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SAP annonce ce jour que l’équipementier automobile Faurecia a choisi SAP et SuccessFactors pour l’accompagner dans la digitalisation de ses processus RH afin de valoriser le potentiel de ses employés tout en leur permettant d’évoluer dans leur carrière de manière proactive.

Avec ses 266 sites industriels, 39 centres de R&D et ses 114 000 employés présents dans 35 pays, Faurecia est l’un des dix premiers équipementiers automobiles mondiaux proposant des solutions pour la Mobilité Durable et le Cockpit du Futur.

Simplifier les processus RH et développer les talents

Le SIRH de Faurecia s’est construit sur la base du développement de l’entreprise et des acquisitions externes, comptant jusqu’à 65 systèmes de paie différents.

Pour offrir un nouvelle expérience collaborateur, Faurecia a décidé de centraliser toutes ses données RH et la gestion de la paie en un unique endroit et une seule interface. L’objectif : promouvoir le développement individuel et profiter d’un panorama complet des processus RH qu’il s’agisse de la formation, la définition des objectifs et l’évaluation des performances des collaborateurs, la gestion des salaires et du personnel.

En choisissant SAP SuccessFactors, Faurecia a fait le choix d’un système collaboratif et accessible qui accompagne le développement du potentiel des collaborateurs par la formation, le management direct et les ressources humaines.

Des collaborateurs acteurs de leur carrière

Grâce à l’implémentation de la solution SAP SuccessFactors, Faurecia dispose d’un accès aux évaluations de performance et aux modèles de compétences de ses employés dans le monde entier, afin de leur proposer des formations adaptées à leurs objectifs et parcours professionnel. Cela offre aux managers la possibilité de mieux accompagner les salariés dans leur développement et leurs évolutions de carrière.

La mise en place de SAP SuccessFactors a permis à l’entreprise de profiter d’une source de donnée unique et d’une solution de paie intégrée facilitant de suivi des processus RH et la gestion de l’architecture du SIRH. Les informations RH sont dorénavant centralisées en un même endroit et accessibles en temps réel. Avec SAP SuccessFactors Mobile App, les managers peuvent organiser des entretiens à tout moment, depuis leur téléphone, avec tous les renseignements nécessaires sur le candidat. Grâce à l’intégration de SAP On-Prem Payroll et de Employees Central, le Groupe bénéficie de données de meilleure qualité et de l’enregistrement automatisé des informations RH.

Très bien accueillie par l’ensemble des collaborateurs grâce à une communication régulière, la solution est aujourd’hui pleinement adoptée par l’ensemble des acteurs de l’entreprise.

« SAP SuccessFactors a complètement changé la manière de promouvoir la formation en interne. Aujourd’hui, les employés peuvent d’eux-mêmes avoir accès au catalogue de formations et être pleinement acteur de leur développement professionnel. Nous profitons également de données plus qualitatives grâce à un système unique pour la paie et pour tous les processus RH facilitant ainsi notre visibilité sur le parcours des collaborateurs », explique Laurent Villemagne, Vice President, Group HR Information Systems & Controlling.

À propos de Faurecia

Fondé en 1997, Faurecia est devenu un acteur majeur de l’industrie automobile mondiale. Avec 266 sites industriels, 39 centres de R&D et 114 000 collaborateurs répartis dans 35 pays, Faurecia est un leader mondial dans ses quatre domaines d’activités : Seating, Interiors, Clarion Electronics et Clean Mobility. Son offre technologique forte fournit aux constructeurs automobiles des solutions pour le Cockpit du futur et la Mobilité durable. En 2020, le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 14,7 milliards d’euros.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse :

Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11– presse-sap@publicisconsultants.com
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Source de l’article sur sap.com

Our Self-presentation skills far supersede our verbal communication
We speak more through our bodies than our words. The posture we assume, the expression on our face, hand gestures, and our eye movement conveys far more than we would like to expose.
A subtle smile in a meeting can indicate a willingness to engage in a dialogue, while a stern look can instantly kill the conversation. Constantly checking the phone or looking at the watch can signal disengagement, while focusing on the other person signals interest.
Rolling our eyes expresses distrust or disgust in another person’s idea or behavior, while our eyes light up when we are genuinely curious about others. Keeping head down while walking in the hallway shows a lack of presence while acknowledging people passing by through a simple nod creates warmth. A firm handshake to begin an interview can exude confidence and power, while a limp handshake can reveal nervousness and weakness.
These non-verbal cues form a part of our body language that speaks even when we are silent, revealing how we are thinking and feeling in the moment.
Olivia Fox Cabane who has lectured at Stanford, Yale, Harvard, MIT, and the United Nations says:

In the scope of human evolution, language is a relatively recent invention. But we’ve been interacting well before this through nonverbal modes of communication. As a result, nonverbal communication is hardwired into our brains, much deeper than the more recent language-processing abilities. This is why nonverbal communication has a far greater impact.

She then points out ‘Without our realizing it, our bodies send out thousands of signals every minute. Just like our breath and heartbeat, these signals are part of the millions of bodily functions controlled not by our conscious mind but by our subconscious mind.’
Understanding the power of our body language and the role it plays in workplace communication and collaboration can bring us together by adopting positive communication styles as opposed to setting us apart through bridges of misunderstanding.

Importance of Body Language in Communication

Our body language plays a key role in impression management, the art of influencing how we are perceived by others.
A positive body language can show our enthusiasm to contribute, confidence in our abilities, being comfortable in taking on challenges, passion to drive results, and present to recognize future demands. It can open a world of new possibilities.
A negative body language can send strong signals of our resistance to contribute, doubt of our abilities, uneasiness to take on challenges, indifferent and uncaring attitude towards outcomes, and disconnected from reality to be able to handle future potential. It can close doors to success and growth.
Maya Angelou said, ‘People may not remember what you said, but they will remember how you made them feel.’
Since our emotions drive a large part of our decision-making, guess who will get the attention when a new project or a position opens up — a person who exhibited confidence in their body language or someone who looked like a nervous wreck?
Intelligence and brilliance are not enough to be successful at work. Our self-presentation skills far supersede our verbal communication.

