you to unlock a host of new opportunities. Today, you can learn coding online for free, just by visiting the right websites.

Even a basic knowledge of coding can drive a range of results, such as helping to support the better management of websites, reducing reliance on outside developers, and opening the door to app development. So whether you want to start a new career or upgrade your existing knowledge, these sites will help:

BitDegree

BitDegree is a wonderful website for anyone interested in web development, coding, data science, and programming. There are various courses to choose from, depending on the career path you want to take. For instance, you can learn about the AWS cloud or start your journey into gaming development. For coding, BitDegree covers languages like:

  • CSS
  • HTML
  • PHP
  • SQL
  • JavaScript
  • jQuery

The best thing about BitDegree is how it makes learning so fun. There are gamified courses and sections where you can really dive into the essentials of coding. In addition, the online coding course collection often features hundreds of discounted options for people on a budget.

CodeAcademy

One of the most popular sites for learning how to code for free, CodeAcademy is home to over 24 million students who have built their skills. The interactive learning approach lets you apply what you’ve learned immediately. Over 300 million hours of free coding content are available to check out at your leisure. Like most coding platforms, you can learn languages such as:

  • CSS
  • JavaScript
  • HTML
  • PHP
  • jQuery
  • Python
  • PHP
  • Ruby

CodeAcademy is particularly effective for beginners because you get instant feedback after submitting your coding efforts. When you make mistakes, you’ll find out exactly where you went wrong, allowing you to avoid similar mistakes in the future.

Codewars

Codewars by Qualified is definitely one of the most versatile free platforms for learning how to code. There are dozens of languages you can learn – too many to list right here. Options range from C++ and C# to Ruby, Python, Lean, Java, PHP, Scala, and countless others.

Codewars teaches you your programming language in-depth by selecting challenges designed to put your mind to the test. The goal for each challenge is to help you sharpen your knowledge over time, with tasks that get progressively more difficult over time.

The cool thing about Codewars is it allows you to see how you respond to challenges compared to how other coders have tackled the same issues.

Code.Org

Designed for a younger community of would-be coders, Code.org is an engaging and highly accessible introduction to coding. With around 60 million students worldwide, the Code.org platform gives you access to a wide range of different learning opportunities intended to suit different needs and learning levels.

The Code.org environment is built on a desire to bring coding into the standard curriculum. You can dive into full one-hour tutorials, or you can experiment with a more structured approach to learning, which is ideal for people with different learning styles. There’s also a huge catalog of courses extending from basic coding for younger kids all the way to University-level education.

Free Code Camp

A diverse option in our free coding website list, Free Code Camp is all about developing your coding knowledge while simultaneously networking with other like-minded people in the industry. The solution allows you to learn coding by participating in challenges – which is ideal if you want to put your skills to the test as soon as possible.

To help you jump in, you’ll have access to a range of courses and tutorials designed to help you understand and overcome each challenge. You can even code for non-profits on the platform and build tradeable projects in languages like:

  • HTML5
  • Javascript
  • Node.JS
  • CSS3
  • React.JS
  • Databases
  • Git

If you’re a little nervous about the concept of coding alone, you’ll have a full community to work within the Free Code Camp. You might even meet someone you can work with in the years ahead.

Code Conquest

Code Conquest is less of a course website and more of a comprehensive guide for beginners diving into the world of code. This amazing platform will help you understand all of the basics of coding in no time – even if you’re brand-new to the landscape. You can find out what coding is all about, learn which languages are best to learn for your needs, and more.

The website is full of resources for all kinds of coders, including comprehensive tutorials, reviews, a knowledge center, training packs, and more. You can even choose from a range of languages like:

  • CSS
  • HTML
  • PHP
  • jQuery
  • Ruby
  • JavaScript
  • Python
  • MySQL

To help you figure out where you should get started, the Code Conquest website also gives you recommendations on which tutorials to take next.

W3Schools

One of the better-known free websites for coding on the market today, W3Schools is an environment packed full of example codes, resources, tutorials, exercises, and libraries to help you learn how to code. The site is one of the largest in the world for developers.

To begin coding with W3 Schools, you’ll need to choose the programming language that’s right for you, then either jump into the program immediately or select from a range of learning options. The site comes with a handy quiz to help you define your knowledge level.

Languages range from CSS to SQL, JavaScript, HTML, Python, Java, C++, and many more.

Code Avengers

Code Avengers offers a fun and interactive approach to learning how to program and code. There are various course options to teach you how to create everything from games and apps to entire websites. The good thing about the Code Avengers website is you don’t need a lot of spare time to start learning. Each course takes around 12 hours to complete.

You can choose from languages like HTML, CSS, Python, jQuery, JavaScript, and more, and connect with a wide selection of similar coding enthusiasts, just like you. The biggest downside is that the free trial only lasts for seven days before you’ll need to pay to use the full program.

The Code Player

A simple and effective website for learning how to code and building your existing skills. There are tons of videos and demos to walk you through the process of learning how to code from scratch. All you need to do is click on one of the things you want to learn how to do, like creating a simple web page, and the site will give you a video walkthrough.

Though a little simple compared to other coding resources, the Code Player still has a lot of great video guidance to help beginners jump into various languages. For example, you can learn about CSS and HTML or check out various tools to help you make a more effective website.

CodeGym

If you’re particularly interested in learning about Java, the CodeGym is probably the website for you. This online Java programming course teaches you the basics of Java by allowing you to dive into various tasks. You can get involved with various exercises depending on your existing skill level and play around with games designed to teach you more about the coding landscape.

This website is fantastic for people in all stages of the coding journey. Whenever you suggest a solution to a challenge, the website will give you immediate feedback to learn from. There are more than 500 hours of Java coding exercises and educational resources to explore.

The Odin Project

One of the better-known free coding websites on the market, the Odin Project aims to take the headaches and frustration out of learning web development. If you’re a beginner looking to develop a career in coding, then the Odin Project will give you all the pieces of the puzzle required to decide exactly where you want to go and build the appropriate skills.

This site offers a full-stack curriculum of coding education options, with tons of challenges, tasks, and exercises to help you put your newly gained knowledge to the test. You’ll learn how to program in languages like CSS and HTML, explore the basics of JavaScript and Ruby, and even get tips on how to get hired when your skills are maxed out.

Plural Sight

Previously known as Code School, Plural Sight is a fantastic online learning platform that allows you to build your knowledge through a range of paid and free courses. The comprehensive platform is organized into a wide selection of different learning paths. You can choose how you want to develop your skills based on your chosen language and your existing skillset.

You choose an education path created by professional instructors to achieve specific outcomes, and Plural Sight gives you all the material you need. You can also practice what you’ve learned during the course in your browser and get immediate feedback on what you need to work on. There’s even a gamification aspect that allows you to earn points for every course level you complete.

MIT Open Courseware

Imagine how amazing it would be to get accepted to MIT to learn your new coding skills? What if you didn’t have to go through the headache of an official application. If you have a computer and internet access, you can explore MIT’s course material easily through the MIT Open Courseware website. This dedicated website gives you an insight into all of the courses and materials learned by students at MIT.

You can browse through all the courses available in the programming landscape and filter through results based on things like course features. For instance, you might specifically look for courses with their own online textbook, lecture notes, and videos. It’s a great way to get an insight into how one of the most reputable universities in the world offers coding education.

Web Fundamentals

We’ve already looked at a website offering coding resources specifically for Java, now let’s take a look at one designed for HTML5. Launched about 11 years ago as HTML5 Rocks, the Web Fundamentals website is packed full of tutorials, resources, and insights into the most recent updates to HTML5. This open-source environment allows developers and programmers to really get active with their skills.

You can play around with some of the code already available on the website, and explore tutorials authored by a range of amazing individuals. Although these courses are very comprehensive, it’s worth noting that they might not be the perfect choice for true beginners, as the tutorials can be more complex than most.

Dash General Assembly

If you’re keen to learn the essentials of coding in some of the most popular languages, like CSS, JavaScript, and HTML, then Dash General Assembly is the site for you. This website offers fun and free courses which will guide you through the basics of web development. You even get interactive tasks and challenges you can leverage within your browser, with no downloads required.

Users learn how to do a range of amazing things with this website, including how to code HTML5, build a beautiful website, and balance your layouts for aesthetic appeal and usability. You can even design dynamic interfaces where you can add aminations and effects. Dash General Assembly is a fantastic tool for anyone keen to get started in the world of coding.

Codeasy.net

Finally, Codeasy.net promises beginners a fast and simple way to start learning how to code, while having plenty of fun. This exciting website immerses you within a digital story which takes you on an adventure through the basics of coding. You’ll need to learn real-life coding skills to navigate your way through the rest of the story, which means you can develop your C# knowledge as you go.

This is one of the more unique tools for learning how to code that we’ve found so far. It’s a great way to discover the basics of C# without being bogged down in boring lectures. Remember, though, this website is intended for complete beginners, so you might find it a little basic if you already know some of the coding essentials.

Free Websites for Learning to Code

Free coding websites are an excellent way to develop your skills and unlock new opportunities in the world of coding. If you’re keen to jump into a new career as a programmer or coding developer, make sure you check out some of the options above. There’s no doubt you’ll find a site capable of giving you the boost you need.

 

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La mise en oeuvre d’un nouveau système ERP offre une occasion majeure de transformer numériquement votre entreprise. Non seulement vous pouvez dépasser les fonctionnalités limitées ou la technologie obsolète de votre ancien système, mais vous pouvez également tirer parti des capacités du système ERP moderne pour vous aider à saisir de nouvelles opportunités commerciales.

Cependant, toutes les mises en place ne se déroulent pas sans heurts. Alors comment préparer votre entreprise à une mise en oeuvre réussie de l’ERP ? Comment éviter les coûts et les risques inutiles ? Ces meilleures pratiques de mise en œuvre d’un ERP peuvent vous aider à éviter les pièges les plus courants et à profiter plus rapidement des avantages de votre nouveau système ERP.

Par où commencer votre projet ERP ?

Lorsque les gens pensent à la mise en oeuvre d’un système, ils commencent souvent par envisager les fonctionnalités souhaitées. Mais les nouvelles fonctionnalités ou technologies ne sont pas le cœur du problème ; ce dont une entreprise a besoin pour se développer, ce sont des processus de gestion modernes. Ce n’est qu’avec des processus efficaces qui vous permettent d’être agile et réactif que vous pourrez stimuler votre compétitivité et mieux servir vos clients internationaux.

Souvent, les processus existants sont rigides et ne répondent pas aux besoins de l’entreprise. Même lorsque des processus éprouvés et rentables sont en place, ils doivent souvent être mis à jour pour répondre à l’évolution des besoins ou être enrichis de nouvelles fonctionnalités, comme l’accès mobile, les alertes et la veille économique. Il est donc important de toujours garder ces processus au cœur de votre plan de mise en œuvre.

