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The Beazley Design of the Year for 2020 has just been awarded to US architecture firm Rael San FratelloColectivo Chopeke for their Teeter-Totter Wall project, a series of luminous pink seesaws built into the US-Mexico border wall in July 2019.

The 74 shortlisted entrants for the prize range from a poster for vegan burgers to a parody of Pantone’s Color of the Year. Most were self-consciously political.

As design has grown in stature, so has its ability to amplify the opinions that employ it. Most of us will never work on an actual political campaign. Still, there is little doubt that the design teams for both the Obama campaign in 2008 and the Ocasio-Cortez campaign in 2018 were significant factors in the resulting electoral success. And it isn’t just visual design, user experience across a platform has implications; last week, Twitter finally suspended the account of the outgoing US president, a decision that left CEO Jack Dorsey lamenting the platform’s “failure…to promote healthy conversation.”

As designers, our understanding of user experience — particularly the psychology of user experience — has grown immensely in the last decade. We’re very good and persuading people to do things, and that ability is a commodity, saleable to the highest bidder. As such, it is capable of undermining basic democratic principles by skewing debate and exerting disproportionate influence.

We frequently talk about Black Hat and White Hat techniques in the tech industry, but the truth is, almost all designers spend their days looking for ways to manipulate an audience.

When that manipulation extends into political events, do designers have an ethical responsibility to maintain an independent balance, just as we expect reputable journalists to?

Designers are — for now, at least — human beings. We have all of the prejudices, biases, and philosophies of any other human being. Do we have an obligation to use our skills to promote our ideals, or an obligation to resist doing so?

 

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SAP France se distingue une nouvelle fois dans le classement Glassdoor des meilleures entreprises où il fait bon travailler. Cette année, SAP France obtient la 3ème place des meilleurs employeurs de France, progressant d’une position par rapport à l’année précédente. Ce concours repose exclusivement sur les avis des employés qui ont accepté de s’exprimer sur leur emploi, leur environnement de travail et leur entreprise sur Glassdoor durant l’année écoulée.

L’expérience collaborateur figure au cœur des priorités de l’entreprise. Avec les années, SAP a mis en place de nombreux programmes phares de développement des collaborateurs comme Fellowship, impliqué ses collaborateurs dans le mentoring de startups sociales, et développé des initiatives autour de la mixité et de l’inclusion comme l’accord égalité femme-homme et le programme Autism at work qui permet aux personnes atteintes d’un Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA) de trouver un emploi qualifié au sein de l’entreprise.

SAP a également initié une politique de Qualité de vie au travail (QVT) particulièrement riche. Avec la crise sanitaire, l’entreprise a digitalisé en France l’ensemble de ses initiatives de QVT et initié un pilote FlexWork visant à offrir à ses collaborateurs en télétravail plus de bien-être et de flexibilité. SAP a ainsi mis en place des dispositifs :

  • d’écoute des collaborateurs pour leur permettre de s’exprimer sur leurs besoins et difficultés pour permettre à l’entreprise d’adapter en permanence ses actions qui leur sont destinées,
  • d’inspiration avec l’invitation de personnalités externes à des événements internes pour s’ouvrir sur les enjeux actuels et stimuler l’innovation,
  • de formation 100% digitalisés pour permettre aux collaborateurs de développer leurs compétences,
  • pratiques à destination de managers et des équipes pour leur permettre de mieux gérer le télétravail à 100 %,
  • de bien-être et de détente pour s’oxygéner le corps et l’esprit pendant cette période particulière.

« Chez SAP, nous œuvrons tous les jours en faveur du développement de nos collaborateurs. Notre objectif est de créer un lieu de travail d’excellence ! Je remercie tous les collaborateurs qui ont pris le temps de partager leur point de vue sur ce que c’est que de travailler chez SAP. Nous apprécions les précieux commentaires et les avis qui nous ont été adressés, et nous continuerons à écouter et à agir en fonction de ces remarques. » Gérald Karsenti, président de SAP France.

La politique RH de SAP a également été récompensée au niveau international par Glassdoor.