The way you carry yourself is a source of personal power — the kind of power that is the key to presence. It’s the key that allows you to unlock yourself—your abilities, your creativity, your courage, and even your generosity. It doesn’t give you skills or talents you don’t have; it helps you to share the ones you do have. It doesn’t make you smarter or better informed; it makes you more resilient and open. It doesn’t change who you are; it allows you to be who you are. — Amy Cuddy

What happens when what we say is not in alignment with what we believe? We can lie through our words, but our bodies will reveal the truth. The non-verbal cues that we send through our body speak stronger than words.
Consider this. Someone approaches you with advice on a new strategy. Instead of expressing your true opinion, you simply nod in agreement. But, the tension around your eyes, the tone of your voice, and many other non-verbal cues can make the other person uncomfortable and leave them feeling unsure of your advice with the decision to never trust you again.
The idea is not to be inauthentic through your body language but to be aware of its implications. 
Research shows that we form impressions about others within a few minutes of meeting them and then our confirmation bias guides us in picking data that confirms our point of view. Anything that strengthens our belief system is readily accepted and that which contradicts it is rejected.
Being aware of the role our body language plays in forming this impression can help us twist the outcome of an interview in our favor.
For someone in a leadership position, body language is extremely important since people in an organization mimic not only the way leaders talk but also pick on their non-verbal cues.
A leader with positive body language appears approachable, open to feedback and shows a willingness to change while a leader with negative body language appears inaccessible, closed to feedback, and arrogant to adapt and change with the future demands.
Amy Cuddy asks, ‘Our non-verbals govern how others think and feel about us, but do our non-verbals govern how we think and feel about ourselves?’
Absolutely. Mastering the art of non-verbal communication not only leads to better communication with others, but it benefits us too. Presenting our best self forward by adopting positive body language enables us to be the creator of our future as opposed to being a victim of other’s perceptions. It leads to more opportunities for growth with higher chances of success.

4 Body Language Mistakes and How to Fix Them

1. Mind Is Not Attuned to The Body

When our mind is not in congruence with our body, we may try to portray a state which is in conflict with our inner self by controlling our posture and expression on our face, but sooner or later this incongruence will show up in our body language.
A positive body language cannot keep up with the negative mental state — what goes up in our mind will show up in our body. Without our realization, these ‘microexpressions’ will be noticeable to the people around us.

Our body language expresses our mental state whether we like it or not. Our facial expressions, voice posture, and all the other components of body language reflect our mental and emotional condition every second. Because we don’t control this flow consciously, whatever is in our head will show up in our body language — Olivia Fox Cabane

How to Align Our Mind and Body:

Research shows that our mind cannot distinguish imagination from reality. So, whatever our mind believes, our body will project.
We can bring out the desired body language by catching ourselves in those moments of negative mental states — disagreement, insecurity, angst, frustration, anxiety, criticism, and self-doubt, and choosing to get into a positive one.

  1. When you need to project confidence, seek inspiration.
  2. When you feel angst due to a disagreement, ask yourself ‘What can I learn from the other person?’ and ‘How are my biases causing me to be closed-minded?’
  3. When all you can see is negativity, choose to ask ‘What’s the one positive thing I can think about this situation.’
  4. When self-doubt consumes you, tell yourself ‘I need to let go of my fears to create a better version of myself.’
  5. When you exaggerate a negative outcome, ask yourself ‘What’s the worst that can happen?’ and ‘Is it really that bad or am I making up stories?’
Adopting a positive frame of reference and moving from a problem to a solution mindset can help us shift gears from a negative internal state to a positive one.

2. We Do Not Make a Commitment to Be Present

‘Being present—paying attention to what’s going on rather than being caught up in your thoughts — can yield immense rewards. When you exhibit presence, those around you feel listened to, respected, and valued,’ explains Olivia Fox Cabane.
When we are not engaged in a conversation, consumed in our own thoughts, and pretend to listen, it clearly shows up in the non-verbal signals we send to the other person.
We may start fidgeting with our phone or laptop showing signs of distraction, look here and there instead of making eye contact signaling we are not interested in what they have to say and may even shift too many times in our position out of discomfort.
Without our awareness, our body language will convey disrespect and distrust to the other person.
How to Be Present:

You must commit to a conversation, even the brief ones, or walk away. If you’re too distracted, admit that to both yourself and the other person. Be present or be gone. — Celeste Headlee 

It’s more polite to walk away from a conversation that doesn’t interest you than pretend to be present.
Once you decide to participate, you first need to convince and tell yourself that you want to be present. Say ‘I choose to be present,’ and then adopt body language that aligns with it — look at the other person with enthusiasm, lean just a little to build interest, and try to grasp what the other person intends to say.
You may occasionally drift away, but by choosing to be mentally present, you can bring your mind back to the conversation. Active listening though difficult is the most effective form of non-verbal communication that requires continuous practice and training of the mind.

3. We Ignore Context

When we talk to someone, their perception of us is based on the context of the meeting, their expectations, and their own personal and cultural filters.
Without recognizing that people operate within a certain context, we may send non-verbal signals that conflict with their values, contradicts their mental state, or even violates their sense of self.
How to Apply Context:
When engaged in a difficult conversation, without empathizing with how the other person might be feeling in the moment, we may appear cold, unemotional, and downright rude. By adopting kindness and warmth in our body language, we can convey the right message without necessarily making them feel bad.
When someone is passed up for a promotion, showing an attitude of indifference without understanding the value it holds in their life can make them resent you. Body language that shows presence and concern by giving them an opportunity to express their feelings can build better relationships.
When a co-worker is grieving a personal loss, you may appear too intrusive in your body language when all they need is space to let the feelings subside. It could be a personal preference or a cultural nuance, but without understanding their context you may actually do more harm than good.
When dealing with difficult people, your body language may switch to a fight-or-flight response. But, if you take a moment to analyze the situation without being at the effect of a fundamental attribution error, you may understand the rationale behind their behavior.
Every situation is unique. We need to project the right body language for each person by taking their context and personal filters into account.

4. We Tell a Conflicting Story

We may believe that we are highly approachable, but others may find us unapproachable. We may also think that we are open-minded, while others may find us biased. We may assume that we provide a psychologically safe environment to our people, but our employees may be terrified to make mistakes.
Now, it’s easy to say that ‘it’s just them, not me. I have already communicated to them multiple times.’ But really, is that the true story? Your intention may be far from the reality of your situation.    

Just after we observe what others do and just before we feel some emotion about it, we tell ourselves a story. We add meaning to the action we observed. We make a guess at the motive driving the behavior. Why were they doing that? We also add judgment — is that good or bad? And then, based on these thoughts or stories, our body responds with an emotion. — Kerry Patterson

When our body language doesn’t match our words, people pick up on our non-verbal signals — the sign of contempt on our face when someone makes a mistake, pacing back and forth when conveying bad news, showing nervousness by fidgeting when asking for feedback, rolling eyes when we disagree, making hand gestures that signal blame and so on.
So, while you may communicate one thing with your words, your body may speak the opposite. And when people get confusing signals, they tend to go with what they observed and not what they heard.
How to Tell the Right Story:
Bring your body language in sync with the message you wish to convey. People find it easy to trust a person when their body language reflects their words.
When asking for feedback, look the person in the eye and don’t be distracted. When someone makes a mistake, show curiosity in your face to enable them to learn from their mistakes. When telling people to feel comfortable to approach you, make open arm-hand gestures. When communicating bad news, be intense but show confidence in your ability to make things right by looking at people with passion and hope.
People spend a lot of time perfecting their speech without verifying what their speech is conveying through their body. When it comes to making the right impression, don’t just speak through your words, make your body language count too.