Quel est le plus grand facteur de réussite ? Votre équipe de projet.

Toutes les études de cas sur la mise en oeuvre d’un ERP se rejoignent
: le facteur déterminant est l’équipe de mise en œuvre.

Un excellent logiciel n’est excellent que s’il est mis en œuvre par une équipe solide. Si les membres de l’équipe n’ont pas le temps, le soutien ou les compétences nécessaires pour effectuer le travail efficacement, ils ne réussiront pas – et le projet souffrira probablement de retards, de coûts supplémentaires et/ou d’un logiciel qui ne répond pas aux besoins de l’entreprise.

Les entreprises qui ont connu des revers ou des échecs en matière d’ERP ont souvent affecté des employés qui « avaient le temps » de travailler sur le projet. Mais pour réussir, vous devez recruter les personnes dont « vous ne pouvez pas vous passer ». Il s’agit des personnes bien occupées qui connaissent les processus opérationnels, travaillent bien avec les autres membres de l’organisation et ont le respect de la direction. Dédiez ces personnes au projet à plein temps (40 heures de disponibilité), ou autant d’heures que possible par semaine.

N’ajoutez à l’équipe de projet clé aucune personne qui ne peut pas consacrer au moins 25 % de son temps (minimum 10 heures) au projet chaque semaine. Les membres de l’équipe consacrant moins d’un quart de leur temps pourront rattraper les activités du projet mais n’y apporteront aucune valeur ajoutée.

Le soutien de la direction à votre équipe est essentiel. Dans toute mise en œuvre importante, des décisions doivent être prises concernant les priorités et les compromis en matière de ressources. Sans un soutien et un engagement fort, même les équipes qualifiées peuvent échouer.

La mise en oeuvre rapide d’un système ERP moderne est l’une des choses les plus importantes qu’une entreprise puisse réaliser. Cela vaut la peine d’y consacrer vos meilleurs éléments et de poser les bases du succès dès le départ.

Comment planifier la mise en œuvre de votre ERP

Planifiez la séquence de mise en place de façon réaliste. Tenez compte de la disponibilité de votre équipe de direction, des managers et des experts internes qui contribuent à l’effort.

Classez vos besoins par ordre de priorité afin de pouvoir vous concentrer sur les gains importants tout en constituant une base logicielle et technologique de base qui pourra évoluer en fonction des besoins de votre entreprise.

Votre plan détaillé et vos indicateurs clés de performance seront adaptés à vos besoins spécifiques. Toutefois, les activités clés suivantes sont des étapes communes à toutes les mises en place réussies :

Mise en oeuvre d'un ERP

1. Sélectionnez un partenaire intégrateur pour vous aider à la mise en œuvre

Votre équipe de projet n’est probablement pas très expérimentée dans la mise en œuvre d’un logiciel ERP ; elle aura besoin d’aide. Cherchez et sélectionnez un ou plusieurs consultants qualifiés pour la mise en oeuvre de l’ERP, ayant une connaissance approfondie et une expérience de l’application ERP que vous allez installer. Confirmez qu’ils comprennent comment la nouvelle solution logicielle soutient vos processus d’affaires actuels et à venir. Interrogez leurs références pour le vérifier.

Vos partenaires intégrateurs doivent disposer d’un personnel formé à votre secteur d’activité et disponible sur vos sites. Si vous avez des clients et des fournisseurs internationaux, vos partenaires doivent avoir les compétences nécessaires en matière de commerce international, de langues et de devises pour rationaliser votre mise en œuvre.

Enfin, examinez le logiciel de gestion de projet que l’entreprise utilise pour vous assurer qu’il est compatible avec votre système interne de planification, d’ordonnancement et de suivi.

2. Détaillez toutes les tâches du projet

Votre partenaire de mise en place vous aidera à dresser une liste détaillée de toutes les tâches à accomplir. Cette liste sera longue. La formation seule, par exemple, comprend de nombreuses tâches :

  • Formation de l’équipe de projet : Votre équipe doit se familiariser avec le logiciel afin de pouvoir décider comment adapter vos processus d’entreprise.
  • Formation de l’équipe informatique : L’équipe informatique doit être formée afin de comprendre comment installer et maintenir le système de manière optimale.
  • Formation des utilisateurs métiers : Toutes les personnes appelées à utiliser le logiciel doivent apprendre comment il fonctionne.
  • Formation continue : Les nouveaux utilisateurs auront besoin d’être formés au fur et à mesure qu’ils rejoignent votre entreprise, vous devrez donc mettre en place un plan à plus long terme.

La liste des tâches doit être divisée en phases. Il faut prévoir du temps pour le pilote en salle de conférence, la personnalisation de l’application, l’intégration à d’autres applications et sources de données, la mise en œuvre de l’infrastructure, le nettoyage des données, l’acceptation par les utilisateurs, etc.

3. Calculez les heures de travail

Estimez soigneusement le temps nécessaire à chacune des tâches. Pour ce faire, comprenez la tâche et le travail qu’elle implique, puis déterminez le nombre d’ « heures de travail » nécessaires. Il peut s’agir d’une fourchette d’heures, mais elle doit être précise. Additionnez les heures de travail pour chaque phase du projet et désignez la personne chargée de les réaliser.

C’est pourquoi il est important de faire appel à un partenaire intégrateur qui connaît bien la solution logicielle. Si vous effectuez cette étape correctement, vous serez en mesure de calculer avec précision votre calendrier, de déterminer si vous avez besoin d’aide en dehors de votre équipe actuelle et de limiter les dérapages.

4. Créez un calendrier réaliste

Maintenant que vous avez calculé les heures de travail disponibles et nécessaires, vous pouvez créer un calendrier réaliste. Dans de nombreux cas, le premier passage révèle un problème de capacité par rapport au calendrier de mise en œuvre qui avait été présenté à l’origine aux dirigeants.

Voici un exemple de calcul qui illustre les écarts potentiels :

  • Délai de mise en service prévu = 12 mois ou 1 an
  • Nombre total d’heures de travail disponibles sur une période de 12 mois = 540/semaine ou 28 080 heures/an
  • Nombre total d’heures de travail nécessaires à la mise en place = 42 000 heures au total
  • Heures requises divisées par les heures disponibles par an = 1,496 années

Le résultat ? La date de mise en service est manquée avant le début du projet. Voici quelques solutions possibles :

  • Réduire le scope – même si l’équipe a convenu que ces tâches sont essentielles.
  • Repousser la date à une date réaliste
  • Ajouter plus de ressources internes et externes (heures de travail disponibles)
  • Décomposer le projet en phases

C’est ici que l’équipe de direction devra prendre la décision. Ce n’est qu’un exemple des raisons pour lesquelles ils doivent être impliqués dans le processus de sélection et de mise en œuvre du logiciel.

5. Menez un projet pilote

Une fois le projet lancé et avant la mise en service, effectuez un test ou un pilote (dans une salle de conférence) avant le déploiement complet. Ce pilote interne vous permettra de vous assurer que vous avez mis en place les processus opérationnels appropriés pour les besoins actuels et futurs de l’entreprise. Lorsque vous concevez vos nouveaux processus, il est important de comprendre l’éventail des options disponibles dans votre système ERP – et de valider vos processus avec l’équipe de projet et les parties prenantes de la communauté des utilisateurs.

Au cours de cette phase de plusieurs semaines, votre partenaire de mise en place installera un logiciel pilote qui vous permettra de tester tous vos processus et de vous assurer qu’ils fonctionnent comme prévu, sans surprise. Souvent, vous pouvez appliquer les meilleures pratiques pour gagner du temps, en particulier si vous disposez des outils de configuration pour effectuer des ajustements rentables à mesure que vous affinez vos opérations.

6. Nettoyez vos données

Cela semble simple, mais le nettoyage des données est une activité chronophage. Il est préférable de commencer à évaluer l’exactitude de vos données dès que possible, car il faut beaucoup d’efforts pour réaliser cette étape correctement. Au cours du projet, des changements de processus métiers se produiront – soyez donc prêt pour des étapes supplémentaires de gestion des données pendant la mise en œuvre.

7. Tenez tout le monde informé

Chaque semaine, un membre du personnel doit contacter toutes les parties prenantes clés afin qu’elles soient informées des points positifs et moins positifs de l’avancement du projet de mise en œuvre. Le pire scénario est celui où les gens ne sont pas tenus au courant et sont pris par surprise.

La plupart des bons systèmes de gestion de projet comportent des représentations visuelles de l’avancement du projet.

Commencez par les processus les plus importants de votre entreprise

Toutes les entreprises n’ont pas les mêmes problèmes. Il est donc préférable de passer en revue vos processus opérationnels et de classer par ordre de priorité ceux qui doivent être abordés en premier. Voici une liste de domaines à haute valeur ajoutée à prendre en compte :  

  • La veille stratégique, y compris les alertes de gestion et les tableaux de bord : Votre équipe a besoin de mises à jour rapides sur les problèmes de l’entreprise, ainsi que de la possibilité d’approfondir facilement les détails pour résoudre rapidement les problèmes – au bureau, à la maison ou sur la route. Vous avez besoin d’une intelligence d’affaires intégrée et de données qui se trouvent dans une base de données unique.
  • Gestion de la relation client (CRM) : Aujourd’hui, les processus CRM touchent généralement toutes les parties d’une entreprise. Les ventes directes, les distributeurs, les showrooms, le commerce électronique, le service client et les commerciaux partagent tous des informations sur les clients avec la gestion des commandes, les opérations, les achats, l’ingénierie, les comptes clients et l’expédition.
  • Finance et comptabilité : Des transactions financières précises et en temps réel, des indicateurs clés de performance et des analyses sont essentiels à toute entreprise, et ils doivent couvrir tous les sites et départements. Outre la comptabilité, elles doivent être intégrées à l’évaluation des coûts, à la budgétisation, aux prévisions, aux projets, à la gestion des actifs, à la conformité et à la gestion de la trésorerie.
  • Gestion de la chaîne logistique (DSC) et fabrication : Les délais serrés, les faibles marges et les perturbations de la chaîne d’approvisionnement constituent un défi pour toutes les entreprises. Leur gestion nécessite un travail d’équipe – collaboration avec les fournisseurs, les transporteurs, les sociétés d’import/export, les banques et d’autres partenaires – souvent sur des appareils mobiles répartis sur plusieurs sites.
  • Ressources humaines (RH) : La gestion d’une main-d’œuvre diversifiée est plus difficile aujourd’hui que jamais, et votre équipe a besoin d’un accès immédiat et sécurisé aux informations sur les employés pour la paie, les avantages sociaux, la budgétisation, la programmation et les besoins de conformité. De plus, le recrutement, le développement et la fidélisation des employés constituent une part importante de l’évaluation des plans d’affaires actuels et proposés.
  • Langues, devises et sites multinationaux : À mesure que vous développez votre entreprise, en particulier si vous vous implantez dans de nouvelles régions ou de nouveaux pays, vous devez être en mesure d’ouvrir et de développer de nouvelles opérations de manière cohérente et rapide. Cela nécessite des capacités logicielles étendues et avancées, ainsi que des services cohérents de la part de votre fournisseur de logiciels sur chaque site.
  • La mobilité : La capacité d’accéder à l’information et de travailler à distance est désormais vitale – comme l’a démontré la pandémie de COVID-19. Les entreprises qui disposent des outils nécessaires pour s’adapter rapidement peuvent prendre l’avantage en période de perturbation.