Les Meilleurs Employeurs ont été sélectionnés sur la base des avis sur les entreprises, partagés par les employés entre le 22 octobre 2019 et le 19 octobre 2020. Pour participer au concours français, une entreprise devait compter au moins 1 000 employés et avoir reçu au moins 20 avis pour chacun des huit attributs de la part d’employés basés en France, pendant la période d’admissibilité. La liste finale est compilée sur la base d’un algorithme appartenant à Glassdoor (Département de Recherche Economique – lien en anglais) et elle tient compte de la quantité, qualité et cohérence des avis.

La liste complète des Meilleurs Employeurs 2021 est disponible sur : https://www.glassdoor.fr/Récompense/Meilleurs-Employeurs-France-LST_KQ0,27.htm

A propos de Glassdoor 

Glassdoor combine toutes les dernières offres d’emploi avec des millions d’avis et de conseils pour permettre aux chercheurs d’emploi de trouver facilement un poste qui leur convient parfaitement. Par conséquent, Glassdoor aide les employeurs à embaucher des candidats vraiment informés grâce à des solutions de recrutement efficaces, comme les offres d’emploi et les produits de marque employeur. Lancé en 2008, Glassdoor dispose maintenant d’avis et d’informations sur plus de 1,3 millions d’entreprises dans plus de 190 pays. Pour plus d’informations, visitez glassdoor.fr.

Glassdoor® est une marque déposée de Glassdoor, Inc.

Contact presse Glassdoor : pr@glassdoor.com

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com
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Après le succès de la première promotion, Le Village by CA Paris, Microsoft France et SAP  lancent aujourd’hui un nouvel appel à candidatures auprès des femmes entrepreneures.  
Cet appel est ouvert jusqu’au 7 février 2021 

Paris, le 11 janvier 2021  Le Village by CA Paris, accélérateur de startups qui accompagne les grands groupes/ETI vers le futur de leurs industries, lance un appel à candidatures pour sa seconde édition du comité de sélection dédié aux femmes entrepreneures en partenariat avec Microsoft France via son programme Microsoft for Startups et SAP via son programme SAP.iO No Boundaries. Cet appel est soutenu par plusieurs réseaux féminins :  Professional Women’s Network Paris#JamaisSansEllesWilla, et d’autres se joindront encore à l’initiative.

La promotion 2019 avait permis d’accélérer des entreprises telles que FinWedge, Les Petits Prödiges ou encore Pandobac.

Un appel à candidatures du 11 janvier au 7 février 2021

L’appel à candidatures débute ce jour et se terminera le 7 février 2021 à minuit. Par la suite, une quinzaine de startups seront pré-selectionnées puis invitées à pitcher devant un comité de sélection composé d’une trentaine de grandes entreprises. Par la suite, une Pitch Party sera organisée au Village by CA Paris, afin de présenter les startups lauréates devant des investisseurs et potentiels clients. Cet appel à candidatures s’adresse à toute entreprise à caractère innovant de moins de 3 ans portée par au moins une femme dont le produit ou la solution est finalisée ou en début de commercialisation.

Un programme d’accompagnement global à la clé

Les startups lauréates intégreront le Village by CA Paris pendant 2 ans (moyennant un loyer) et bénéficieront de programmes complémentaires offerts par Microsoft et SAP.

L’intégration au Village by CA parisien comprend des mises en relation d’affaires ciblées avec des entreprises privées et des acteurs publics, deux ans d’hébergement, un accompagnement personnalisé par l’équipe du Village et des experts (juridiques, comptables, RH…), des Masterclass, des conférences d’entrepreneurs à succès, une mise à disposition d’espaces communs, un accès à la réservation d’espaces événementiels, de la visibilité sur les réseaux du Village et une assistance administrative.

Programme Microsoft 

Microsoft intègre les startups au cœur de sa proposition de valeur et leur propose un accompagnement adapté à leurs besoins à travers le programme Microsoft for Startups. Son objectif est d’aider les startups à grandir, créer et étendre leur réseau en les accompagnant dans une démarche de partenariat.