Summary

Master the art of non-verbal communication in the workplace by:

  1. Tuning to a positive state of mind: Be self-aware of your negative mental states and choose to get into a positive one.
  2. Committing to being present: Practice active listening and engage fully in the conversation instead of being simply present.
  3. Taking context into account: Connect with the other person by taking their values, mental state, and sense of self into account.
  4. Telling the right story: Bring your body in sync with the message you wish to convey.
Previously published here.

Source de l’article sur DZONE

Les données jouent un rôle clé dans le fonctionnement des entreprises. Il est donc essentiel de leur donner du sens et de déterminer leur pertinence parmi la multitude d’informations générées par les systèmes et technologies qui soutiennent nos économies mondiales hautement connectées. Les données sont omniprésentes, mais inutiles en tant que telles. Pour exploiter toutes les formes de données et les utiliser de manière pratique et efficace dans les chaînes logistiques, les réseaux d’employés, les écosystèmes de clients et de partenaires, etc., les entreprises doivent mettre en œuvre une stratégie, une gouvernance et un modèle de data management performants.

Qu’est-ce que le data management (ou gestion des données) ? Le data management consiste à collecter, organiser et accéder aux données en vue d’améliorer la productivité, l’efficacité et la prise de décision. Compte tenu de l’importance accrue des données, il est essentiel que toute entreprise, indépendamment de sa taille et de son secteur d’activité, mette en place un système moderne et une stratégie efficace de data management.

Petite infographie qui illustre les principaux éléments du data management

Le processus de data management comprend un large éventail de tâches et de procédures. Par exemple :

  • Collecte, traitement, validation et stockage des données
  • Intégration de différents types de données émanant de sources disparates, notamment des données structurées et non structurées
  • Haute disponibilité des données et restauration après sinistre
  • Gestion de l’utilisation des données et de l’accès aux données par les collaborateurs et les applications
  • Protection et sécurisation des données en garantissant leur confidentialité

Pourquoi le data management est-il important ?

Les applications, solutions analytiques et algorithmes utilisés dans une entreprise (c’est-à-dire les règles et les processus associés au moyen desquels les ordinateurs résolvent les problèmes et exécutent les tâches) reposent sur un accès transparent aux données. Fondamentalement, un système de data management permet de garantir la sécurité, la disponibilité et l’exactitude des données. Mais ses avantages ne s’arrêtent pas là.

Transformer le Big Data en actif à forte valeur ajoutée

Les données trop volumineuses peuvent être inutiles, voire nuisibles, si elles ne sont pas gérées de manière appropriée. Toutefois, avec les outils adéquats, les entreprises peuvent exploiter le Big Data pour enrichir plus que jamais les renseignements dont elles disposent et améliorer leurs capacités prévisionnelles. Le Big Data peut les aider à mieux comprendre les attentes de leurs clients et à leur offrir une expérience exceptionnelle. L’analyse et l’interprétation du Big Data permet également de mettre en place de nouveaux modèles de gestion axés sur les données, tels que les offres de services basées sur l’Internet des Objets (IoT) en temps réel et les données de capteurs.

163 zettaoctets de données en 2025 (IDC)

80 % des données mondiales seront non structurées en 2025 (IDC)

Les Big Data sont des ensembles de données extrêmement volumineux, souvent caractérisés par les cinq V : le volume de données collectées, la variété des types de données, la vitesse à laquelle les données sont générées, la véracité des données et leur valeur.

Il est bien connu que les entreprises pilotées par les données disposent d’un avantage concurrentiel majeur. En utilisant des outils avancés, les entreprises peuvent gérer des volumes de données plus importants provenant de sources plus diversifiées que jamais. Elles peuvent aussi exploiter des données très variées, structurées et non structurées ou en temps réel, notamment les données des dispositifs IoT, les fichiers audio et vidéo, les données du parcours de navigation sur Internet et les commentaires sur les réseaux sociaux, ce qui leur offre davantage de possibilités de monétiser les données et de les utiliser comme véritable actif.

Créer une infrastructure de données qui favorise la transformation numérique

On dit souvent que les données sont le moteur de la transformation numérique. L’intelligence artificielle (IA), le machine learning, l’Industrie 4.0, les analyses avancées, l’Internet des Objets et l’automatisation intelligente requièrent d’énormes volumes de données ponctuelles, exactes et sécurisées.

L’importance des données et des technologies axées sur les données n’a fait que se renforcer depuis l’apparition de la COVID-19. De nombreuses entreprises ressentent le besoin urgent d’exploiter leurs données de manière plus efficace pour prévoir les événements à venir, réagir rapidement et intégrer la résilience dans leurs plans et modèles de gestion.

Le machine learning, par exemple, requiert des ensembles de données extrêmement volumineux et diversifiés pour « apprendre », identifier des modèles complexes, résoudre les problèmes et assurer la mise à jour et l’exécution efficace des modèles et algorithmes. Les analyses avancées (qui exploitent souvent l’apprentissage automatique) requièrent également de gros volumes de données de haute qualité pour pouvoir générer des informations pertinentes et exploitables qui puissent être utilisées en toute confiance. Quant à l’IoT et l’IoT industriel, ils s’exécutent sur un flux constant de données de machines et capteurs à 1,6 millions de kilomètres par minute.

Les données sont le dénominateur commun de tout projet de transformation numérique. Pour transformer leurs processus, tirer parti des nouvelles technologies et devenir intelligentes, les entreprises doivent disposer d’une infrastructure de données solide. En résumé, d’un système de data management moderne.

« La survie de toute entreprise dépendra d’une architecture agile centrée sur les données, capable de s’adapter au rythme constant du changement. »

Donald Feinberg, vice-président de Gartner

Garantir la conformité aux lois en matière de confidentialité des données

Une gestion appropriée des données est également essentielle pour garantir la conformité aux lois nationales et internationales en matière de confidentialité des données, telles que le Règlement général sur la protection des données (RGPD) et la loi californienne sur la protection de la vie privée des consommateurs (California Consumer Privacy Act ou « CCPA ») aux États-Unis, et répondre aux exigences de confidentialité et de sécurité spécifiques du secteur. En outre, il est essentiel de mettre en place des politiques et procédures solides en matière de data management pour satisfaire aux exigences d’audit.


Systèmes et composants du data management

Les systèmes de data management reposent sur des plates-formes et intègrent une combinaison de composants et processus qui vous aident à tirer profit de vos données. Il peut s’agir de systèmes de gestion de base de données, d’entrepôts de données, de lacs de données, d’outils d’intégration de données, d’outils analytiques, etc.