Conseils pour atténuer les risques liés à la mise en œuvre d’un ERP

Tous les projets comportent un élément de risque. Vous trouverez ci-dessous cinq conseils précieux pour améliorer vos chances de mener à bien votre projet dans les délais et les budgets impartis.

  1. Choisissez des partenaires expérimentés en matière de logiciels, de processus opérationnels et de mise en oeuvre qui possèdent un savoir-faire sectoriel et local. Interrogez toujours des références dans des entreprises comme la vôtre.
  2. Ne poussez pas une technologie dépassée au-delà de ses limites. Éliminez les anciens systèmes autonomes dépassés et, dans la mesure du possible, consolidez vos données dans une base de données unique (version unique de la vérité) avec une veille économique intégrée pour des performances multinationales.
  3. Dans l’économie numérique, les entreprises doivent souvent intégrer des systèmes entre les unités commerciales ainsi qu’avec les clients et les fournisseurs. Confirmez que vous disposez de capacités d’intégration dans le cloud et d’une expertise en matière de réseaux de fournisseurs.
  4. Évitez les dérives du projet. Il est fréquent de découvrir des besoins et des opportunités au cours de la mise en œuvre d’un ERP. Il est donc important de gérer les ordres de modification pour éviter les retards et les dépassements de coûts.
  5. Confirmez que vous disposez d’une expertise cohérente sur tous vos sites. Vous avez besoin d’une formation, d’une mise en place et d’une assistance, souvent fournies par la direction locale, les distributeurs de logiciels, les sociétés de conseil et votre partenaire logiciel.

Conseils pour éviter les coûts supplémentaires liés à la mise en œuvre d’un ERP

L’investissement dans un nouveau système ERP comprend l’engagement en temps de votre entreprise, le conseil en processus métier et en mise en œuvre, les logiciels et les services cloud, ainsi que l’équipement en ordinateurs, tablettes et téléphones – il est donc important de contrôler le projet et les coûts.

Voici quelques points clés à suivre :

  • Restez concentré sur le coût total de possession (TCO). Gérez vos coûts totaux – et les avantages au fil du temps pour minimiser les dépenses et maximiser le rendement. N’oubliez pas que la mise en œuvre d’un système ERP aura un impact important sur votre entreprise.
  • Respectez l’orientation de l’entreprise et n’imposez pas de changements de processus inutiles. Dans de nombreux cas, les entreprises sont contraintes de modifier leur mode de fonctionnement pour s’adapter à leur logiciel, ce qui augmente les coûts de mise en œuvre et d’exploitation.
  • Concentrez-vous sur les processus de routine qui apportent une valeur significative à l’entreprise.  La gestion des commandes des clients, la mise à jour des prix, l’ajout de nouveaux produits et services, la modification des détails de fabrication et l’intégration des nouveaux employés sont des exemples de ces processus de routine.
  • Évitez les personnalisations et tirez parti d’une interface utilisateur configurable, des tableaux de bord, des alertes, des flux de travail, de la veille économique et des fonctionnalités mobiles. Grâce à ces fonctionnalités, vous pouvez rationaliser le travail de tous vos services ainsi que procéder à des ajustements rapides et rentables si nécessaire.
  • Les piratages de systèmes et les violations de données coûtent cher. Lorsque vous utilisez Internet, utilisez une solution ERP en nuage sécurisée si nécessaire – confirmez que vos fournisseurs de logiciels et de services prennent en charge une gamme d’options de déploiement de logiciels sécurisés.

Quand votre mise en oeuvre ERP sera-t-elle terminée ?

Une fois votre mise en oeuvre initiale terminée, vous aurez toujours besoin de la flexibilité nécessaire pour ajouter des fonctionnalités supplémentaires à votre entreprise. De nombreux changements peuvent être à l’origine de ces opportunités, comme de nouveaux sites, de nouvelles gammes de produits et de services, et des acquisitions.

La transformation numérique offre également des possibilités supplémentaires de faire équipe avec les clients et les fournisseurs pour redéfinir la manière dont les affaires sont menées dans votre secteur. Souvent, ces projets incluent de nouvelles technologies, comme l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle (IA), ainsi que l’intégration avec des équipements et des véhicules utilisant l’Internet des objets (IoT) pour améliorer la vitesse et l’efficacité.

Prêt à passer à l’étape suivante ?

Dans tout projet ERP, il y aura des problèmes inattendus – alors attendez-vous à en rencontrer dans le vôtre. Mais, en suivant les meilleures pratiques pour une mise en oeuvre réussie de l’ERP, vous pouvez les identifier et les traiter dès qu’ils se présentent afin de gérer efficacement vos risques et vos coûts.

Essayez une solution ERP moderne cloud

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Source de l’article sur sap.com

Votre prochaine grande décision lorsque vous envisagez un nouveau système ERP ? La façon dont il sera déployé. Vous avez le choix entre plusieurs approches, notamment le déploiement traditionnel sur site, le déploiement dans le cloud ou une combinaison hybride des deux. 

Vous voudrez tenir compte des différences financières et examiner les forces et les attraits de chaque stratégie de déploiement ERP, ainsi que les limitations ou les défis uniques. Il est essentiel d’examiner toutes les options et de choisir l’approche de déploiement qui répondra le mieux aux besoins de votre entreprise aujourd’hui – et dans un avenir prévisible. 

Avant de vérifier les options de déploiement de votre ERP, voyez comment – et pourquoi – le cloud est devenu un environnement vital pour la réussite des entreprises dans l’économie numérique. 

Pourquoi cette tendance d’un déploiement cloud ? 

Nous observons tous avec un vif intérêt l’évolution de la technologie informatique à un rythme toujours plus rapide. Les premiers systèmes d’entreprise et les premiers systèmes ERP étaient hébergés sur de gros ordinateurs centraux et de milieu de gamme avec des terminaux pour la saisie des données par les utilisateurs – après avoir remplacé les cartes perforées et la saisie sur disque, bien sûr ! La technologie de pointe suivante était l’architecture client/serveur, dans laquelle les terminaux étaient remplacés par des PC (appelés aujourd’hui clients) qui pouvaient gérer une partie de la charge de travail. Cela a permis de réduire la quantité de données qui devaient faire l’objet d’allers-retours avec l’ordinateur serveur. 

Aux alentours du millénaire, deux évolutions importantes ont changé le monde de l’informatique et de l’ERP : l’Internet et le cloud. Il n’était plus nécessaire d’acheter et de prendre en charge du matériel et des logiciels pour gérer votre entreprise. La totalité ou la majeure partie de la technologie pouvait désormais être « louée » ou externalisée dans le cadre d’une offre groupée comprenant toute la maintenance et une grande partie des opérations techniques. L’omniprésence d’Internet a fourni l’infrastructure de communication nécessaire pour rendre le cloud pratique et disponible partout dans le monde. 

Mais les entreprises n’ont pas immédiatement migré leurs systèmes ERP vers un déploiement dans le cloud. Il a fallu un certain temps pour que la technologie et les applications arrivent à maturité et pour que les entreprises réalisent que l’ordinateur n’a pas besoin d’être sur place pour bénéficier d’un accès fiable et d’une sécurité pour les applications essentielles à l’entreprise. Une partie de cette évolution a impliqué que les développeurs apprennent à : 

  • Tirer pleinement parti du déploiement dans le cloud 
  • écrire ou réécrire des applications de manière appropriée 
  • Reconstruire leur infrastructure (technologie et ressources humaines) pour prendre en charge les systèmes dans le cloud. 

Et, surtout, les systèmes ERP dans le cloud offrent désormais des technologies avancées telles que l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique pour améliorer la productivité et le service, des expériences utilisateur personnalisées pour favoriser l’adoption, ainsi que des fonctionnalités étendues et des analyses intégrées pour fournir une vue complète de l’entreprise, ce qui, au final, favorise l’innovation et la croissance de l’entreprise. 

Le modèle tarifaire du SaaS 

Dans le passé, la plupart des logiciels étaient installés dans les locaux de l’entreprise et la seule option de licence était l’achat d’une licence perpétuelle – l’application étant concédée pour un montant initial plus un contrat de maintenance annuel pour les mises à niveau et les corrections de bogues. Les licences de logiciels sont le plus souvent facturées par utilisateur. La maintenance annuelle est généralement facturée à 18 % ou 20 % du prix courant du logiciel. Cela signifie que la licence du logiciel est essentiellement « rachetée » tous les cinq ou six ans. 

Avec l’ERP sur site, tout le matériel et le logiciel sont achetés ou loués et installés sur le(s) site(s) de l’entreprise. L’entreprise est responsable de la maintenance, de l’assistance et des éventuelles mises à niveau ou extensions du matériel, des systèmes et des logiciels d’application, ainsi que des locaux, de l’assurance, des ressources de basculement et du stockage de sauvegarde hors site. 

Les systèmes ERP basés sur le cloud, en revanche, ne sont généralement pas installés sur site et sont pris en charge par un fournisseur dans le cadre d’une redevance mensuelle ou annuelle. Ils font l’objet d’une licence sur la base de ce que l’on appelle un logiciel en tant que service (SaaS). Les licences SaaS peuvent être facturées par utilisateur, par application ou par ensemble d’applications (tout l’ERP, par exemple), en fonction de la taille de votre entreprise ou d’autres variations. 

Un aspect intéressant des licences de déploiement dans le cloud est leur évolutivité. Si la licence est accordée par « siège » d’utilisateur, vous pouvez ajouter ou réduire le nombre d’utilisateurs et payer un prix plus ou moins élevé en fonction du nombre de nouveaux utilisateurs. Si vos besoins en termes de volume de transactions, de capacité de stockage ou de puissance de calcul changent, le fournisseur est chargé de mettre à niveau ses installations pour tenir compte de ce changement, ce qui signifie que vous n’aurez pas à acheter et à installer plus de serveurs ou plus de stockage sur disque. 