Ce programme accorde jusqu’à 120 000 dollars de crédits cloud Azure, un accompagnement technique, de la visibilité, mais aussi et surtout l’opportunité d’un véritable partenariat avec Microsoft pour profiter de son écosystème et ainsi toucher de nouveaux clients et de nouveaux marchés. Il s’agit pour Microsoft de mettre la puissance de son écosystème de partenaires et de clients au service du développement des startups.

Plus d’informations sur le programme Microsoft for Startups Microsoft for Startups en France | Microsoft experiences

Programme SAP 

SAP a lancé SAP.iO en 2017 pour aider les startups innovantes internes et externes à SAP à développer de nouveaux produits, trouver des clients et à impacter le marché. Cette activité du Groupe s’est déployée progressivement en France au travers d’un Fonds d’investissement (SAP.iO Fund) et d’un accélérateur de startups externes (SAP.iO Foundry Paris) et d’un incubateur de startups internes (SAP.iO Venture).

En février 2019, SAP lançait SAP.iO No Boundaries pour financer et accompagner plus de 200 startups dirigées par des femmes et issues de la diversité au cours des 5 prochaines années. Via ce programme et son partenariat avec Village by CA Paris, SAP s’engage à accompagner les startuppeuses durant leur 2 ans d’accélération au Village by CA Paris et à leur faire bénéficier de son expérience dans l’accélération de jeunes pousses au travers d’actions : de coaching individuel et collectif, de travail sur les business plans ainsi que la mise en place de Masterclasses sur des thématiques variées.

Retour sur la première année d’accélération de la promotion Femmes Entrepreneures 2019

13 startups avaient été sélectionnées pour faire partie de la promotion 2019, dont Adaptia, Les Petits Prödiges, Effency, Pandobac ou encore Levia. En un an, plusieurs d’entre elles ont augmenté leur chiffre d’affaires et recruté leurs premiers collaborateurs. Elles ont été mises en relation avec des mentors, des experts ou des investisseurs et ont pu rencontrer les collaborateurs de SAP et Microsoft.

Une volonté d’aider les femmes à entreprendre 

« Après le succès de la première édition l’année en 2020, nous sommes très heureux de lancer un nouveau comité de sélection dédié aux femmes entrepreneures avec nos partenaires Microsoft et SAP, soutenus à nouveau par les réseaux féminins. Ce comité de sélection s’inscrit dans la charte SISTA que Le Village by CA Paris a signé en octobre dernier pour plus de mixité dans les structures d’accompagnement de startups. »  déclare Fabrice Marsella, directeur du Village by CA Paris.

« Engagé depuis de nombreuses années en faveur de la féminisation du secteur du numérique, en 2021 Microsoft multiplie les actions pour promouvoir l’entrepreneuriat féminin au service d’une innovation durable. Après la création de notre prix partenaires Microsoft pour les entrepreneures rôles modèles qui aura lieu en juin, nous sommes fiers de nous associer à nouveau aux côtés de nos partenaires Village by CA Paris et SAP.IO pour la seconde édition de « Femmes Entrepreneures ». Grâce au programme Microsoft for Startups, ces entrepreneures bénéficieront d’un accompagnement sur mesure et de la puissance de notre écosystème pour se développer sur le marché. », commente Agnès Van De Walle, Directrice de l’entité Partenaires et Startups de Microsoft France.

 « SAP a à cœur de soutenir l’entreprenariat divers et inclusif, notamment au travers de son initiative SAP.iO No Boundaries. Il est de notre responsabilité d’encourager et de soutenir ceux et celles qui ont un accès plus compliqué aux financement, aux réseaux.  C’est pour cette raison que nous avons décidé de soutenir pour la 2ème année l’initiative Village by CA ‘Promotion Femmes Entrepreneures’, explique Sébastien Gibier, Directeur SAP.iO Foundry Paris.