Systèmes de gestion de base de données (SGBD)

Il existe différents types de systèmes de gestion de base de données. Les systèmes les plus courants sont les systèmes de gestion de base de données relationnelle (SGBDR), les systèmes de gestion de base de données orientée objet (SGBDOO), les bases de données in-memory et les bases de données en colonnes.

Petite infographie des différents types de systèmes de gestion de base de données

  • Système de Gestion de Base de Données Relationnelle (SGBDR) :il s’agit d’un système qui contient des définitions de données permettant aux programmes et aux systèmes d’extraction de référencer les éléments de données par nom, plutôt que de décrire à chaque fois la structure et l’emplacement des données. En fonction du modèle relationnel, le système SGBDR gère également les relations entre les éléments de données qui améliorent l’accès et empêchent les doublons. Par exemple, la définition et les caractéristiques de base d’un élément sont stockées une seule fois et liées aux lignes de détail des commandes clients et aux tables de détermination du prix.
  • Système de Gestion de Base de Données Orientée Objet (SGBDOO) :il s’agit d’une approche différente de la définition et du stockage de données, développée et utilisée par les développeurs de systèmes de programmation orientée objet (SPOO). Les données sont stockées en tant qu’objets, entités autonomes et auto-décrites, plutôt que dans des tables à l’image du système SGBDR.
  • Base de données in-memory :une base de données in-memory (BDIM) stocke les données dans la mémoire principale (RAM) d’un ordinateur, plutôt que sur un lecteur de disque. L’extraction des données étant beaucoup plus rapide qu’à partir d’un système basé sur disque, les bases de données in-memory sont couramment utilisées par les applications qui exigent des temps de réponse rapides. Par exemple, les données qu’il fallait auparavant compiler dans un rapport sont désormais accessibles et peuvent être analysées en quelques minutes, voire quelques secondes.
  • Base de données en colonnes : une base de données en colonnes stocke des groupes de données liées (une « colonne » d’informations) pour y accéder plus rapidement. Cette base de données est utilisée dans les applications de gestion in-memory modernes et dans de nombreuses applications d’entrepôt de données autonomes dans lesquelles la vitesse d’extraction (d’un éventail de données limité) est importante.

Entrepôts et lacs de données

  • Entrepôt de données :un entrepôt de données est un référentiel central de données cumulées à partir de différentes sources à des fins de reporting et d’analyse.
  • Lac de données :un lac de données est un vaste pool de données stockées dans leur format brut ou naturel. Les lacs de données sont généralement utilisés pour stocker le Big Data, y compris les données structurées, non structurées et semi-structurées.

Gestion des données de base (MDM)

La gestion des données de base est une discipline qui consiste à créer une référence de base fiable (référence unique) de toutes les données de gestion importantes, telles que les données produit, les données client, les données d’actifs, les données financières, etc. Elle garantit que l’entreprise n’utilise pas plusieurs versions potentiellement incohérentes des données dans ses différentes activités, y compris dans les processus, les opérations, l’analyse et le reporting. La consolidation des données, la gouvernance des données et la gestion de la qualité des données constituent les trois piliers clés d’une gestion des données de base efficace.

« Une discipline basée sur la technologie dans laquelle l’entreprise et l’organisation informatique collaborent pour garantir l’uniformité, la précision, l’administration, la cohérence sémantique et la responsabilité des ressources de données de base partagées officielles de l’entreprise. »

Définition de la gestion des données de base par Gartner

Gestion du Big Data

De nouveaux types de bases de données et d’outils ont été développés pour gérer le Big Data : d’énormes volumes de données structurées, non structurées et semi-structurées inondent les entreprises aujourd’hui. Outre les infrastructures basées sur le Cloud et les techniques de traitement hautement efficaces mises en place pour gérer le volume et la vitesse, de nouvelles approches ont vu le jour pour interpréter et gérer la variété de données. Pour que les outils de data management puissent comprendre et utiliser différents types de données non structurées, par exemple, de nouveaux processus de prétraitement permettent d’identifier et de classer les éléments de données en vue de faciliter leur stockage et leur extraction.

Intégration des données

L’intégration des données consiste à intégrer, transformer, combiner et mettre à disposition les données à l’endroit et au moment où les utilisateurs en ont besoin. Cette intégration s’effectue dans l’entreprise et au-delà, chez les partenaires et dans les cas d’utilisation et les sources de données tierces, pour répondre aux besoins de consommation de données de toutes les applications et de tous les processus de gestion. Les techniques utilisées incluent le déplacement des données en masse/par lots, l’extraction, la transformation, le chargement (ETL), la capture des données de modification, la réplication des données, la virtualisation des données, l’intégration des données de streaming, l’orchestration des données, etc.

Gouvernance, sécurité et conformité des données

La gouvernance des données est un ensemble de règles et de responsabilités visant à garantir la disponibilité, la qualité, la conformité et la sécurité des données dans toute l’organisation. Elle définit l’infrastructure et désigne les collaborateurs (ou postes) au sein d’une organisation dotés du pouvoir et de la responsabilité nécessaires pour assurer le traitement et la sauvegarde de types de données spécifiques. La gouvernance des données est un aspect clé de la conformité. Alors que les mécanismes de stockage, de traitement et de sécurité sont gérés par les systèmes, la gouvernance des collaborateurs permet de s’assurer que les données sont exactes, correctement gérées et protégées avant d’être entrées dans les systèmes, lorsqu’elles sont utilisées, puis lorsqu’elles sont extraites des systèmes à d’autres fins d’utilisation et de stockage. La gouvernance détermine comment les responsables utilisent les processus et les technologies pour gérer et protéger les données.

La sécurité des données est bien évidemment une préoccupation majeure dans notre monde actuel constamment menacé par les pirates informatiques, les virus, les cyberattaques et les violations de données. Bien que la sécurité soit intégrée dans les systèmes et les applications, la gouvernance des données garantit que ces systèmes sont correctement configurés et administrés pour protéger les données, et que les procédures et les responsabilités sont appliquées pour assurer leur protection en dehors des systèmes et de la base de données.

Business Intelligence et analyses

La plupart des systèmes de data management, sinon tous, incluent des outils de reporting et d’extraction des données de base, et beaucoup d’entre eux intègrent ou sont fournis avec de puissantes applications d’extraction, d’analyses et de reporting. Les applications d’analyses et de reporting sont également disponibles auprès de développeurs tiers et sont presque toujours incluses dans le groupe d’applications en tant que fonctionnalité standard ou en tant que module complémentaire facultatif pour des fonctionnalités plus avancées.