L’analogie la plus proche pourrait être la télévision par câble. Vous payez pour ce dont vous avez besoin, et ce prix comprend l’utilisation et l’exploitation de toutes les installations physiques, le personnel, la maintenance et toutes les autres dépenses liées au service de câble à votre emplacement. Si vous avez besoin de plus de chaînes et que vous en ajoutez, vous payez simplement ce que vous avez demandé et vous ne vous inquiétez pas de savoir comment ils parviennent à fournir les chaînes supplémentaires. 

Cloud public vs. privé vs. hybride cloud vs. deux-tiers 

Il existe quatre façons possibles de mettre en œuvre un véritable système ERP dans le cloud : 

4 façons de mettre en œuvre un système ERP dans le cloud

1. ERP sur le cloud public

Le cloud public est le principal modèle de licence pour les solutions ERP de type « software-as-a-service » (SaaS). Le fournisseur du système dispose de son propre centre de données – ou peut louer un espace sur un nuage public pour héberger ses applications et ses systèmes. Tout le matériel, les systèmes et les services d’assistance sont fournis par le biais du cloud public. La mise en œuvre est ainsi plus rapide et plus facile pour l’entreprise utilisatrice car, avec tous les éléments matériels et logiciels déjà en place, elle peut commencer directement par le transfert des données et la formation des utilisateurs. 

Avec cette option de déploiement de l’ERP dans le cloud, votre fournisseur de logiciels s’occupera également de l’installation, de la maintenance et de l’assistance, y compris de toutes les mises à jour et mises à niveau logicielles telles que l’ajout de puissance de calcul ou de stockage. De plus, les systèmes, les applications et les ressources peuvent être « autoscalés », c’est-à-dire augmentés ou diminués automatiquement pour répondre à des besoins changeants. Il n’est donc plus nécessaire de payer pour des ressources informatiques qui peuvent rester inutilisées la plupart du temps, comme c’est le cas avec les systèmes ERP sur site.

L’ERP SaaS basé sur le cloud public a un coût initial faible ou nul (une « dépense d’investissement ») mais un coût mensuel un peu plus élevé (une « dépense d’exploitation »), par rapport à une installation sur site typique. Si l’on considère la période normale de coût du cycle de vie de cinq à sept ans, le coût total de possession (TCO) est similaire, voire inférieur, à celui d’une installation sur site et offre potentiellement un meilleur service, un meilleur support et une meilleure sécurité.

L’ERP en cloud public offre également le chemin le plus rapide vers l’innovation, ce qui le rend idéal pour les entreprises qui veulent poursuivre agressivement leur stratégie de transformation numérique. Cette option de déploiement permet aux entreprises de réimaginer, d’optimiser et d’adapter facilement leurs processus métier en fonction des besoins, et de tirer parti des meilleures pratiques standardisées que les fournisseurs d’ERP modernes devraient prendre en charge.

2. ERP en cloud privé 

Bien qu’ils soient similaires à l’option du cloud public, le matériel, les logiciels système et l’assistance du cloud privé peuvent être détenus, gérés et exploités par l’entreprise, un tiers ou une combinaison des deux pour l’usage exclusif d’une seule organisation. Dans le cadre d’un déploiement dans le cloud privé, l’entreprise utilisatrice doit généralement payer la licence du logiciel ERP.   

L’option de propriété tierce est populaire auprès des services informatiques qui souhaitent externaliser le matériel, la base de données et une grande partie des tâches de mise en réseau, ce qui leur permet de bénéficier de certains des avantages d’un cloud public. Cette option de déploiement est également privilégiée par les entreprises qui souhaitent passer au cloud par étapes, que ce soit rapidement ou progressivement, ou comme étape intermédiaire vers le cloud public. Cela est particulièrement vrai pour les grands fabricants mondiaux et les autres entreprises dont les systèmes sont complexes, fragmentés ou hautement personnalisés.  

Le déploiement d’un cloud privé implique généralement un investissement initial plus important (dépenses d’investissement), mais le coût du cycle de vie peut se situer quelque part entre celui du cloud public et celui des systèmes sur site. Certains fournisseurs modifient ce calcul en proposant des packs de mise en œuvre groupés qui réduisent les coûts initiaux et incluent tous les outils et services, l’infrastructure et les exigences du réseau par le biais d’une tarification par abonnement. Les entreprises peuvent profiter d’un coût total de possession plus faible grâce à l’économie du cloud, d’une architecture moderne basée sur le cloud, ainsi que d’une fonctionnalité ERP complète qui inclut les modules complémentaires, les extensions et les améliorations des partenaires.    

3. ERP en cloud hybride 

Les éléments d’un déploiement ERP dans un cloud privé, un cloud public et sur site peuvent être combinés pour créer un cloud hybride, qui offre la flexibilité de choisir le déploiement optimal pour chaque application. L’ERP dans le cloud hybride peut être utilisé comme un tremplin vers le cloud public, ou pour répondre à des questions de réglementation sectorielle et à des exigences de sécurité particulières qui peuvent imposer le recours à des applications sur site dans certaines situations. D’autres restrictions ou préférences peuvent également rendre les applications sur site souhaitables pour certaines applications. La complexité d’une entreprise et de son environnement actuel, ainsi que le désir d’une vitesse de changement plus lente, sont des facteurs déterminants dans la décision de déployer un scénario hybride. 

Une mise en œuvre hybride permet aux applications et aux données de passer d’une option à l’autre en fonction de l’évolution de la charge de travail. Elle offre les avantages du cloud pour la partie du système qui se trouve dans le cloud. Cependant, elle nécessite une plus grande implication de l’informatique locale pour prendre en charge les éléments sur site, ainsi que la coordination entre les deux – ou plus – environnements de système ERP. 

4. ERP deux-tiers 

Véritable variante de l’approche hybride mise en œuvre pour les mêmes raisons, le déploiement d’un ERP à deux niveaux – parfois appelé déploiement en étoile – fait appel à un système central et à des systèmes satellites plus petits qui prennent en charge les installations distantes. Imaginez que l’ERP de l’entreprise est le centre, et que les systèmes ERP individuels des usines, entrepôts ou bureaux des filiales renvoient tous leurs données au centre. Cette idée n’est pas nouvelle ; elle est apparue au cours de la phase de traitement distribué des années 1990, lorsque les entreprises ont choisi de mettre en œuvre des systèmes plus petits, plus simples et moins coûteux sur des sites distants, tout en conservant le système d’entreprise plus grand et plus performant au siège de la société. Tous les systèmes d’un réseau à deux niveaux, ou certains d’entre eux, peuvent être installés sur site ou dans le cloud, achetés ou sous licence SaaS. 

Le coût global d’un déploiement ERP à deux niveaux – avec des systèmes moins coûteux aux nœuds au lieu du même système d’entreprise partout – permettra de réduire le coût de l’achat initial. Toutefois, l’intégration et le support peuvent entraîner un coût global continu plus élevé, car les interfaces doivent être construites et entretenues. Et, année après année, il faudra davantage de soutien informatique pour assurer la coordination avec les multiples fournisseurs, ainsi que pour gérer les calendriers de mise à niveau et les changements d’interface non coordonnés. 

Que signifie l’expression « faux cloud » ? 

Le faux cloud, également connu sous le nom de « cloud washing », fait référence à un système ERP existant porté vers le cloud et peut-être « enveloppé » d’un logiciel supplémentaire pour adapter le système à cet environnement. Mais ces applications ne sont pas écrites pour être déployées dans le cloud et ne peuvent donc pas vraiment bénéficier de ce que le cloud a à offrir. Il s’agit exactement des mêmes applications ERP héritées installées sur du matériel externalisé. Le « wrapper » peut présenter aux utilisateurs des écrans modernes de type Web, mais les informations saisies doivent être traduites en fonction des exigences de saisie du système existant et retransmises aux écrans enveloppés pour affichage – une approche peu efficace. Pour l’utilisateur, cela ressemble au nuage, mais il ne fonctionnera pas comme une application dans le cloud et ne sera pas en mesure de tirer parti de la connectivité dans le cloud, des fonctionnalités avancées ou des performances opérationnelles optimisées. 

Les véritables fournisseurs d’ERP dans le cloud conçoivent leurs solutions de A à Z, spécifiquement pour le cloud. Les applications patrimoniales enveloppées dans le cloud n’ont pas été conçues pour le cloud et des problèmes de performance peuvent donc survenir. Les personnalisations et les intégrations peuvent également poser problème, et ces solutions doivent toujours être mises à jour et entretenues, souvent par les ressources informatiques de l’entreprise utilisatrice. 

Étant donné que les applications patrimoniales portées sur le cloud sont essentiellement les mêmes que les applications sur site, la tarification est rarement basée sur les besoins d’utilisation, d’où un risque de sur-achat. En outre, le modèle SaaS n’est pas couramment appliqué, ce qui signifie que l’entreprise utilisatrice conserve en interne toute la responsabilité du support et des mises à jour. 

Quand choisir un système ERP sur site plutôt que dans le cloud ? 

De plus en plus d’entreprises passent à l’ERP dans le cloud, mais cette solution ne convient pas à toutes les entreprises. La principale raison de conserver une solution ERP sur site est le besoin de conformité, qu’il s’agisse des exigences des clients, du secteur ou des pouvoirs publics en matière de réglementation et de normes. Des exigences plus strictes nécessitent parfois une mise en œuvre sur site dans les secteurs plus réglementés.  

Le manque de fiabilité du service Internet est cité par certaines entreprises comme une raison de ne pas passer au cloud. Pour les applications ERP critiques, il est crucial d’être opérationnel et disponible 99 % du temps. Cependant, avec les réseaux, serveurs et processus modernes, les temps d’arrêt ne sont généralement plus un problème et empêchent rarement le déploiement d’un ERP dans le cloud.  

La gestion des données peut être une autre raison de conserver votre système ERP dans vos locaux. Dans le cas d’un déploiement dans le cloud, vous pouvez ou non être en mesure de déplacer facilement vos données, selon les politiques de votre fournisseur de services. Assurez-vous qu’il prend en charge les services dont vous avez besoin.  

Une autre raison est la perte de contrôle (par exemple, sur la sécurité, les données ou les mises à niveau). Avec un ERP basé sur le cloud, votre entreprise se décharge de nombreuses responsabilités informatiques sur un tiers. Il est donc important de s’assurer que ce tiers est fiable et qu’il a fait ses preuves. Cependant, certaines entreprises choisissent encore de tout garder « en interne ».   