Les dates clés à retenir :

  • 7 février 2021 : clôture de l’appel à candidatures
  • 5 mars : comité de sélection
  • Date à venir : Pitch Party de présentation des startups lauréates

Lien pour candidater : cliquez ici  

A propos du Village by CA

Fondé par le Crédit Agricole en 2014, le Village by CA est un écosystème créateur de valeur et un accélérateur de startups qui soutient des projets à fort potentiel. Le premier Village a vu le jour à Paris en 2014 et le réseau compte désormais 36 Villages partout en France (Lille, Bordeaux, Orléans, Caen, St-Brieuc, Nantes, Paris, Lyon, Toulouse…) au Luxembourg et en Italie à Milan. Le Village dispose de relais dans des villes majeures dans le monde (Londres, New York, Moscou, Shanghai, Séoul, Tokyo, Singapour…) afin d’aider les startups dans leur développement à l’international. Situé au cœur des régions, les startups de chaque Village by CA évoluent dans un écosystème d’innovation fort d’une multitude de partenaires privés et publics.

A propos de Microsoft 

Leader des plateformes et des services de productivité, Microsoft donne à chaque individu et chaque organisation les moyens de réaliser ses ambitions, dans un monde fondé sur le Cloud et la mobilité. Au cœur de l’écosystème numérique français depuis plus de 30 ans, Microsoft France, présidée par Carlo Purassanta depuis septembre 2017, rassemble plus de 1 600 collaborateurs au sein de son Campus d’Issy-les-Moulineaux, sous le signe de l’ouverture, de la créativité et de la collaboration. Avec un tissu de plus de 10 500 partenaires business, technologiques, acteurs du secteur public, chercheurs ou start-ups, acteur responsable, Microsoft France s’engage en faveur de l’égalité des chances et de l’éducation au numérique aux côtés des associations sur l’ensemble du territoire.

A propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

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Source de l’article sur sap.com

If you were paying close attention to your IT department around the 8th of December, you might have heard some quiet sobbing and the occasional wail of, “Why? Why?! WHY?!” Now, it was the year 2020, so this might have seemed normal to you, but it’s actually something of a problem that could affect your business: CentOS is pretty much dead.

For the non-total-nerds among us, here’s the skinny: CentOS is a Linux-based operating system, typically used on servers. CentOS has been incredibly popular, and quite a few businesses run on it. But now, that’s changing.

CentOS is a Linux-based operating system, typically used on servers…But now, that’s changing

CentOS used to be released in thoroughly tested versions, the latest being CentOS 8. CentOS 8 was released in September of 2019 and was supposed to be supported for ten years. Now, it’s been decided that CentOS will no longer have versioned releases, opting for a rolling-release style of updates. That means there’ll be one version that constantly gets new software.

That’s cool in theory, but it means the operating system will be less stable overall. Essentially, it’s going to be used as a development branch of / testing ground for Red Hat Enterprise Linux and is no longer its own OS. If you have CentOS-based servers, you should migrate to another OS sooner rather than later.

And I just got my own CentOS-based VPS set up the way I wanted it.

Wait, What Does Red Hat Have To Do With This?

Here’s the short, short version of the history of CentOS: Red Hat (an OS developer) has two Linux distributions of its own and has had for a long time. There’s the free and community-focused Fedora and the business-focused highly expensive Red Hat Enterprise Linux (AKA RHEL).

Funny story: RHEL, despite its expensive licenses, is still mostly made from open source code, which anyone can access and use. And it’s a good OS, particularly for people who like stability.

In 2004, some smart people took all the open-source parts of RHEL and made a brand new, nearly identical operating system with it: the Community Enterprise Operating System, or CentOS. Basically, people could download and use an enterprise-level server OS for free. All the documentation for RHEL was compatible, and you could get support from the community.

It was the perfect alternative for anyone who didn’t have the budget for expensive software licenses.

In 2014, Red Hat offered to partner with the CentOS community. The idea was basically this: “It’s pretty much the same software. If our company and your community work together, both our products will be better! We make our money from enterprise customers, anyway.”

Most importantly, with Red Hat doing a lot of the heavy lifting in terms of updates and support, the CentOS community could focus on growing in other ways.

Red Hat pinky swore [citation needed] that they were in this for the long haul, and CentOS did continue to flourish. You know, until 2020.

Well, So Much For Pinky Swearing

Red Hat must have eventually decided that having a popular free version of its own enterprise software and managing it themselves no less — wasn’t that good for business. So they all but shut the project down.