La puissance des systèmes de data management actuels réside, dans une large mesure, dans les outils d’extraction ad hoc qui permettent aux utilisateurs disposant d’un minimum de formation de créer leurs propres extractions de données à l’écran et d’imprimer des rapports en bénéficiant d’une grande flexibilité dans la mise en forme, les calculs, les tris et les résumés. En outre, les professionnels peuvent utiliser ces outils ou des jeux d’outils d’analyses plus avancés pour aller encore plus loin en termes de calculs, comparaisons, mathématiques abstraites et mises en forme. Les nouvelles applications analytiques permettent de relier les bases de données traditionnelles, les entrepôts de données et les lacs de données pour intégrer le Big Data aux données des applications de gestion en vue d’améliorer les prévisions, les analyses et la planification.


Qu’est-ce qu’une stratégie de gestion des données d’entreprise et quelle est son utilité ?

De nombreuses entreprises se sont montrées passives dans leur approche de stratégie de data management en acceptant ce que leur fournisseur d’applications de gestion avait intégré dans leurs systèmes. Mais cela ne suffit plus. Avec l’explosion actuelle des données et leur importance accrue dans le fonctionnement de toute entreprise, il devient indispensable d’adopter une approche plus proactive et plus globale du data management. D’un point de vue pratique, cela implique de définir une stratégie des données visant à :

  • identifier les types de données spécifiques utiles à votre entreprise ;
  • attribuer des responsabilités pour chaque type de données ; et
  • définir des procédures régissant l’acquisition, la collecte et la gestion de ces données.

La mise en œuvre d’une infrastructure et d’une stratégie de gestion des données d’entreprise offre notamment l’avantage de fédérer l’entreprise, en coordonnant toutes les activités et décisions à l’appui de ses objectifs, à savoir offrir des produits et des services de qualité de manière efficace. Une stratégie globale de data management et une intégration transparente des données permettent de décloisonner les informations. Elles aident chaque service, responsable et employé à mieux comprendre sa contribution individuelle à la réussite de l’entreprise, et à adopter des décisions et des actions alignées sur ces objectifs.


Évolution du data management

La gestion efficace des données joue un rôle clé dans la réussite des entreprises depuis plus de 50 ans : elle permet d’améliorer la précision du reporting, de repérer les tendances et de prendre de meilleures décisions pour favoriser la transformation numérique et exploiter les nouvelles technologies et les nouveaux modèles de gestion. Les données représentent aujourd’hui une nouvelle forme de capital et les organisations visionnaires sont toujours à l’affût de nouveaux moyens de les exploiter à leur avantage. Ces dernières tendances en matière de data management méritent d’être surveillées et peuvent être pertinentes pour votre entreprise et votre secteur d’activité :

  • Structure de données : la plupart des entreprises disposent aujourd’hui de différents types de données déployées sur site et dans le Cloud, et utilisent plusieurs systèmes de gestion de bases de données, outils et technologies de traitement. Une structure de données, qui est une combinaison personnalisée d’architecture et de technologie, utilise une intégration et une orchestration dynamiques des données pour permettre un accès et un partage transparents des données dans un environnement distribué.
  • Data management dans le Cloud :de nombreuses entreprises se sont mises à migrer tout ou partie de leur plateforme de gestion des données dans le Cloud. Le data management dans le Cloud offre tous les avantages du Cloud, notamment l’évolutivité, la sécurité avancée des données, l’amélioration de l’accès aux données, les sauvegardes automatisées et la restauration après sinistre, les économies de coûts, etc. Les solutions de base de données Cloud et base de données en tant que service (DBaaS), les entrepôts de données Cloud et les lacs de données Cloud montent en puissance.
  • Data management augmenté :c’est l’une des dernières tendances. Identifiée par Gartner comme une technologie au potentiel perturbateur d’ici 2022, la gestion des données augmentée exploite l’IA et l’apprentissage automatique pour donner aux processus de gestion la capacité de s’autoconfigurer et s’autorégler. Le data management augmenté automatise tout, de la qualité des données et de la gestion des données de base jusqu’à l’intégration des données, ce qui permet au personnel technique qualifié de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.

« D’ici 2022, les tâches manuelles de data management seront réduites de 45 % grâce à l’apprentissage automatique et à la gestion automatisée des niveaux de service. »

Gartner

  • Analyse augmentée : l’analyse augmentée, une autre tendance technologique de pointe identifiée par Gartner, est en train d’émerger. L’analyse augmentée exploite l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique et le traitement du langage naturel (TLN) pour rechercher automatiquement les informations les plus importantes, mais aussi pour démocratiser l’accès aux analyses avancées afin que tous les collaborateurs, et pas uniquement les experts en Big Data, puissent interroger leurs données et obtenir des réponses d’une manière naturelle et conversationnelle.

Découvrez d’autres termes et tendances en matière de data management.


Synthèse

L’information est dérivée des données et si elle synonyme de pouvoir, cela signifie que la gestion et l’exploitation efficaces de vos données pourraient représenter une formidable opportunité de croissance pour votre entreprise. Les responsabilités en matière de data management et le rôle des analystes de bases de données (DBA) évoluent vers un modèle d’agent du changement, qui favorise l’adoption du Cloud, exploite les nouvelles tendances et technologies et apporte une valeur stratégique à l’entreprise.


Pictogramme qui représente un entrepôt de données

Solutions de data management et de bases de données

Découvrez comment SAP peut vous aider à gérer, administrer et intégrer vos données d’entreprise pour disposer d’analyses fiables et prendre des décisions avisées.

En savoir plus


Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Le changement climatique est un sujet brûlant. Pour y remédier, tous les pays du monde se doivent d’agir et de mener des actions coordonnées. Depuis plus de 10 ans, SAP s’emploie à agir contre le changement climatique. L’éditeur a fixé ses premiers objectifs de baisse des émissions de CO2 dès 2009. Bien qu’il ait une nouvelle fois été classé numéro 1 des éditeurs de logiciels dans les indices de durabilité du Dow Jones cette année, le plus dur reste à accomplir.

Dans le cadre du mouvement #FridaysForFuture, des milliers d’étudiants descendent dans la rue chaque vendredi pour manifester en faveur de la protection du climat. Le rapport annuel sur l’écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions qui vient d’être publié a tiré une autre sonnette d’alarme avant la conférence sur le climat de cette semaine. En comparant la tendance des émissions de gaz à effet de serre à leur niveau souhaitable, le rapport souligne que ces émissions doivent baisser de 7,6 % par an sur la prochaine décennie pour que l’humanité parvienne à contenir l’élévation des températures du globe à 1,5 °C. Un réchauffement supérieur à 1,5 degré entraînerait des phénomènes climatiques plus fréquents et plus intenses, à l’image des vagues de chaleur et des tempêtes observées ces dernières années, et ferait planer de graves menaces sur les populations, les pays, l’environnement, mais aussi les entreprises.

Favoriser l’action pour le climat via les solutions SAP

Pour lutter contre les dommages causés par le changement climatique, SAP s’appuie sur la numérisation. Ce faisant, l’éditeur aide ses clients à réduire leurs émissions de CO2 et à contribuer à l’objectif de développement durable numéro 13 des Nations unies, à savoir Mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques.

