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Le climat économique et social actuel a mis les entreprises de toutes tailles face à des défis inédits. Notre époque n’avait encore jamais connu de tels chamboulements, à la fois internes et externes. Les directeurs et services financiers, qui s’efforcent de bien gouverner leur entreprise, vivent sans doute les moments les plus difficiles de leur carrière.

À l’heure actuelle, le directeur financier et surtout l’équipe de planification et d’analyse financières doivent continuer d’avancer malgré de nombreuses incertitudes, notamment :

  • l’impact des perturbations des canaux de ventes sur le chiffre d’affaires
  • la gestion du flux de trésorerie et des liquidités
  • la gestion des dépenses et la maîtrise des coûts
  • les projections financières optimistes et les conseils basés sur des suppositions floues

Incertitudes et choix à faire

Pour le service de planification et d’analyse financières, ce ne sont pas des questions isolées, mais tout un ensemble de problèmes et de doutes qu’il faut gérer de manière globale. Faut-il puiser dans une ligne de crédit pour préserver la fluidité du fonds de roulement ? Le flux de trésorerie et les liquidités actuels permettront-ils de couvrir les dépenses à court terme ainsi que les initiatives de capital actuelles et à venir ? Peut-on bénéficier des programmes gouvernementaux d’aide salariale ? Que dire aux actionnaires sur les prévisions du solde de l’année ? Existe-t-il des moyens d’aider nos clients à réussir ?

Ces questions se posent aux services financiers, mais aussi à l’ensemble de l’entreprise, dont les différentes équipes se penchent sur les budgets et les tactiques envisageables.

  • Les programmes actuels tiennent-ils compte du marketing ?
  • La chaîne logistique est-elle confrontée à des disruptions ?
  • Quelles sont les conséquences pour la planification de la demande
  • Quelles sont les suggestions des RH concernant les niveaux d’effectifs actuels, et quels effets auront-elles sur les résultats ?

Il faut regrouper tous ces budgets et modèles individuels en une vue unique pour pouvoir comprendre les interdépendances.

Planification d’entreprise collaborative pour éliminer les silos

Un paradigme de planification moderne permettrait de résoudre facilement ces problèmes : la planification d’entreprise collaborative. Elle consiste entre autres à éliminer les silos, et ainsi à relier instantanément toutes sortes de plans. Les finances disposent donc d’un aperçu réel de la santé financière actuelle pour ne prodiguer que les conseils les plus avisés. Par exemple, elles peuvent évaluer l’impact d’un plan commercial sur les campagnes marketing, ou relier un processus S&OP (ventes et opérations) rapproché à un plan financier. Un analyste peut déterminer quel plan d’effectifs pourrait impacter la productivité des collaborateurs et la trésorerie.

Les finances doivent aussi pouvoir prendre des décisions rapides. Grâce à la planification d’entreprise collaborative, le service financier n’est pas tenu de suivre les plans établis. Aujourd’hui, on ne peut plus travailler dans un environnement où les plus mauvais services financiers repoussent les décisions parce qu’ils utilisent des feuilles de calcul et outils de planification obsolètes. Si au contraire ils disposent des technologies adéquates, ils pourront instantanément simuler l’impact de plusieurs scénarios. Les outils d’analyse modernes associés aux outils d’analyse prédictive et au Machine Learning leur permettront de suivre les recommandations pour obtenir les meilleurs résultats. Quant aux tableaux de bord et à la visualisation intégrée, ils offrent aux utilisateurs finaux un reporting en temps réel et une expérience esthétiquement agréable avec un risque d’erreur minimal, contrairement aux feuilles de calcul.