Well, technically, they just changed how it operated. Instead of producing tested, production-ready versions, CentOS is merely a testing ground for RHEL. It is no longer, in my opinion, a good option for anyone who wants to run a stable server.

Current and Future CentOS Alternatives

So if you jumped on the CentOS 8 bandwagon, what should you put on your physical and virtual servers now? Well, you’ve got options.

Debian / Ubuntu

For those who don’t mind going to a very different kind of Linux, Debian has been the picture of OS stability and sysadmin-friendliness for a long time. If you want more frequent software updates, the Debian-based Ubuntu Server is popular and pretty good.

Oracle Linux

Yes, that Oracle has a RHEL-compatible Linux distribution of its own. But it’s not a clone, exactly. I mean, this is Oracle. It’s set up to use their tools and ecosystem, so I hope you like Oracle products. But hey, the OS itself is free!

ClearOS

ClearOS is another RHEL-compatible OS that’s mostly doing its own thing, though I’m not entirely sure what that thing is. Does the company have some deal with Hewlett-Packard? Anyway, they do have a free community edition and paid editions for home and business use.

The CloudLinux RHEL Fork

This is an upcoming release from the makers of CloudLinuxOS. It looks like they intend to load the new RHEL-based OS with some of their own tools, such as reboot-less server update tech. The first release is intended to be a more or less drop-in replacement for CentOS 8.

Rocky Linux

So the community that made and loved CentOS in the first place is, to say the least, ticked. They are so ticked that Greg Kurtzer (a co-founder of CentOS) has decided to do it all over again by making Rocky Linux and keep it in the community this time.

Again, the goal is to make a re-build of RHEL, a drop-in replacement for CentOS (at least for now). Eventually, the goal is to migrate from CentOS to Rocky Linux as easy as using a single, one-line command. The ETA for initial release isn’t quite set in stone, but I can personally vouch for how hard the community is working.

[See, full disclosure here… after writing this article, I joined the Rocky Linux documentation team.]

So Yeah, You Have Options

Some are out now, and others will be soon. Again, CentOS 8 will be supported until the end of 2021. CentOS 7, weirdly, will be supported until June 2024.

Migration shouldn’t be too complicated. Still, a pain in the rear that we have to do this at all, though.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Although still in its infancy, 2020 has been a year of significant growth for Natural Language Processing (NLP). In fact, research from Gradient Flow found that even in the wake of the COVID-19 pandemic, 53% of technical leaders indicated their NLP budget was at least 10% higher compared to 2019, with 31% stating their budget was at least 30% higher than the previous year. This is quite significant, given most companies are experiencing a downturn in IT budgets, as companies adjusted their spending in response to the pandemic. 

With the power to help streamline and even automate tasks across industries, from finance and healthcare to retail and sales, leaders are just beginning to reap the benefits of NLP. As the technology advances further and its value becomes more widely known, NLP can achieve outcomes from handling customer service queries to more mission-critical tasks, like detecting and preventing adverse drug events in a clinical setting. As NLP continues on its growth trajectory, here are some of the top trends to watch in 2021. 

Source de l’article sur DZONE

Le 24 mai 2019, l’éditeur Fortinet avait publié un avis de sécurité corrigeant la vulnérabilité CVE-2018-13379 qui affecte les systèmes FortiOS lorsque le service VPN SSL est activé. Cette vulnérabilité permet à des attaquants non authentifiés d’accéder aux fichiers systèmes via des requêtes …
Source de l’article sur CERT-FR

WALLDORF – Pour la 14ème année consécutive, SAP SE (NYSE : SAP) a été désignée leader du secteur des logiciels au Dow Jones Sustainability Indices (DJSI). SAP a dépassé ses scores des années précédentes et a creusé l’écart par rapport à ses pairs du secteur, malgré les défis causés par la pandémie.

SAP a obtenu 74 points sur 100 (2019 : 69) au score global, soit cinq points de plus que l’entreprise classée en deuxième position. SAP a amélioré sa valeur de percentile dans 15 des 20 catégories par rapport à 2019, notamment en matière de « sécurité de l’information/cybersécurité et disponibilité des systèmes », d’« attraction et de rétention des talents » et de « rapports environnementaux ».