« Le principal levier de SAP se traduit par son portefeuille de produits, qui permet aux clients d’agir de manière positive sur le plan économique, environnemental et social », explique Daniel Schmid, directeur du développement durable de SAP. « Avec plus de 437 000 clients à son actif, notre entreprise dispose d’un énorme potentiel pour changer les choses. »

Une partie de ce potentiel a déjà été réalisée en collaboration avec les clients.

Lors dialogue consacré aux aspects stratégiques du développement durable qui s’est tenu au siège de SAP en septembre, Hanno Schoklitsch, fondateur et PDG de Kaiserwetter, a parlé de la façon dont son entreprise recourt à l’Internet des Objets (IdO) et l’intelligence artificielle (IA) pour accélérer la transition vers les énergies vertes. Il a présenté le dernier bilan d’ARISTOTELES, plateforme IdO optimisée par SAP Cloud Platform, qui s’appuie sur des analyses de données intelligentes et des simulations de données prédictives pour améliorer les investissements et le financement en faveur de l’efficacité énergétique.

Il est essentiel d’amplifier cet impact. En conséquence, les équipes SAP s’activent à faire évoluer les solutions SAP qui aident à transformer la mobilité urbaine et qui soutiennent les réseaux de chaîne logistique pour qu’ils gagnent en transparence, dans l’objectif de passer à une économie circulaire « zéro déchet » et de lutter contre la pollution plastique.

Donner l’exemple : efforts consentis en interne

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Tout en cherchant à élaborer des produits et services qui aident les clients à déployer des modèles économiques durables, SAP s’engage à réduire ses propres émissions de gaz à effet de serre. Des mesures ont déjà été mises en place pour atteindre cet objectif.

SAP s’est fixé l’objectif de réduire de 85 % ses émissions de CO2 tout au long de la chaîne de création de valeur d’ici 2050, un objectif qui s’inscrit dans l’initiative « Science Based Targets ». Dans ce cadre-là, l’éditeur a récemment renforcé son engagement en adoptant les objectifs de réduction des émissions de 1,5 ºC dans l’optique d’une future neutralité carbone. Pour atteindre la neutralité carbone dans ses propres activités d’ici 2025, SAP s’appuie sur une stratégie en trois volets : éviterréduirecompenser.

  • Éviter : dans la mesure du possible, SAP s’emploie à éviter les émissions de gaz à effet de serre. Il s’agit d’une priorité absolue, qui passe par exemple par le recours aux télécommunications virtuelles en lieu et place des vols d’affaires.
  • Réduire : au cas où les émissions de gaz à effet de serre ne pourraient pas être évitées, SAP cherche à renforcer l’efficacité et réduire tous les types d’émissions, par exemple avec l’efficacité énergétique des bâtiments, les opérations des centres de données, le covoiturage, l’autopartage et la mobilité connectée.
  • Compenser : SAP a élargi ses modèles de compensation des déplacements professionnels. Dans le cas des vols d’affaires, un prix interne du carbone a été établi pour compenser les émissions de CO2, et SAP a émis des cartes de carburant neutres en carbone pour toutes les voitures de fonction.

En 2009, SAP s’est fixé l’objectif de ramener les émissions de gaz à effet de serre aux niveaux de 2000 d’ici 2020. Ce résultat a été atteint dès la fin 2017 alors que les effectifs de SAP ont été multipliés par quatre au cours de cette période. L’année dernière, SAP a fait tomber ses émissions à 310 kilotonnes, dépassant ainsi son objectif annuel de réduire le nombre de ses émissions de CO2 à moins de 333 kilotonnes. Les chiffres exacts sont disponibles dans le rapport intégré annuel. En outre, un tableau de bord interne de durabilité permet aux employés de découvrir la répartition de ces rejets par pays, par site et par secteur d’activité.

Tous les centres de données et établissements SAP fonctionnent aux énergies vertes depuis 2014. En outre, SAP introduit progressivement un système de management environnemental conforme à la norme ISO 14001 sur les sites SAP du monde entier.  En 2019, 55 sites SAP avaient déjà obtenu la certification ISO 14001.  Un système de management de l’énergie certifié ISO 50001 est intégré aux systèmes de gestion existants de certains sites, tels que le siège de SAP à Walldorf et St. Leon-Rot, pour améliorer en continu la performance énergétique de l’entreprise.

La mobilité joue également un rôle clé dans la lutte contre le changement climatique. C’est la raison pour laquelle le profil des employés qui font la navette entre domicile et lieu de travail est pris en compte dans le calcul des émissions de CO2 de SAP. Avec son large éventail de voitures électriques, à ses systèmes de transport public spéciaux ainsi qu’à son vif soutien du vélo et du covoiturage, SAP propose différents moyens de se déplacer et de voyager de manière durable. Les résultats de l’enquête 2018 sur les trajets domicile-travail ont révélé une tendance positive : en 2018, les émissions quotidiennes de CO2 en lien avec ces trajets ont diminué de 4,7 % par rapport à l’année précédente. L’utilisation de la voiture a baissé de 5 %, celle des transports publics est restée stable et le recours au vélo a augmenté de 15 %. Le travail à domicile a progressé de 11 % d’une année sur l’autre.

Si les émissions de CO2 ne peuvent être évitées ou réduites, auquel cas SAP investit dans des projets de compensation d’émissions et reçoit en retour des crédits carbone des projets sponsorisés. L’accent est mis sur des projets ambitieux, tels que le Fonds Livelihoods qui conjugue reboisement et amélioration des moyens de subsistance des communautés rurales et satisfait aux critères du label GOLD standard du WWF (World Wide Fund for Nature). À ce jour, 2,3 millions d’arbres ont été plantés, dont 1 million entre 2018 et 2019, par exemple, dans le cadre du projet « Réserve de forêt de Kikonda » en Ouganda.

Agir au niveau individuel

Chacun de nous, nous pouvons de bien des façons changer les choses, tant dans notre vie personnelle que professionnelle. Les employés de SAP sont désireux d’apporter une contribution positive. Selon l’enquête annuelle menée auprès du personnel, 93 % des employés conviennent qu’il est important pour SAP de poursuivre sa stratégie de développement durable. Plus de 200 personnes s’engagent comme défenseurs du développement durable au sein d’un réseau mondial pour encourager le changement et inspirer leurs collègues.

Le programme SAP Next-Gen, mis en place en collaboration avec les laboratoires d’innovation technologique de l’ONU, soutient une série de hackathons en faveur de l’action climat, Reboot the Earth, dont la finale aura lieu lors du sommet pour le climat à New York prévu en septembre prochain. De nombreux employés de SAP sur différents sites se sont portés volontaires pour jouer le rôle de juges dans les concours locaux.