Une discussion instantanée pour une prise de décision rapide

Enfin, la plupart des organisations, y compris les services financiers, ont étendu leur capacité de travail à l’espace virtuel ; elles ne sont plus limitées par les murs de l’entreprise. La planification d’entreprise collaborative encourage la discussion instantanée pendant la planification et la prévision. Les problèmes géopolitiques ont eu des répercussions extraordinaires sur les prix des marchandises. Une situation qui, tout comme les problèmes liés à la pandémie, nécessite une collaboration et un consensus immédiats. Les décisions doivent être prises sans délai, sans le soutien des réunions, messages vocaux ou fils d’e-mails.

Avec la planification d’entreprise collaborative, les services financiers peuvent guider leur entreprise pour l’aider à obtenir les meilleurs résultats et à continuer d’avancer dans le bon sens malgré les difficultés du moment. La planification d’entreprise collaborative permet aux finances de comprendre tous les aspects de leur entreprise, de recommander et d’évaluer divers scénarios, de prendre les bonnes décisions, et de se positionner comme les véritables leaders de l’entreprise.

Pour en savoir plus, lisez ce rapport de Ventana Research intitulé « Planification d’entreprise collaborative : Améliorer la valeur opérationnelle de la planification et de la budgétisation à l’échelle de l’entreprise ».

À propos de Pras Chatterjee

Pras Chatterjee est directeur marketing produits principal pour la planification et l’analyse chez SAP, en particulier pour les solutions SAP Analytics Cloud et SAP Business Planning and Consolidation. Avant de rejoindre le service Marketing produits, Pras était directeur du cabinet SAP EPM et responsable des services SAP Business Analytics en Amérique du Nord. Il a également été architecte de solutions pour SAP, spécialisé dans la planification et les consolidations dans le monde entier. Comptable agréé, Pras a travaillé au service financier de diverses sociétés de logiciels, dont plusieurs entreprises du Fortune 500.

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Source de l’article sur sap.com

La Branche Service-Courrier-Colis (BSCC) du Groupe La Poste s’appuie avec succès sur les solutions SAP BW /4HANA et SAP BI Suite pour répondre aux nouveaux enjeux du marché et réduire son Time To Market. Avec la volonté d’être davantage au service des métiers pour améliorer le service client, cette collaboration s’inscrit dans la transformation numérique de l’activité historique du Groupe La Poste. Cette dernière s’installe et se développe sur de nouveaux secteurs avec la volonté de simplifier la vie de tous et de chacun.

Les technologies SAP pour augmenter la qualité de service IT et client

Le projet, lancé en 2017 avec SAP BW/4HANA, est né de la nécessité de la BSCC de désiloter son organisation en place où chaque business unit était responsable du développement et du choix de ses outils BI. Le projet s’est alors bâti sur 3 grands enjeux :

  • Rationaliser, consolider et gérer l’obsolescence afin de converger vers une solution unique ;
  • Répondre aux enjeux métiers via un reporting opérationnel en temps réel et accélérer le Time To Market dans les projets ;
  • Avoir une vision 360 du cycle de vie de chaque produit passant par les chaînes logistiques de l’entreprise.

Depuis la mise en place des solutions SAP en 2017, la BSCC a uniformisé sa BI avec des outils clés en main pour les collaborateurs opérationnels (20 000 personnes). Tout est désormais centralisé et disponible quasiment instantanément pour être davantage au service des métiers et améliorer le service client.

Les 3 000 directeurs d’établissements sont depuis capables de mieux piloter leur activité, d’être plus réactifs mais aussi plus proactifs grâce à la fiabilité du SI. Enfin, cette nouvelle organisation apporte également une réelle amélioration de l’expérience client final permettant à la BSCC de faire des gains financiers significatifs.

Des coûts de run divisés par 6 et des gains financiers importants sur la partie TMS

La mise en place de SAP BW 4/HANA a permis le déploiement de cartographies mixant data source et volume d’informations, grâce à une plateforme permettant d’absorber de grosses volumétries de données. L’ensemble de ce projet a été mené en mode agile, la méthodologie S@fe ayant été déployée à l’échelle de la BSCC, pour permettre une meilleure flexibilité d’intégration et une meilleure coordination de travail entre les équipes.