Cette évaluation souligne les efforts déployés par SAP pour mettre en place une stratégie de cloud fiable et conforme, en valorisant les employés comme son atout le plus important et en améliorant ses capacités de reporting interne. Cette année, 83 entreprises du secteur des logiciels ont participé, soit plus du double par rapport à l’année dernière. SAP a également amélioré sa notation dans les trois dimensions principales :

  • Gouvernance et économie : 65 (2019 : 61)
  • Environnement : 87 (2019 : 83)
  • Social : 81 (2019 : 73)

« Nous sommes fiers de notre classement au Dow Jones Sustainability Indices. Cela nous prouve une fois de plus que nous avons une responsabilité particulière en tant que leader de la durabilité dans l’industrie du logiciel », a déclaré Luka Mucic, directeur financier et membre du conseil d’administration de SAP SE. « Cela nous pousse à redoubler d’efforts auprès de nos clients pour leur fournir des solutions destinées à leur transformation durable, afin que nous puissions tous ensemble construire une économie plus inclusive et plus régénératrice ».

Créés en 1999 par la société de gestion d’investissements RobecoSAM, les DJSI sont les plus anciens indices de référence mondiaux en matière de durabilité. Ils sont cotés en bourse depuis leur création. Basé sur l’évaluation de la durabilité des entreprises (Corporate Sutainability Assessment, CSA) de SAM, le DJSI fournit une analyse des performances économiques, environnementales et sociales des entreprises. Ils comprennent des critères de durabilité généraux ainsi que spécifiques à chaque secteur pour chacune des 60 industries définies selon l’Industry Classification Benchmark (ICB).

En 2020, la solide performance environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) de SAP a également été reconnue par d’autres notations ESG. SAP est restée présente dans la série d’indices FTSE4 Good Index et dans les indices Euronext Vigeo Eiris (Europe 120 et Eurozone 120). SAP a de nouveau été reconnue comme un leader ESG par MSCI Inc. (anciennement Morgan Stanley Capital International), qui lui a attribué la meilleure note, soit « AAA ». Et pour la première fois, SAP a figuré dans le nouveau classement du Wall Street Journal des 100 entreprises les mieux gérées sur le plan du développement durable.

Reconnaissant l’importance croissante des performances ESG non seulement pour son activité, mais aussi pour la réussite de ses clients, SAP fait du pilotage et du reporting holistique un domaine d’action essentiel. Grâce à son programme Climate 21 et à d’autres programmes axés, par exemple, sur l’économie circulaire, SAP propose des offres qui aident ses clients à améliorer leurs propres performances en matière de développement durable. Le rapport interne de SAP reflète sa conviction que les entreprises peuvent mesurer leur succès de manière plus globale grâce à de nouvelles pratiques comptables qui relient les impacts économiques, sociaux et environnementaux. SAP a également rejoint des initiatives internationales telles que celles de la Value Balancing Alliance e.V. et des initiatives locales telles que QuartaVista, un projet financé par le gouvernement allemand qui vise à standardiser les mesures générales de l’impact des entreprises.

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Source de l’article sur sap.com

L’éthique est au cœur de la démarche IT de la MAIF. Robotiser les processus, oui, à condition que cela soit bénéfique aux sociétaires, aux collaborateurs, ainsi qu’aux performances et aux engagements sociaux de l’entreprise. À ce jour, une quinzaine de robots ont été déployés avec succès.

La MAIF est un assureur à part. Capitalisant sur ses valeurs mutualistes et sociales, la MAIF est financièrement solide, a décroché 16 fois le Podium de la relation client pour le secteur de l’assurance, tout en restant le seul assureur à faire partie des 50 entreprises les plus admirées des Français (IFOP – JDD – Nov 2019). Un impressionnant palmarès, mais qui ne doit pas faire oublier les questions d’efficacité opérationnelle. Un élément clé de satisfaction des sociétaires.

C’est en 2017 que la MAIF s’est penchée sur les technologies de RPA (Robotic Process Automation). Après une première expérimentation, l’assureur a compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette technologie. Suite à appel d’offre, la solution de SAP a été choisie et déployée en 2018.