Les déploiements d’ERP sur site présentent certains inconvénients, notamment la nécessité de procéder à des mises à niveau manuelles du système et l’absence de services intégrés d’installation, de maintenance et d’assistance. Heureusement, pour les entreprises qui ont besoin de ce type de mise en œuvre, certains fournisseurs proposent des services qui offrent certains des avantages des logiciels basés sur le cloud. 

Astuces pour la sélection des processus 

Choisissez d’abord le logiciel ERP par le biais d’un processus d’évaluation minutieux, puis examinez les options de déploiement en fonction des capacités de déploiement du logiciel, des besoins de votre entreprise et du retour sur investissement potentiel de l’ERP. Certains logiciels ERP ne sont disponibles qu’en mode cloud ou SaaS, tandis que d’autres fournisseurs proposent des solutions cloud, on-prem et hybrides. Les options de déploiement disponibles peuvent être un critère d’inclusion dans la liste restreinte, mais elles ne doivent pas être le seul déterminant du choix du système. . 

  • Évitez les applications ERP héritées du faux cloud pour les raisons mentionnées ci-dessus.  
  • Les entreprises à croissance rapide et celles qui prévoient des changements prochains dans le nombre d’utilisateurs (à la hausse ou à la baisse) devraient probablement se concentrer sur les vrais systèmes ERP dans le cloud pour leur évolutivité et leur tarification à l’usage.  
  • Assurez-vous que tous les membres de l’équipe de sélection comprennent les caractéristiques et les avantages de l’ERP dans le cloud public, privé ou hybride.  

Synthèse 

Au départ, les entreprises peuvent être attirées par le déploiement d’un ERP dans le cloud pour des raisons financières (peu ou pas de dépenses d’investissement et coût total du cycle de vie réduit), mais elles sont enthousiasmées par les avantages techniques et opérationnels qu’offre le cloud, notamment 

  • Un ERP qui est toujours à jour avec les dernières mises à niveau (sans coût ni effort supplémentaire). 
  • Une évolutivité quasi illimitée 
  • Paiement uniquement pour ce dont vous avez besoin/ce que vous utilisez 
  • une mise en œuvre plus rapide 
  • Une meilleure sécurité et de meilleurs contrôles d’accès, et plus encore 

Le déploiement intégral dans le cloud n’est pas la seule option. Il est parfois plus judicieux de conserver certaines applications sur place et d’utiliser le cloud pour le reste. Heureusement, de nombreux choix de configuration et de déploiement sont disponibles afin que vous puissiez choisir le déploiement qui vous convient le mieux sur le plan financier et opérationnel. 

Le passage à un nouveau système ERP est un changement important pour les utilisateurs du système, le service informatique et l’ensemble de l’entreprise. Il est judicieux d’explorer toutes les options et de choisir la configuration du système qui offre les meilleures performances au meilleur coût. Ensuite, prévoyez comment vos ressources internes et votre structure devront changer pour tirer le meilleur parti de votre investissement, quels que soient la configuration et le déploiement. 

Publié pour la première fois en anglais sur insights.sap.com 

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Source de l’article sur sap.com

SAP propose des outils et méthodes pour toutes les étapes de la migration vers l’ERP intelligent SAP S/4HANA. Des solutions qui pourront être complétées par la méthodologie et les outils de SOA People, afin d’accélérer et de sécuriser encore plus ce processus.

L’approche Move to SAP S/4HANA, complétée par les méthodologies et outils de SOA People, offre de mieux préparer, mener et réussir son projet de migration vers l’ERP intelligent SAP S/4HANA. Un outillage qui permet aux entreprises d’envisager sereinement leur projet de migration.

Premier temps : la préparation

« Le premier temps est celui de la réflexion, celui du quand, du comment… et du combien », résume Christian Charvin, Head of Program Move to SAP S/4HANA chez SAP. SAP fournit un ensemble d’outils qui permettent de mener la réflexion de bout en bout, en mesurant précisément quel effort devra être fourni et quels gains attendre.

SOA People ajoute à ceci un outil spécifiquement dédié à la construction du business case, Performer. « Performer va se brancher sur l’ERP du client, en extraire les données de façon anonyme et évaluer le niveau de performance de l’entreprise par rapport à son utilisation de l’ERP, explique Pierre-Edouard Hamon, Presales Director, SOA People. À cet effet, le client va être comparé à un panel d’entreprises représentatives. Ceci permet d’évaluer son niveau de maturité en vue de la migration vers SAP S/4HANA, puis de proposer des plans d’action adaptés, comprenant les améliorations recommandées. Ce plan d’action permet d’évaluer les coûts de mise en œuvre du projet, mais aussi les gains potentiels attendus, qu’ils soient uniques ou récurrents. »

Techniquement, les outils proposés par SAP sont capables de proposer une approche similaire : SAP Process Dicovery crée une image de l’utilisation de l’ERP. SAP Transformation Navigator définit le paysage applicatif et fonctionnel, suivant le périmètre et les améliorations choisis. Enfin, SAP Value LifeCycle Manager construit le business case. Performer présente toutefois plusieurs atouts : une couverture plus large en matière de domaines fonctionnels ; plus d’indicateurs mesurés (2600, contre 1380 chez SAP) : une meilleure automatisation du processus.

Second temps : la migration

Les conversion factories ont le vent en poupe. Les conversion factories assurent une migration technique, sans modification massive des processus. Elles permettent de basculer de SAP ECC vers SAP S/4HANA dans des délais courts, avec un minimum de changements fonctionnels. Une fois cette étape réalisée, les processus peuvent être revus avec les métiers, de façon progressive et suivant les priorités fixées par l’entreprise. Une approche à privilégier lorsque le saut technologique est important : passage de SAP ECC à SAP S/4HANA ou passage d’un environnement sur site à une solution en mode cloud, comme RISE with SAP.

« L’emploi d’une conversion factory permet d’industrialiser toutes les étapes de la migration, à périmètre constant, avec parfois la modification de quelques processus clés. Cette méthode permet de capitaliser sur les investissements réalisés précédemment, en reprenant les paramétrages de l’ERP et en convertissant les spécifiques existants. Quant à la conduite du changement, elle peut être ajustée, en ne déployant pas d’entrée de jeu l’intégralité des nouveautés de SAP S/4HANA », explique Christian Charvin.

« Nous sommes tellement fans de l’approche conversion factory que nous proposons un outil de conversion automatisée capable d’assurer automatiquement certaines tâches (finance, gestion des immobilisations, business partners…), ainsi que la conversion de 93% à 95% des spécifiques, ajoute Pierre-Edouard Hamon. La conversion des spécifiques est réalisée à l’aide d’un moteur d’intelligence artificielle autoapprenant très efficace. À un point tel que nous avons réussi à assurer la migration technique d’un industriel en seulement trois mois ! »

Troisième temps : les travaux post-migration

Une conversion réussie nécessite l’alignement des bonnes personnes, des bonnes méthodes et des bons outils. Toutefois, deux aspects sont à considérer après la conversion, et tout au long du cycle de vie de l’ERP : l’amélioration continue et les tests.

Une solution comme Signavio permet d’analyser les processus utilisés à un instant T et de les comparer aux bonnes pratiques du secteur. Un outil précieux qui réalignera les processus avec ces bonnes pratiques. « Nous recommandons à nos clients de réaliser régulièrement cette analyse, dans le cadre d’une stratégie d’amélioration continue de leurs processus », poursuit Pierre-Edouard Hamon. Mais également pour s’assurer que leurs processus restent dans un état optimal.

Lorsque l’ERP est déployé dans le cloud, il va évoluer au rythme des évolutions proposées par SAP. Mais même lorsqu’il est déployé sur site, il est recommandé d’assurer des montées de versions régulières pour profiter de l’innovation SAP. Que ce soit lors de la refonte de processus existants ou lors d’une montée de version, les tests – de bon fonctionnement ou de non-régression – sont essentiels. « Des outils comme Tricentis (distribué par SAP) permettent d’industrialiser ce que les clients font encore trop souvent à la main. Cette solution permet pourtant d’accélérer sensiblement la phase de test lors d’une conversion ou d’une montée de version », explique Christian Charvin. « Tricentis permet de réduire la phase de test et de libérer du temps pour se concentrer sur la formation des utilisateurs finaux. C’est un outil qui participe lui aussi à l’adoption de SAP S/4HANA », confirme Pierre-Edouard Hamon.

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Source de l’article sur sap.com

Craft CMS is increasing in popularity, and as it does, the previously relatively scant range of plugins is growing rapidly.

There are plugins for Craft ranging from simple field utilities to the full ecommerce solution provided by Pixel & Tonic — the makers of Craft.

An early decision that has borne fruit for Craft has been the plugin licensing model. Paid plugins for Craft charge an initial license fee and then a reduced annual renewal price for updates. This ongoing payment structure ensures plugin maintenance is economically viable for developers, and as a result, Craft plugins tend to be updated more often and are abandoned less.

The best plugins depend very much on the site you’re developing and what you’re trying to achieve. However, some are so universally useful that I install them on virtually every site I build; here’s a list.

1. Redactor

Installing Redactor is a no-brainer when it comes to picking your plugins. Maintained by Pixel & Tonic, it’s a rich text field that extends Craft‘s basic text input. It’s so useful it may as well be part of the core Craft code.

One of the best features is the ease with which Redactor can be customized. Just duplicate the settings file inside the config directory and edit its contents to alter what editing options are available; it’s simple to create anything from a field with a bold option to a full rich text editor. In addition, each Redactor field can be set to use any of the settings files.

Free

2. Retcon

When you’re outputting code from a rich text field like Redactor, you’ll get clean HTML output — which most of the time is what you want. However, if you’re using something like Tailwind, those classes are non-negotiable. I’m not a fan of Tailwind, but I am a fan of using classes in my CSS selectors instead of element names.

Retcon is an invaluable plugin that extends Twig filters to supply a host of options when you’re outputting content. It can add classes to elements, insert attributes, modify the element type, and tons more.

Free

3. Venveo Bulk Edit

During the life of a site, there’s a good chance that you’re going to have to alter fields and sections after the content is in. It’s a common problem if you’re importing data from another platform using FeedMe, or if you have an indecisive client, or even if the site is simply growing.

Venveo Bulk Edit is a plugin that integrates closely with the Craft UI and allows you to edit the contents of multiple entries at once. This plugin has saved me hundreds of hours that would otherwise have been spent painstakingly editing entries one at a time.

Free

4. Super Table

At some point, you’re going to need a configurable list of inputs. Maybe you’re creating a list of documents to download, building a directory, or even your site navigation. You could create a new channel and then add the entries as an entry field, or even set it up with a matrix field, but this is awkward to edit even with Craft 3.7’s new editing experience.