Plusieurs projets ont pu voir le jour tel que le projet Osram, permettant de mesurer, analyser, piloter le raccordement qui est au cœur de la supply chain. La dernière version déployée permet d’ores et déjà de simuler la transformation de son réseau industriel qui est un enjeu majeur de la Poste pour améliorer la performance client. Ce projet offre une vision bout en bout de la collecte au dernier geste de distribution, ce qui est totalement disruptif et novateur par rapport au pilotage fait jusqu’à présent.

Enfin, la BSCC a pu améliorer son taux de satisfaction client, en mettant les indicateurs utiles à disposition des collaborateurs suite au déploiement de rampe de flashage permettant de suivre les contenants. L’analyse des fausses directions, une vision factuelle (et non plus déclarée) de l’exécution de ce qui a été planifié dans le contrat de service entre établissement et une meilleure connaissance des flux logistique contribuent à l’optimisation des niveaux de tri.

Eric Brun, Responsable du Socle Connaissance 360, explique : “Depuis la mise en place généralisée des outils SAP, notre coût de run a été divisé par six pour la partie back-end, tout en améliorant le time to market. La solution est fiable, simple et claire, permettant aux équipes de réagir rapidement en cas de problème. Sur le volet transports, l’ensemble du Transport Management System a été repensé pour offrir un outil intuitif permettant de connaître la moindre anomalie ou retard et optimiser le taux de remplissage de chaque camion. Le reporting Atlas Handling permet quant à lui une gestion plus performante et prédictive de notre conteneurisation.  Les gains financiers sont extrêmement importants pour le métier et coté IT le TCO de notre back end divisé par 6 »

De nombreux projets communs à venir

« Nous sortons gagnants de la collaboration avec SAP qui nous apporte un vrai support sur nos enjeux court, moyen et long terme. Les équipes SAP nous nous ont réellement permis d’accélérer notre transformation. Nous travaillons sur une roadmap long terme à 3 ans qui inclut le déploiement d’HANA Enterprise en novembre prochain pour gérer les forts volumes dès janvier 2021 et l’accélération avec SAP Analytics Cloud pour faire du reporting massif et développer de nouveaux cas d’usages autour de la mobilité  », conclut Eric Brun.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

 

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Source de l’article sur sap.com

In today’s look at the latest research for web designers, we’re going to look at studies and reports from Payoneer, Robert Half, Hootsuite, and Contentsquare to see what they have to say about things like:

  • Current freelancer demand
  • Web designer earning potential
  • A change in ecommerce shopping trends
  • Unseen content rates

1. There’s Light At the End of the COVID-19 Tunnel for Freelancers

Payoneer’s The State of Freelancing During COVID-19 had to take a different approach to reporting on the freelancer workforce than in years passed.

Here’s why:

When 1000+ freelancers around the globe were asked how demand for their services changed during COVID-19, this was the response:

Less than 17% of freelancers experienced an increase in demand for their services and less than 23% saw demand remain the same.

An overwhelming majority of freelancers experienced a shrink in demand, with nearly 29% saying it slightly decreased while almost 32% said it greatly decreased.

However, the data collected wasn’t just assessed on a global scale. Payoneer also looked at freelancing demand trends in various parts of the world:

Notice the differences between Asia and Australia (who were hit with COVID-19 earlier) and North America and Europe (where the pandemic arrived a little later).

It appears as though Asian and Australian freelancers are, economically speaking, already starting to feel the effects of recovery from the pandemic with demand working in their favor.

So, if you’re feeling like there’s no end to the hardships you’ve faced during COVID-19, and were considering dropping your prices, hold on for just a little bit longer. Freelancers are starting to feel optimistic about demand for their services increasing. If you go devaluing yourself now, it’ll be hard to return to where you were before COVID-19 when things get back to normal.