Les lignes directrices de la programmation durable compilées par l’équipe Performance and Scalability de SAP ont également valeur d’exemple. Selon Detlef Thom, expert produit SAP en développement : « Pour les développeurs de logiciels et les architectes, appuyer le développement durable et contribuer à l’informatique écoresponsable implique de concevoir des programmes logiciels qui utilisent efficacement les ressources informatiques tout en économisant de l’énergie. Cela devient encore plus impératif si l’on tient compte du grand nombre de transactions commerciales que gère un système SAP à l’échelle mondiale. »

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Source de l’article sur sap.com

We’ve been big fans of Ghost since it first launched via a Kickstarter campaign way back in 2013. Ghost 4.0 has just been released, and the host of new features is another giant leap forward for the popular blogging platform.

The content management space is one of the most crowded for startups; there are traditional CMS, headless CMS, site builders, and the omnipresent WordPress, which, if current trends persist, will power 729% of the web by next Thursday.

Ghost is a blog-focused CMS, as WordPress is. Unlike WordPress, it’s minimal, fast, and a pleasure to use.

To survive in the competitive space, Ghost has niched-down to specializing in monetized content — charging membership for sites to bring in revenue for the site owner (Ghost doesn’t charge any commission on this income). As part of that effort, Ghost 4.0’s new engagement-centered dashboard is designed to help you fine-tune your content for profitability.

For any release right now, a dark mode is almost mandatory, and Ghost 4.0 includes it. It may sound like a vanity feature, but once you find yourself working late writing and editing content, your battery and your eyes will thank you for it.

Other notable features include a brand new theme store with professional templates that install with a single click and built-in email newsletters to help foster a sense of site-loyalty among your fanbase.

Ghost is one of the best writing experiences in its class and one of the best publishing experiences for individual creators. If you like publishing on Medium, but wish you had more ownership of your content, then you should give Ghost a try.

You can trial Ghost 4.0 free for 14 days; after that, plans start at $9/month.

Source

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Nous entendons souvent des analystes conseiller aux entreprises de repenser, réorganiser ou même complètement transformer leurs business models.

Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Est-ce pertinent pour tous les types de produits, y compris les miens, qui ont toujours été vendus de la même manière aux clients ?

Les exemples de business models transformés et couronnés de succès sont nombreux et connus de tous :

  • Musique en streaming plutôt que sur CD physiques, d’ailleurs, vos enfants ont-ils même déjà entendu parler des CD et des vinyles ?
  • Vidéos en streaming (dans ma propre ville, il n’y a plus aucun magasin de location de films). Et les services de streaming remplacent même peu à peu la télévision traditionnelle. Le choix avant tout !
  • De plus en plus de voitures sont louées ou partagées, en particulier au sein de la jeune génération. La flexibilité compte, comme le fait de pouvoir louer une voiture plus grande le week-end, simplement au moment où on en a vraiment besoin.
  • Souvent, les logiciels ne sont plus vendus, mais proposés via des abonnements, même dans des environnements privés. Vous pouvez ainsi toujours profiter de la version la plus récente, offrant les dernières fonctionnalités, et de l’espace cloud associé pour stocker vos documents en toute sécurité et les partager avec vos amis. Y a-t-il jamais eu une autre façon de consommer les logiciels ?

Et certains de ces « nouveaux business models » ont non seulement remplacé les « business models traditionnels », mais aussi offert une place à de nouveaux acteurs sur le marché. Des startups inconnues ont silencieusement attaqué des marques bien connues, les contraignant à une position défensive.

Et l’histoire récente montre que ces modèles de consommation sont bien acceptés par les clients. Ce n’est plus seulement la qualité des produits qui compte, mais aussi le mode de consommation, le service et la fiabilité associés.

Envisager et tester des changements et des orientations complètement différentes en matière d’offres est vraiment une excellente idée. Il s’agit non seulement d’innover en matière de produits physiques et de fonctionnalités, mais aussi de façonner quelque chose de nouveau : un nouveau produit offrant une perspective étendue et une valeur accrue aux clients, avant que d’autres ne s’en chargent.

Mais il faudra pour cela surmonter un obstacle, lié au fait qu’un business model transformé à ce point changera non seulement la vie des clients, mais aussi votre entreprise, et ce par bien des aspects :

  • Façon d’interagir avec vos clients (directement et de manière bien plus rapprochée)
  • Nombre accru de clients et nécessité d’interagir directement avec eux
  • Processus de facturation (réguliers et non plus ponctuels)
  • Nouveaux modèles de tarification dans votre système (mensuels, basés sur l’utilisation, etc.) et automatisation de leur exécution et traitement
  • Gestion des abonnements et de la satisfaction client
  • Automatisation accrue des processus (facturation, relance, contrôle des factures, etc.)
  • Etc.

Il s’agit vraiment d’un changement complet de business model !

Bonne nouvelle : chez SAP, nous disposons non seulement de l’expertise nécessaire pour vous aider, mais aussi de solutions et de processus standardisés. Nombre de nos clients ont réussi à transformer leur entreprise et à se protéger vis-à-vis de nouveaux acteurs. Ils ont prouvé que c’était possible et sont parvenus à garder une longueur d’avance en matière d’innovation de business model.

Autre bonne nouvelle : les clients qui ont doté leur entreprise traditionnelle d’un business model moderne sont devenus plus forts et plus résilients face aux crises, quelles qu’elles soient. Ce n’est pas la seule raison qui doit vous pousser à penser autrement, et ce dès maintenant, mais il s’agit clairement d’un argument de poids.

Vous souhaitez obtenir les témoignages de nos clients et experts ?

Rejoignez-nous pour notre présentation BRIM (1), proposée dans le cadre du sommet virtuel SAP Finance and Risk, et découvrez les expériences et idées de nos clients et experts à travers leurs témoignages.

Nous sommes impatients de vous retrouver le 16 mars.


(1) BRIM est l’acronyme de Billing Revenue Innovation Management, pour gestion novatrice de la facturation et des revenus

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF, Allemagne – 09 mars 2021 – SAP SE (NYSE : SAP) vient d’annoncer que Capgemini a adopté les applications SAP Fieldglass Contingent Workforce Management et SAP Fieldglass Services Procurement. En gérant plus efficacement son personnel hautement qualifié, Capgemini a étendu ses capacités de service, notamment dans des secteurs de niche, afin de réaliser son ambition de croissance durable.

Les applications SAP Fieldglass permettent à Capgemini d’être plus flexible pour appuyer et élargir son large portefeuille de services, gérer les questions de conformité et accroitre son efficacité. Avec une main-d’œuvre externe croissante jouant un rôle de plus en plus important dans l’accompagnement de la transformation des activités de ses clients, Capgemini a cherché à améliorer sa visibilité sur son personnel externe. Le département Achats de la société a déployé les applications SAP Fieldglass pour automatiser et normaliser le sourcing, l’engagement, la gestion et la rémunération de ses collaborateurs externes. La société a choisi les solutions SAP Fieldglass pour soutenir son organisation mondiale, lui permettant de fournir un processus simplifié et plus agile dans l’ensemble de l’entreprise.