« Nous répondons aux sollicitations des métiers, qui expriment leurs besoins et décrivent une solution d’automatisation. Après étude du projet, le RPA est souvent préconisé pour répondre à ces demandes, car il est souple, facile à mettre en œuvre, avec un budget restreint » explique Jocelyn Paris, Chargé d’étude des systèmes d’information à la MAIF.

Avec le RPA, il n’est pas nécessaire de développer de nouvelles applications dans l’environnement MAIF : le robot va tout simplement reproduire des actions utilisateur. Ce qui est à la fois rapide et peu coûteux. Une quinzaine de robots sont aujourd’hui en production.

Une aide précieuse pour le service contrats

Les assureurs ont une responsabilité d’évaluation du niveau de risque de chaque assuré. Plusieurs fois par an, la MAIF fait ainsi ressortir les situations en alerte. Toutefois, un tiers de ces alertes peuvent être écartées selon des règles spécifiques et sans qu’il soit nécessaire de se mettre en relation avec l’assuré. Ce travail fastidieux peut être confié à un robot, libérant ainsi du temps pour les collaborateurs. Mis en place en un peu plus d’un mois, ce robot est un succès et se charge de sortir les fiches pouvant l’être de façon automatique.

Lors du batch d’avril 2020, les collaborateurs n’ont pas pu avoir un accès direct aux fiches papier. Le robot a donc été modifié pour reporter l’ensemble des fiches au prochain batch de septembre. Les services en charge d’imprimer et de traiter ces fiches ont été soulagés d’une tâche difficile à mettre en œuvre en télétravail. Les processus de RPA ont ainsi montré leur capacité à s’adapter rapidement à une nouvelle situation.

« Nous avons démarré avec un premier robot chargé de faciliter la régularisation des situations comptables de certains de nos assurés. Sur 15.000 cas recensés par an, 8000 à 9000 sont maintenant traités par ce robot, soit 1500 heures gagnées, témoigne Magalie Vincent, Responsable d’équipe au service contrats. Un nouveau robot, déployé en janvier 2020, aide à traiter les fiches d’observation de la sinistralité. Sur 8000 fiches, le robot a pu en écarter 2600. Cela simplifie notre travail en nous soulageant d’une tâche chronophage, qui mobilisait jusqu’à 15 collaborateurs. Nous pouvons ainsi nous pencher sur les cas les plus intéressants et nous recentrer sur notre rôle d’analyse du risque. »

Notez qu’une phase d’ajustement des critères d’action de ce nouveau robot devrait lui permettre de prendre en charge un plus grand nombre de dossiers.

Une accélération des rapprochements bancaires

Il est parfois difficile d’effectuer des rapprochements entre les paiements reçus et les contrats des assurés. Chaque jour, des centaines de règlements ne sont pas rattachés automatiquement au compte d’un sociétaire. La MAIF dispose d’un outil pour faire ressortir les virements non identifiés et d’un autre pour rechercher des coordonnées bancaires dans les bases de la société. L’affectation au bon sociétaire des fonds reçus sans référence reste toutefois un travail fastidieux.

Le rapprochement entre ces différentes bases de données est une tâche qui peut être en grande partie automatisée. Le robot se charge de prendre la référence d’un paiement dans le premier outil et de rechercher à qui il pourrait correspondre dans le second. Le service de la gestion économique dispose ainsi de plus de temps pour se pencher sur des dossiers complexes.

« Le robot nous aide dans ce travail fastidieux, long et très répétitif, confirme Sylvie Carasco, Chargée de gestion comptable, service comptabilité assurance et réassurance. Il est capable de rechercher simultanément dans plusieurs bases de données suivant des critères comme le nom ou l’IBAN, et de trouver un ou plusieurs sociétaires pouvant correspondre. Le travail de recherche est ainsi défriché, ce qui permet d’accélérer la clôture de chaque dossier. Ce robot est d’une aide précieuse, en particulier lors des périodes d’échéances annuelles, où 500 à 600 recherches doivent être effectuées chaque jour, occupant de 7 à 8 personnes à temps plein. »

Là encore, ce robot s’est montré particulièrement utile pendant la crise du Covid-19. Avec un taux de réussite de 80 %, il remplit ses objectifs. L’amélioration continue des critères d’action du robot devrait encore augmenter son efficacité.