I’m a big fan of opting for the simplest solution, and in this case, the simplest option is a table field. Unfortunately, Craft’s built-in table field has limited field type support. Super Table, on the other hand, supports almost anything, giving you a powerful, orderable set of fields.

Free

5. No-Cache

Craft has a really powerful caching system. It allows you to cache whole or partial templates, and it‘s intelligent enough to know when you’ve edited content that has been cached so that it can be re-cached.

Understanding Craft’s caching is vital; as a very general guide, dynamic content benefits from caching, but static content does not.

However, you will regularly encounter situations where you want to opt out of the caching. A blog post, for example, could be cached, but the time since it was posted must not be, or every post would appear to have been published “today” until the cache is refreshed.

The No-Cache plugin adds a couple of Twig tags that allow you to temporarily opt-out of the cache. This means that you can cache larger sections of your templates, simplifying your caching decisions considerably while still being able to fine-tune what is cached.

Free

6. Retour

Sooner or later, you’re going to have users hitting 404 errors. If you’re restructuring a site and changing the architecture, it will be sooner. To avoid breaking the UX and SEO, you need to add redirects.

Retour is a helpful plugin that sits in your dashboard side menu. Anytime a user triggers a 404, Retour will flag it up, so you can decide how to redirect the URL in the future.

$59 for the first year; $29/year for updates after that

7. Sherlock

One of Craft’s big strengths is its security. A lot of attention has gone into making sure that the core installation uses best practices. However, as with any CMS, potential security vulnerabilities start to creep in as soon as you introduce 3rd-party code (WordPress’ biggest vulnerability by far is its plugins).

You only need to look at the size of the vendor directory in your installation to see how many 3rd-party dependencies your site has. Even a small site is a house of cards.

Sherlock is a security scanner that performs a number of different tasks to help you stay secure, from checking on security threats in 3rd-party scripts to checking directory permissions. The paid version will even let you limit IP addresses if your site comes under attack — although your hosting company may well do this for you.

Lite: Free
Plus: $199 for the first year; $99/year for updates after that
Pro: $299 for the first year; $149/year for updates after that

8. Imager X

Craft’s built-in image transforms are a little limited. For example, they only work with actual assets, not remote images.

Imager X is an excellent plugin that, among many benefits, allows you to transform remote images. In addition, its refined syntax is perfect for coding complex art direction.

Imager X isn’t cheap, but considering the enormous importance of image optimization, unless you have a straightforward set of images to manipulate, it’s an investment you’ll be glad you made.

Lite: $49 for the first year; $29/year for updates after that
Pro: $99 for the first year; $59/year for updates after that

9. SEOMatic

SEOMatic is the SEO solution most Craft developers default to, including Pixel & Tonic themselves.

You’ll need to define the basics in its settings, and you may find yourself creating extra fields specifically for it to pull data from, but the handy progress bars on its dashboard page will give you an overview of what’s set and what needs to be done.

SEOMatic is another premium plugin, but implementing it is far simpler and cost-effective than digging through all those meta tags and XML files yourself.

$99 for the first year; $49/year for updates after that

Must-Install Craft CMS Plugins

The Craft ecosystem is rapidly growing, and the diversity of the plugins available increases as Craft is utilized for more and more sites.

But despite the lure of shiny new plugins, there are some tools that I return to again and again either because they elegantly fill a gap in the core Craft feature set or because I’ve tried them, and I trust them to be robust.

These are the plugins that I have found most useful in the last couple of years, and installing them is the first thing I do when I set up a new Craft installation.

Source

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Le monde du travail est en train de changer – pas seulement les lieux où nous travaillons, mais aussi la façon dont nous travaillons se transforme. Les fonctions ont évolué, passant de responsabilités statiques et prédéfinies à des rôles dynamiques qui nécessitent un apprentissage sur le tas et un développement continu des compétences.

Aujourd’hui plus que jamais, les entreprises ont besoin d’une technologie RH dans le cloud pour offrir à leurs collaborateurs des expériences attrayantes et pertinentes, pour fournir les données et informations dont les dirigeants ont besoin pour apporter de la valeur ajoutée à leur entreprise et pour suivre le rythme des attentes et des besoins en constante évolution chez les collaborateurs.

Nous avons écouté nos clients avec attention et comprenons que la modernisation de leur technologie des ressources humaines (RH) est une étape essentielle pour faire avancer la transformation de leur entreprise, mais c’est une étape qui demande du temps, des investissements et une gestion du changement réfléchie. Comme cela a été  souligné lors du dernier événement « Introduction à RISE avec SAP », la transformation d’une entreprise en entreprise intelligente nécessite l’adoption de nouvelles technologies pour redéfinir les processus de gestion. Mais nous savons aussi que les personnes sont essentielles à la réussite de toute transformation. Si le changement à cette échelle peut sembler un objectif stratégique à long terme, des transformations humaines et culturelles continuent de se produire chaque jour.

En tant que fournisseur de technologies leader sur le marché, nous pensons qu’il est essentiel d’offrir à nos clients des parcours flexibles leur permettant de migrer leurs solutions RH sur site existantes vers SAP SuccessFactors Human Experience Management (HXM) Suite. Grâce à l’initiative SAP HXM Movement, nous réalisons d’importants investissements dans nos solutions HXM et simplifions les modèles commerciaux pour rationaliser le parcours de nos clients vers le cloud et pour accélérer le processus d’innovation.

Nous savons qu’il n’existe pas d’approche universelle pour migrer vers le cloud et que nombre de nos clients existants sur site continueront à avoir des modèles hybrides. SAP HXM Movement est conçu pour aider nos clients à migrer à un rythme qui soit le plus avantageux pour leurs besoins de gestion tout en préservant les investissements existants. Avec RISE with SAP, nous pouvons accompagner nos clients exactement où ils en sont dans leur parcours. Car chaque transformation a ses propres besoins. Et en offrant un modèle commercial simplifié aux clients SAP qui en sont encore au début de leur réflexion, nous pouvons leur offrir des parcours agiles avec des coûts de migration prévisibles afin qu’ils puissent bénéficier de l’économie du cloud tout en réduisant les risques.

La migration vers SAP SuccessFactors HXM Suite permet à nos clients d’accéder à l’innovation « born-in-the-cloud » de SAP SuccessFactors avec l’étendue et la profondeur des technologies SAP. Grâce à une évolutivité et une localisation inégalées, elle fournit les bases nécessaires pour réinventer la façon dont les RH offrent des expériences aux collaborateurs en tant que partenaire de transformation stratégique pour l’entreprise. Les investissements produits inclus dans SAP HXM Movement s’appuient sur nos capacités existantes, avec une innovation accélérée dans les domaines critiques suivants :

  • Ressources humaines centrales améliorées grâce à une configurabilité et une localisation améliorées
  • SAP SuccessFactors Time Tracking, une solution dans le cloud récemment annoncée, qui offre des fonctionnalités avancées en matière de temps et de présence
  • Accélération de l’innovation en matière de paie dans le cloud
  • Intégration des données rationalisée entre les solutions sur site et dans le cloud

La transformation de l’entreprise n’est plus une option, c’est un impératif. Pour prospérer dans l’économie d’aujourd’hui, il faut plus d’agilité, plus de visibilité et des expériences humaines plus dynamiques. En commercialisant HXM, nous rendons possible la prochaine évolution des RH, où les collaborateurs sont au centre des activités. Avec SAP HXM Movement, nous nous associons à nos clients pour apporter les changements technologiques dont ils ont besoin pour assurer l’avenir non seulement de leurs activités, mais aussi de leurs collaborateurs.

 

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Meg Bear est vice-président senior de Product, Engineering, and Operations pour SAP SuccessFactors.

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Source de l’article sur sap.com

On June 29th, GitHub announced Copilot, an AI-powered auto-complete for programmers, prompting a debate about the ethics of borrowed code.

GitHub is one of the biggest code repositories on the Internet. It hosts billions of lines of code, creating an unparalleled dataset with which to train a coding AI. And that is exactly what OpenAI, via GitHub, thanks to its owners Microsoft has done — training Copilot using public repositories.

The chances are you haven’t tried Copilot yet, because it’s still invite-only via a VSCode plugin. People who have, are reporting that it’s a stunning tool, with a few limitations; it transforms coders from writers to editors because when code is inserted for you, you still have to read it to make sure it’s what you intended.

Some developers have cried “foul” at what they see as over-reach by a corporation unafraid of copyright infringement when long-term profits are on offer. There have also been reports of Copilot spilling private data, such as API keys. If, however, as GitHub states, the tool has been trained on publicly available code, the real question is: which genius saved an API key to a public repository.

GitHub’s defense has been that it has only trained Copilot on public code and that training AI on public datasets is considered “fair use” in the industry because any other approach is prohibitively expensive. However, as reported by The Verge, there is a growing question of what constitutes “fair use”; the TLDR being that if an application is commercial, then any work product is potentially derivative.

If a judge rules that Copilot’s code is derivative, then any code created with the tool is, by definition, derivative. Thus, we could conceivably reach the point at which a humans.txt file is required to credit everyone who deserves kudos for a site or app. It seems far-fetched, but we’re talking about a world in which restaurants serve tepid coffee for fear of litigation.

There are plenty of idealists (a group to which I could easily be accused of belonging) that nurture a soft-spot for the open-source, community-driven web. And of course, it’s true to say that many who walk the halls (or at least log into the Slack) of Microsoft, OpenAI, and GitHub are of the same inclination, contributing generously to open-source projects, mentoring, blogging, and offering a leg-up to other coders.

When I first learnt to code HTML, step one, before <p>hello World!</p> was view > developer > view source. Most human developers have been actively encouraged to look at other people’s code to understand the best way to achieve something — after all, that’s how web standards emerged.

Some individuals are perhaps owed credit for their work. One example is Robert Penner, whose work on easing functions inspired a generation of Actionscript/JavaScript coders. Penner published his functions online for free, under the MIT license; he also wrote a book which taught me, among other things, that a while loop beats a for loop, a lesson I use every day — I’d like to think the royalties bought him a small Caribbean island (or at least a vacation on one).

There is an important distinction between posting code online and publishing code examples in a book, namely that the latter is expected to be protected. Where Copilot is on questionable ground is that the AI is not a searchable database of functions, it’s code derived from specific problems. On the surface, it appears that anything Copilot produces must be derivative.