2. Robert Half’s Salary Guide Breaks Down the Earning Potential for Web Designers

On a related note, let’s talk about demand from the employer’s point of view.

According to Robert Half’s 2020 Salary Guide for creative marketing professionals, there’s big demand for digital talent:

So, that’s number one. We know that almost 50% of hiring managers feel as though their digital teams are inadequately staffed. That’s good news for web designers.

However, these same managers complain about creative marketing professionals’ lack of up-to-date skills as the biggest barrier to hiring or retaining them. Although the report doesn’t say so, I’m going to assume this refers both to employees as well as contractors.

This should be a no-brainer. By keeping up with the latest web design trends and techniques, you can make top-dollar for your services — and hold onto those valuable client relationships for a long time.

According to the report, this is how much you stand to earn working in web design (in the U.S.) today:

If you’re eyeballing those salaries in the 95th percentile, then you know what you need to do. Hiring managers have spoken up about what’s holding them back from hiring.

For those of you who feel as though you’ve gone as far as you can as a web designer, it might be worth exploring a new specialty. Like one of the following:

As you can see, designers in the UI, UX, and interactive space (along with web developers) have the opportunity to make more money, even earlier on in their careers. You may also find that more job opportunities are available as you move into these niches (because of less competition), which might cut down on any demand issues you’ve been experiencing because of COVID-19.

3. Hootsuite’s Digital 2020 Report Reveals an Interesting Trend in Ecommerce

Hootsuite’s Digital 2020 report is always a great resource for learning about social media marketing trends. That said, that’s not why I read it.

It’s for hidden gems like these:

It’s no surprise that we’re seeing changes in retail and ecommerce during COVID-19. What is a surprise, however, is how consumers’ online shopping habits have changed.

Here’s what we’re seeing when we compare 2020 ecommerce data with the pre-COVID benchmarks:

Site visits are 1.7% lower than expected. That would make sense considering how budget-conscious consumers are right now. It likely keeps them from going on unnecessary shopping sprees.

Session durations are 3.3% lower. This could be related to fewer site visits. It might also indicate greater consumer confidence. If they come to a website with a plan for what they need to buy, they’re going to take a straight line to conversion instead of spending time window shopping that prolongs their session.

The number of transactions is 19.1% higher and the conversion rate is 21.6% higher. Considering shoppers aren’t spending as much time with ecommerce websites, this point suggests that there’s a massive shift happening from in-store shopping to online shopping.

If that’s the case (even if consumers are currently spending less money), that means web designers need to set their sights on the ecommerce space. With the holiday shopping season expected to start sooner rather than later this year, now is the time to get in there and make sure these sites provide as streamlined an experience as possible.

4. Contentsquare Studies the Unseen Content Rates By Industry

Contentsquare analyzed more than 7 billion user sessions globally to create the 2020 Digital Experience Benchmarks report.

There’s some interesting data in here about website traffic and conversion trends, but what I find the most valuable is the breakdown by industry.

It was this chart, in particular, that really caught my eye:

According to Contentsquare’s data, between 60% and 75% of a website’s content is unseen. Some industries fare better than others, like home supplies and luxury retailer websites, but the numbers still aren’t flattering.

For example, what does it mean when consumers miss 75% of a financial service provider’s content?

Does this mean that the financial advisory content — which I’m assuming comprises the bulk of the pages on the site — is useless or irrelevant? Or perhaps it’s an issue of discoverability since blog content and other resources often take a backseat to service and product promotion?

What about ecommerce brands in the apparel or beauty space?

If two-thirds of their pages are unseen, does that mean their websites are overrun with obsolete inventory? Or, again, is it an issue of navigability and discoverability around the store?

As a web designer, I’d suggest performing your own unseen content analysis on the websites you’ve built. If over 60% of your pages never get any views, you’re going to have to decide what to do with them:

Option 1: Fix the navigation or search function so people can actually find these unseen pages.