« Dans notre secteur en pleine évolution, il est essentiel d’exploiter les bonnes capacités au bon moment pour fournir le service de haute qualité que nos clients attendent », a déclaré Andreas Hettwer, directeur de la catégorie « achats groupés » chez Capgemini. « Les applications SAP Fieldglass offrent une combinaison adéquate de fonctionnalités avancées et une expérience utilisateur moderne qui nous permet d’accéder à nos principaux collaborateurs à travers le monde, ce qui nous donne un avantage concurrentiel qui fait progresser notre entreprise et nous aide à offrir plus de valeur à nos clients ».

Les applications SAP Fieldglass Contingent Workforce Management et SAP Fieldglass Services Procurement aident Capgemini à transformer la façon dont le travail est effectué pour répondre aux besoins de son entreprise en pleine croissance en améliorant :

  • L’efficacité : En automatisant et en normalisant le processus d’attraction et de gestion du travail flexible – de la demande d’achat à la facturation et au paiement – Capgemini a accru son efficacité et sa conformité.
  • L’agilité : Les applications augmentent l’agilité opérationnelle de Capgemini, en accélérant les résultats de l’entreprise grâce à des processus de travail des collaborateurs externes qui sont harmonisés dans toute l’organisation. Chaque fois qu’il a été décidé de faire appel à des compétences externes, les offres d’emploi sont transférées vers les applications SAP Fieldglass pour une exécution externe.
  • La visibilité : Les applications renforcent les capacités de Capgemini en matière de gestion du personnel externe, en aidant les équipes Achats à mesurer le succès grâce à un reporting complet qui fournit des informations sur les délais d’embauche, le taux de remplissage, la qualité des offres d’emploi, les coûts, la conformité et bien d’autres aspects.
  • La transparence : Avec plus de 85% de son activité mondiale de gestion du personnel externe intégrée dans les applications SAP Fieldglass, Capgemini a accès à des informations détaillées sur ses dépenses, sa position sur le marché et ses possibilités d’optimisation des coûts, ce qui lui permet de réduire les risques et de prendre des décisions plus stratégiques.

« Capgemini est un exemple frappant de l’importance croissante du marché du travail temporaire pour l’agilité de la force de travail, la continuité des activités, le succès et l’innovation », a déclaré Tamara Braun, chief customer officer, SAP Intelligent Spend Management. « Les consultants externes sont essentiels à la qualité des services que Capgemini fournit à sa clientèle mondiale. De plus, ses dirigeants comprennent clairement que l’engagement de cette force de travail flexible à grande échelle a un impact positif sur la qualité, la compétitivité et la conformité ».

Pour plus d’informations sur l’approche de Capgemini en matière de gestion des effectifs externes, téléchargez l’étude de cas ou écoutez ce podcast.

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Source de l’article sur sap.com

In the era of web-scale, every organization is looking to scale its applications on-demand, while minimizing infrastructure expenditure. Cloud-native applications, such as microservices are designed and implemented with scale in mind and Kubernetes provides the platform capabilities for dynamic deployment, scaling, and management. 

Autoscaling and scale to zero is a critical functional requirement for all serverless platforms as well as platform-as-a-service (PaaS) solution providers because it helps to minimize infrastructure costs.

Source de l’article sur DZONE

MUNICHSAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui que le FC Bayern Munich, le club de football le plus titré d’Allemagne, a mis en œuvre avec succès la solution SAP SuccessFactors Employee Central pour standardiser et optimiser ses principaux processus de ressources humaines (RH) et améliorer l’expérience de ses plus de 1 000 employés.

En s’appuyant sur le service SAP Model Company pour accélérer le déploiement de la solution, le FC Bayern a bénéficié de processus préconfigurés et de best practices prêts à l’emploi.

Intégré à la suite SAP SuccessFactors Human Experience Management Suite, SAP SuccessFactors Employee Central est un système d’information RH basé sur le cloud, que les entreprises utilisent pour gérer leur personnel grâce à toutes les fonctions RH essentielles.

Avec la mise en œuvre de SAP SuccessFactors Employee Central, le FC Bayern est passé de feuilles de calcul et processus manuels à une plate-forme entièrement intégrée. Cela permet de mettre en place des processus RH cohérents et numériques et, à l’avenir, d’unifier les données relatives au recrutement, à l’intégration et à la gestion des performances. En outre, des rapports peuvent être générés facilement et efficacement pour optimiser la planification et l’analyse des effectifs.

« La solution SAP SuccessFactors Employee Central permet à l’équipe RH du FC Bayern de faire ce qu’elle fait le mieux – se concentrer sur les ressources humaines stratégiques et à valeur ajoutée plutôt que sur les processus transactionnels », a déclaré Jan-Christian Dreesen, vice-président exécutif du FC Bayern. « Avant de mettre en œuvre la solution, nous travaillions avec des processus lourds et fastidieux. L’intégration nous a permis non seulement de numériser nos processus, de les retravailler et d’innover. En créant un environnement plus efficace, notre équipe RH peut se focaliser sur nos employés et leur offrir la meilleure expérience possible. »

SAP SuccessFactors Employee Central comprend des options en libre-service pour favoriser l’engagement des employés du FC Bayern. L’application SAP SuccessFactors Mobile offre à tous les employés – y compris les joueurs, les entraîneurs, les managers et les employés de bureau – une expérience mobile moderne et intuitive. Ils peuvent accéder à leurs données personnelles et mettre à jour leur profil employé, ainsi que saisir, approuver et enregistrer les absences telles que les vacances – autant de tâches qui nécessitaient auparavant de faire appel aux RH pour obtenir leur accord.

« Avec la mise en œuvre de SAP SuccessFactors Employee Central, c’est avec enthousiasme que nous ouvrons un nouveau chapitre dans le partenariat de longue date entre le FC Bayern et SAP », a déclaré Andreas Jung, membre du conseil d’administration du FC Bayern.

« Depuis 2014, SAP est un partenaire platine officiel du FC Bayern. Nous travaillons ensemble à des solutions innovantes qui aident le club à atteindre ses objectifs sportifs et commerciaux », a déclaré Thomas Saueressig, member of the SAP Executive Board, Product Engineering. « La mise en service de SAP SuccessFactors Employee Central étend ce partenariat à la gestion de l’expérience humaine, permettant au club sportif d’accélérer encore sa croissance et de rester compétitif à tout moment, tant sur le terrain qu’en dehors. »

Pour plus d’informations, visitez la section « SIRH & Gestion RH » de SAP.com et le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter @SAPNews.

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