I don’t have a public GitHub repository, so OpenAI learned nothing from me. But let’s say I did. Let’s say I had posted a JavaScript-powered animation from which Copilot garnered some of its understanding. Does Microsoft owe me a fraction of its profits? Do I in turn owe Penner a fraction of mine? Does Penner owe Adobe (who bought Macromedia)? Does Adobe owe Brendan Eich (the creator of JavaScript)? Does Eich owe James Gosling (creator of Java), if not for the syntax, then for the name? And while we’re at it, which OS was Gosling using back in the mid-90s to compile his code — I doubt it was named after a fruit.

If this seems farcical, it’s because it is. But it’s a real problem created by the fact that technology is moving faster than the law. Intellectual property rights defined before the advent of the home computer cannot possibly define an AI-driven future.

 

Featured image uses images via Max Chen and Michael Dziedzic.

Source

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

There’s no shortcut to success when it comes to Google search results. That is unless you count pay-per-click advertising.

While pay-to-play will shoot your site to the top of the SERP immediately, it’s not a sustainable strategy for maintaining your position there. So, you’re going to have to get serious about SEO.

This guide will show you what to do to improve your SEO ranking and start seeing results this year:

  1. Use Google Analytics to track metrics
  2. Get an SSL certificate
  3. Improve mobile page speed
  4. Design a mobile-first UI
  5. Make your site accessible
  6. Optimize your images
  7. Create great content
  8. Structure your content for scannability and readability
  9. Create click-worthy title tags and meta descriptions
  10. Choose one focus keyword per page
  11. Improve your internal link strategy
  12. Use only trustworthy external links
  13. Get your site listed as a featured snippet
  14. Get high-quality backlinks
  15. Create a Google My Business page
  16. Refresh Your Content
  17. Regularly monitor Google Search Console

How to Increase Your Website’s SEO Ranking

If you can improve your SEO ranking — and get your pages closer to, if not on the highly coveted top SERP — you will:

  • Boost your site’s overall visibility as its authority in search grows;
  • Bring high-quality traffic to your pages;
  • Drive-up your conversion rate.

That said, search engine optimization is most effective when it’s an ongoing strategy as opposed to something you set up and forget about. So, some of the suggestions below will only need to be implemented once, while others you’ll have to return to every six months or so to make sure your site is on track.

Let’s get started.

1. Use Google Analytics to Track Metrics

If you haven’t yet begun tracking your website’s activity with Google Analytics, it’s the very first thing you need to do.

While Google Analytics alone can’t tell you how well or poorly your website ranks, there’s valuable data in there about what happens to the traffic that arrives from Google. Or any search engine your visitors use.

You can find this information under Acquisition > Source/Medium:

What you want to see here is that (1) you’re getting lots of visitors from organic search results (as opposed to paid) and (2) that they’re highly engaged. So, that means:

  • Longer times on site;
  • Multiple pages visited;
  • Lower bounce rates.

And if you configure Google Analytics to track different conversions on your site, you can see how well those organic visits convert.

Obviously, there’s a lot more you can track here. But you must understand if your SEO efforts are working in the first place, and that’s where you’ll get your confirmation.

2. Get an SSL Certificate

HTTPS has long been one of Google’s SEO ranking factors. Yet, of the two billion-plus websites that are online today, BuiltWith data shows that only 155 million have an SSL certificate installed:

Security and privacy are major concerns for consumers. So if you want to increase their confidence in your website, installing an SSL certificate is an easy thing to do. And it’ll put you in Google’s good graces, too.

If you don’t have one already, get one for free from Zero SSL.

3. Improve Mobile Page Speeds

Mobile loading speeds became a Google ranking signal in July 2018.

It was something we saw coming ever since smartphones overtook the desktop as the primary device people used to access the Internet. Once it became a ranking factor, though, mobile page speed was something we could no longer treat as a “nice to have.” It became a must.

And with Google’s most recent Core Web Vitals algorithm update, there’s no ignoring how big of a role your site’s mobile loading speeds (i.e., performance) play in ranking it.

To ensure that your site meets Google’s expectations for speed, bookmark the Core Web Vitals tool. It’ll tell you how your site performs across all four of the major ranking categories.

You’ll find your speed-related issues at the bottom of the page, along with resources to help you resolve them.

Most of those tips will have to do with optimizing your code. However, there are other things you can do to make your site load quickly:

  • Use well-coded themes and plugins;
  • Remove unused themes, plugins, media, pages, comments, backups, and so on from your database and server;
  • Install a caching plugin that’ll minify, compress, and otherwise make your site lightweight and fast.

It’s also not a bad idea to review your web hosting plan. You might not have the right amount of server power or resources to keep up with your existing activity.

4. Design a Mobile-First UI

On a related note, a mobile-first design can also improve your site’s loading speeds. Rebekah Carter wrote a really helpful guide on how to do this last year.

In addition to speeding things up — since you won’t be trying to jam a bunch of desktop-first design and content into a smartphone screen — it’s going to help your site rank better.

Just be careful when you do this. A mobile-first design doesn’t mean creating a scaled-back version of the larger site for smartphone users.

In fact, Google explicitly tells us not to do that and why:

“If it’s your intention that the mobile page should have less content than the desktop page, you can expect some traffic loss when your site is enabled mobile-first indexing, since Google can’t get as much information from your page as before.”

And if your response is that the content on desktop-only doesn’t matter, then it really shouldn’t be there. Don’t waste your visitors’ time with useless or repetitive content, as it’ll only give them more reason to abandon your site.

5. Make Your Site Accessible

Accessibility has come to the forefront of the SEO discussion thanks to Core Web Vitals.

Now, running your site through the tool will tell you if there are any inaccessibility issues that Google will ping you for. But that doesn’t make your site completely accessible.

Considering the rise in website accessibility-related lawsuits, you’ll want to take this seriously.

Because a bad experience due to inaccessibility won’t just cost you visitors and a lower search ranking, it’ll cost you a lot of money, too.

Here are some things you can do to ensure that your site and all its content is accessible.

6. Optimize Your Images

Technically, image optimization falls under the page speed tip. However, that’s not the only way you should be optimizing your images, which is why I wanted to address this separately.

According to HTTP Archive, the average weight of a mobile web page these days is 1917.5 KB. Images take up a sizable chunk of that weight:

Because of this, bloated image sizes are often to blame for slow pages.

You can do several things to optimize your images for speed, like using lightweight formats, resizing them, and compressing them. You’ll find 6 other image optimization tips here.

While those tips will help you speed up your site and, consequently, improve your SEO ranking, there’s something else you need to do:

Add alt text to your most important images.

One reason to do this is to improve accessibility. Another is so your web page can rank in both the regular Google search results and image results as this search for “WordPress by the numbers” does:

If you can write alt text that perfectly describes your graphic and matches the image searchers’ intent, you can create another ranking opportunity for your page.

7. Create Great Content

There are many technical ranking factors you have to pay attention to if you want to create a good experience for your visitors and rank well as a result. However, none of that will matter if your content sucks.

So, how do you make great content? It really depends.

Think about the difference between a page describing your web design services and a product page for a blender.

Your web design services page would need to:

  • Explain why hiring a web designer is a must;
  • What your design services entail;
  • What they can expect in terms of results;
  • Include some proof in the form of testimonials or portfolio samples;
  • Have information on next steps or how to get in touch.

That would be a comprehensive and useful page. If business owners searched for “hire a web designer near me” or “should I hire a web designer?”, that page would sufficiently answer their query.

A product page, however, would need to:

  • Provide a brief summary of the blender;
  • Show photos of the blender, different angles of it, as well as different variations of the product;
  • Display the price;
  • Allow customers to Add to Cart or Save for later;
  • Include technical specs of the blender;
  • Recommend related products;
  • Display sortable customer testimonials and ratings.

The last thing a shopper would want is to be directed to a product page that reads like one of your services pages.

So, great content not only needs to be well-written and error-free, but it needs to match the searcher’s intent and expectations. If you can do that, your visitors will stay as long as they need to read through everything, which will help strengthen the page’s ranking.

8. Structure Your Content for Scannability and Readability

Including necessary details and in the right format is an important part of making a page’s content valuable to the visitor. The structure is going to help, too.

For starters, you want to make sure every page is human-readable. So, that involves:

  • Shorter sentences and paragraphs;
  • Linkable table of contents for longer pages;
  • Header tags every few hundred words;
  • Descriptive and supportive imagery throughout;
  • Text callouts like blockquotes and bolded phrases.

By making a page less intimidating to read and easier to scan for a quick summary of what it is, you’ll find that more visitors are willing to read it and follow your calls to action.

You can use a tool like Hemingway to improve your page’s readability. Quickly pop the text of each page into the editor and follow the recommended suggestions:

You’re also going to have to think about how well Google’s indexing bots can read your page. They’re smart enough to pick up on cues but not smart enough to sit down and read your article on the benefits of Vitamin D or how to install a new showerhead.

So, you’ll need to use HTML meta tags as well as hierarchical header tags to tell the bots what the page is about.

If you’re building a WordPress site, you can use the Yoast SEO plugin to analyze how scannable and readable each page of your site is (among other things):

9. Create Click-Worthy Title Tags and Meta Descriptions

To get eyeballs on your really great content, the brief preview users see of it in search results needs to be able to lure them in. Get more clicks to your site from search, and Google will take notice.

But they can’t just be superficial clicks. If Google notices that your page is getting a ton of traffic that almost immediately drops off once they see the content on the page, your page will not fare well in search results.

So, your goal is to stay away from clickbait-y title tags and meta descriptions and make them click-worthy.

The first thing to focus on is the length. Google only gives you a certain amount of space to make your pitch.

There are many tools you can use for this, but I prefer Mangools’s SERP Simulator:

It allows you to play around with your URL, title tag, and meta description and to watch in real-time as it fits the allotted space. You can also compare it to the pages that currently rank for the keyword you’re going after, which can be a really useful reference point. After all, if those sites have made it to the first SERP, then they’re doing something right.

Another thing to think about when writing click-worthy titles is how engaging they are.

The tool I recommend for this is CoSchedule’s Headline Studio:

I don’t find this useful so much for basic web pages. You don’t need to get creative with something like your About or Contact pages. But for content marketing? If you want to beat out competing articles for attention in Google, this tool will be very useful.

10. Choose One Focus Keyword Per Page

It’s not as though you can add a keyword tag to your page, and Google will automatically rank your site for it. That’s not what keyword optimization is.

Instead, what you do is select one unique keyword per page and write the content around it. So, it’s really more about creating a clear focus for yourself and then comprehensively unpacking the subject matter on the page.

Keep in mind, though, that if you want to improve your chances of ranking for the keyword, it needs to be relevant to your brand, useful for your audience, and your site needs to actually be able to compete for it.