Et des dizaines d’autres projets en préparation…

Le service qui gère les conventions automobiles en est déjà à trois robots déployés et un quatrième en cours de développement. Très intéressé par le RPA, le service conventions réfléchit à d’autres processus que cette technologie pourrait contribuer à automatiser.

« C’est un travail que nous avons mené sur plusieurs années, explique Céline Beunet, Responsable du service conventions. Les robots du service convention adressent des tâches précises : prise en charge d’un évènement non déclaré via l’ouverture d’un dossier et l’envoi d’un courrier au sociétaire ; automatisation du changement d’assureur lorsque le recours a été initialement présenté à la mauvaise partie ; suivi du remboursement du forfait, lorsqu’un recours présenté par une compagnie adverse a été contesté et refusé. Dans ce dernier cas de figure, le robot vérifie dans les échanges informatisés que nous avons bien été remboursés, puis classe le dossier. Ce que j’aime, c’est la possibilité de fixer les conditions d’action du robot et non de lui confier 100 % des processus. Ainsi, dès qu’un cas est litigieux, le gestionnaire reprend automatiquement la main. »

Le premier ROI du RPA est le temps qu’il fait gagner aux équipes. Économique et facile à mettre en œuvre, c’est un outil sans concurrence pour automatiser les processus. « Par rapport au coût d’automatisation d’une chaine logicielle, le RPA revient quasiment 10 fois moins cher, confirme Jocelyn Paris. Mais attention, le ROI est évalué selon quatre axes : la satisfaction des sociétaires ; la satisfaction des collaborateurs ; la performance de l’entreprise ; et l’aspect RSE. On ne veut surtout pas d’un robot qui remplace l’humain, mais d’une technologie qui aide l’humain. »

Maintenant que la plate-forme est en place et accessible largement, les demandes affluent et devraient sans nul doute s’intensifier. « La société française va vers plus de réglementation et d’administratif. Le RPA peut contribuer à atténuer ce phénomène. Si un robot peut s’occuper d’un traitement administratif, c’est aussi bien, car nous préférons que nos collaborateurs se focalisent sur leur cœur de métier : la relation humaine. » L’assureur militant s’engage ainsi au service de la performance comme du bien-être de ses collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

API test is a significant part of a successful Continuous Integration/ DevOps practice. As per Google Trends, the interest in Web/ API services tests has been progressively growing over the few decades. According to SmartBear research over 3,372 software professionals in API test over 2019, 91 percent of participants either presently have, or thinking to have a formal API test procedure in place in the coming future. Around 45 percent of API testers reported that their company already automated 50% or more of test projects. Moreover, by more than 75 percent of companies across industries, API quality is considered a top priority.

With APIs more and more becoming crucial elements for software development, it has become critically essential for programmers and developers to carry out API testing. API test is a procedure that concentrates on identifying whether an API that has been developed meets up the expected threshold concerning security, reliability, performance, and functionality. As these tests are crucially vital, you need to make use of the top API testing tools out there. 

Source de l’article sur DZONE

In the last decade, the finance industry has seen an infusion of cutting-edge technologies like never before. This transformation is largely attributed to many startups that appeared on the scene post 2008 recession and followed a technology-first approach to create financial products and services with a target to improve customer experience. FinTech, as these startups are known, have been the early adopters of the new technologies like Smartphones, Big Data, Machine Learning (ML), Blockchain and were considered the trendsetters that were later followed by more traditional banks and financial institutes.

The recent advancements in machine learning and deep learning has really pushed the boundaries of computer vision and natural language processing. FinTechs are leaving no stones unturned to capitalize on these breakthroughs to improve financial services. As per a report, the ML Fintech market was valued at $7.27 billion in 2019 and it is expected to grow to $35.40 billion by 2025. Statista forecasts that the entire banking industry overall will be able to derive the business value of  $182 billion globally with machine learning by the year 2025.

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