You can use the Google Keyword Planner to find keywords that fit those criteria:

Ultimately, you should choose a keyword that:

  • Has a decent amount of monthly searches — over 1,000 is what I aim for;
  • Have “Low” to “Medium” amount of competition, but the lower, the better;
  • Matches the user intent. So take that keyword, put it into Google and see what you find. Then, look at the sites on that first page of search results. Do they match what your own page will address? If so, then you’ve found a keyword that aligns with your users’ search intent.

Now, if you’re writing great content that addresses your visitors’ questions and concerns, then optimizing for your focus keywords will happen naturally. The same goes for related keywords you might want to target. As you write the content for each page, the keywords will organically appear.

But remember how I said Google’s indexing bots need certain HTML and header tags to “read” the content on the page? This means you’ll need to include the focus keyword in some of those areas, so there is no question about what the page is about.

Here’s where your focus keyword should show up:

  • Title tag (H1);
  • Meta description;
  • Slug (hyperlink);
  • Within the intro;
  • The first H2 header tag;
  • Alt text for the most important image on the page;
  • Within the conclusion.

It should also appear throughout the page, along with variations of the keyword that people might search for.

You can use the Yoast SEO plugin to analyze this as well.

11. Improve Your Internal Link Strategy

Okay, so here’s where we start to get into SEO strategies that Google might not directly care about, but that can still drastically improve how well your site ranks.

Internal links, in particular, are valuable because they create an interconnected structure for your site. Here’s a basic example of why that’s important:

Let’s say these are the pages on your website. Each of them can be accessed from the home page and main navigation. This structure tells us that each page is related to the overall message and mission of the company, but they are not related to one another. And that doesn’t make sense, right?

When you’re educating visitors on your Web Design services, it’s naturally going to come up that you also happen to specialize in WordPress and eCommerce design. So, those internal links should appear on your Web Design page. And vice versa.

In addition, your Portfolio and Contact Us pages are likely going to be the most common CTAs on the site. Your prospective clients shouldn’t be forced to backtrack to the homepage or scroll up to the navigation to take action. By including these internal links or buttons within the content of the services pages, you’re giving them a quick and direct line to the next steps.

The more intuitive you make the user journey, the easier it will be for them to convert.

This is one reason why websites with a strong internal linking structure perform well in search results. Another reason is that internal links help Google’s bots find all of the content on your site and better understand how they relate to one another.

12. Use Only Trustworthy External Links

Link juice is one of the reasons why business owners are obsessed with getting backlinks. We’ll get to that shortly.

But it’s also something that comes into play when choosing external links to include on your site.

Link juice is the idea that one site can pass its authority to another through a dofollow link. So, by linking out to authoritative and trustworthy sources, your site may raise its own clout with the search engines because of that connection.

However, it works both ways. If you create external links to websites with misinformation that pose a security threat to visitors or are otherwise untrustworthy, that bad reputation can do your website harm.

So, make sure that every external link you use is necessary and reliable. If not, get rid of it.

13. Get Your Site Listed As a Featured Snippet

I said earlier in this post that pay-per-click advertising is the only way to shortcut the SEO process and get on the first page of Google. That’s not entirely true.

We’ve already seen how optimizing your images for Google Images search can shoot your site to the top of results. Another way to get ahead is by optimizing your page using structured data to land a spot as a featured snippet.

Like this page from Bankrate that answers the question “how do you get a loan”:

Remember that structured data alone won’t instantly move your web page into the featured snippet space. The content needs to be the best it can be, and the structured data needs to be well written.

Schema.org was created to help you pick the right category and write the structured data for it:

Use this to write up the relevant microdata for the pages to make the most sense to do so. For instance, an About page probably wouldn’t benefit from having structured data attached to it. However, a lengthy blog post that explains a step-by-step process would.

There are WordPress plugins (Yoast is one of them) that will help you insert this code into your pages if you prefer.

14. Get High-Quality Backlinks

Backlinks pointing to your website are a huge indicator to Google that your site is share-worthy and authoritative.

However, like everything else in SEO, you can’t cheat your way into a bunch of backlinks. They need to come from authoritative sources, and they need to be relevant. That’s why paying or bartering for backlinks isn’t usually effective. If your web page’s backlink doesn’t organically fit within the content on their site, visitors aren’t going to click on it.

There are lots of ways to go about building up a repository of backlinks that do generate authority for you and improve your SEO ranking in the process:

Get active on social media and become an authority there: The rule is generally that 80% of your posts need to be non-promotional. By sharing content from all kinds of sources that are relevant to your audience, you’re going to get more meaningful engagement. And this’ll eventually put the spotlight on your own content and get people to share it on social media, too.

This is something that Google will look at when ranking your site: What sort of social signals are coming from your brand?

Get featured as an expert: You don’t need to become an influencer for people to view you as an expert in your field. It’s all about your reputation.

By leveraging your reputation to get speaking gigs, you’ll grow your authority even more. Just make sure they’re relevant to what you do. So, look for podcasts, webinars, and conferences in your field that are looking for experts.

Become a guest blogger: If public speaking isn’t your forte, that’s okay. Turn your attention instead to lining up guest blogging gigs.

By writing high-quality content for authoritative websites (whether you get paid or not), you’ll bring more attention to your own brand. And Google will pass that authority onto your site.

15. Create a Google My Business Page

Any business can create a Google My Business page. There are a number of SEO-related benefits to doing this.

The first is that local businesses can literally put themselves on the map with Google My Business. Here’s what a Google search for “restaurants near me” looks like:

Even if your site doesn’t appear on the first SERP, the map that sits at the top of search results can give you a front seat anyway.

Another reason to create a My Business page is that you get to control your knowledge graph sidebar, like Ford’s Garage does here:

By including high-quality graphics, pertinent details about the business, and collecting positive customer reviews, this knowledge graph could do your brand’s reputation a lot of good in the eyes of Google and your prospects.

16. Refresh Your Content

This is useful for all of the content on your site, even your most high-performing pages.

If your site is starting to gain traction, take a close look at your Google Analytics data. You may find a few pages that no one seems to be paying attention to or, worse, that they always seem to bounce from.

In Google Analytics, go to Behavior > Site Content to figure out which pages are underperforming.

Then, ask yourself:

  1. Is this page even a necessary part of the user journey? If not, you can probably scrap it and have one less distraction on your site.
  2. If this page is necessary, what do you need to do to make it more valuable and relevant to your audience?

With the most popular pages on your site, it’s not unreasonable to expect that at least part of what you originally wrote will go stale or become irrelevant within a year or two. So, it’s a good idea to refresh these as well.

To do that, it’s simple. Do a search in Google for your focus keyword. Read through the top five results and see what sort of information your post is missing. Then update it accordingly.

Anything outdated or irrelevant should also be stripped out.

17. Regularly Monitor Google Search Console

Last but not least, you should keep your eyes on Google Search Console.

There’s a lot of valuable information in here that will tell you why your site might not be ranking as well as it could. You’ll find issues related to:

  • Indexing
  • Mobile usability
  • Security
  • Core Web Vitals

You’ll also find data on how well your site is ranking in general. You’ll find this under the Performance tab:

Use this to identify:

  • Which keywords you’re ranking for and are driving traffic to your site;
  • Which keywords you’re getting the most impressions from but not getting clicks from;
  • Which keywords you’re getting the most clicks from but not a lot of impressions;
  • Which keywords you rank low for and could stand to improve upon.

You can learn a lot about how strong your SEO strategy is. Just use the Clicks, Impressions, and Position tabs to sort your data so you can better understand what’s going on.

Then, prioritize fixing the pages that can and should be bringing your site highly qualified traffic but aren’t.

Wrap-Up

If you’re wondering how long it’ll take before you see an improvement in your SEO ranking, it depends. If your domain’s current authority is low, it can realistically take about six months to see major changes. That said, if you implement all of the suggestions above, you can certainly expedite that.

Just remember that there are no real shortcuts in SEO. You need to have an authoritative and trustworthy website and brand before anything else. So, take the time to build your credibility online so that these SEO tactics can really work.

Source

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Source de l’article sur Webdesignerdepot


Cette nouvelle série vidéo en trois parties explore l’impact des « passionnés » – un groupe croissant de consommateurs qui soutiennent activement les entreprises reflétant leurs valeurs personnelles sur les questions environnementales et sociales.

En 2020, le centre de recherche SAP Insights a lancé une étude conseillant les chefs d’entreprise sur les compétences et attributs dont ils auront besoin dans l’économie de l’expérience guidée par les émotions. Avec plus de 10 000 réponses de consommateurs du Canada et des États-Unis, le rapport a révélé que ce qui différencie les entreprises aujourd’hui, c’est la capacité d’un leader à s’exprimer et à mobiliser l’action sur les enjeux mondiaux. « Cet état d’esprit est alimenté par les passionnés, un groupe croissant de consommateurs qui croient qu’il faut agir pour améliorer le monde et qui attendent des chefs d’entreprise qu’ils fassent de même « , a déclaré Siddharth Taparia, vice-président principal et responsable de la stratégie, de la marque et du marketing de l’expérience chez SAP.

 

« Nous voulions attirer l’attention sur les problèmes environnementaux et sociétaux et montrer ce que les grandes entreprises, les clients et les partenaires de SAP font pour relever ces défis et susciter le changement et la prise de conscience dans leurs propres secteurs « , a ajouté M. Taparia.

 

Blank Canvas – bande annonce

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Blank Canvas - bande annonce

 

La série est animée par Baratunde Thurston, auteur à succès du New York Times et conteur nommé aux Emmy Awards. Chaque épisode se concentre sur un vaste sujet et explore les angles avec du contenu basé sur des données, des témoignages de clients et des points de vue d’experts.

 

Le premier épisode explore comment les acteurs de l’industrie de la fast fashion opèrent des changements environnementaux positifs suite à la pression de consommateurs passionnés qui demandent du changement. Le deuxième épisode montre comment des fans passionnés ont fait pression sur les ligues sportives professionnelles et les athlètes pour qu’ils mettent en place des initiatives et des messages de justice sociale sur et en dehors du terrain de jeu. Le troisième épisode examine comment les entreprises du secteur de l’alimentation et des boissons font face aux défis environnementaux majeurs que sont l’approvisionnement en eau, le gaspillage alimentaire et l’utilisation de plastique, et comment des consommateurs passionnés sont à l’origine des changements.

 

La série comprend des conversations avec le mannequin, entrepreneur et philanthrope Karlie Kloss et le golfeur professionnel Cameron Champ. Les épisodes présentent également des segments sur la façon dont des organisations telles que la NBA et le Fonds mondial pour la nature (WWF) s’efforcent de susciter des changements à l’échelle mondiale.

 

Découvrez les 3 épisodes de Blank Canvas sous-titrés en français

 

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