Option 2: Remove them from the site and make room for content your visitors actually find valuable.

Wrap-Up

As you encounter research and reports online — whether it’s written specifically for web designers or other creative professionals — spend some time looking for hidden gems.

As you can see above, there’s a ton of relevant research for web designers out there, even if it’s hiding behind the mask of a larger issue or matter. And it’s this data that will help you get a leg up on the competition since it’ll get you thinking about your business and your approach to design in different ways.

Source


Source de l’article sur Webdesignerdepot

As you already know, TestNG or Test Next Generation is one of the most frequently used automation testing frameworks in Java. Inspired by JUnit and NUnit, Cedric Beust created TestNG with the idea of covering almost all types of testing models, be it functional or end-to-end. The annotations, functionalities, usability, features, and ease-of-use make TestNG a very popular choice of framework. Listed below are some of the major benefits of using TestNG-

We are moving toward a future where everything is going to be autonomous, fast, and highly efficient. To match the pace of this fast-moving ecosystem, application delivery times will have to be accelerated, but not at the cost of quality. Achieving quality at speed is imperative and therefore quality assurance gets a lot of attention. To fulfill the demands for exceptional quality and faster time to market, automation testing will assume priority. It is becoming necessary for micro, small, and medium-sized enterprises (SMEs) to automate their testing processes. But the most crucial aspect is to choose the right test automation framework. So let’s understand what a test automation framework is.

What Is a Test Automation Framework?

A test automation framework is the scaffolding that is laid to provide an execution environment for the automation test scripts. The framework provides the user with various benefits that help them to develop, execute, and report the automation test scripts efficiently. It is more like a system that was created specifically to automate our tests. In a very simple language, we can say that a framework is a constructive blend of various guidelines, coding standards, concepts, processes, practices, project hierarchies, modularity, reporting mechanism, test data injections, etc. to pillar automation testing. Thus, the user can follow these guidelines while automating applications to take advantage of various productive results.

Source de l’article sur DZONE

En matière de gestion de projet, le Reporting est l’élément fondamental qui permet d’éviter le mur…
Mais c’est surtout l’information la plus délicate à collecter.

Reporting projet

En effet, lorsque mal présenté ou expliqué le Reporting peut être ressenti par les équipes comme une demande de justification du travail fourni.
Alors que l’objectif est d’identifier des écarts entre une organisation prévisionnelle du projet et la réalité de réalisation.

Nous rencontrons alors des scénarios ou la collecte des informations s’apparente plus,  pour le chef de projet, à un parcours du combattant !
Car pour être pertinent, le Reporting doit être collecté simultanément auprès de l’ensemble des ressources, sous forme d’une « photographie » de la situation.

Ce qui dans la phase initiale de mise en place d’une organisation de Reporting, contraint le chef de projet à faire très régulièrement le tour des équipes pour relancer les retardataires et ceux qui ont « oublié » cette tâche.
Il n’est pas rare que ces relances soient à renouveler de très nombreux mois d’affilés, jusqu’à ce que les équipes, soumises à la ténacité du chef de projet, finissent par capituler.

Dans le contexte de projets importants, les flux de Reporting devront être organisés en terme de circuit et d’outils.
Dans ce cas, l’essentiel des apports des outils sera la décentralisation des données de reporting, avant les capacités d’analyse consolidée des informations collectées.

Pour ce qui est du contenu, il est clair que si chaque action de reporting projet réclame des heures de mise en page de documents, les profils opérationnels, généralement peu enclins à formaliser leurs travaux, arriveront vite à saturation de cet exercice et « traîneront les pieds ».
Ce qui fourni peut être un élément de cause à la situation décrite plus haut.

Une seule information de reporting projet est pertinente !

Un projet étant formalisé par le chemin entre le point A (l’existant) et le point B (l’objectif), le chef de projet se doit d’être en permanence tournée vers le point B.
Son métier consiste à suivre, piloter et réorganiser les travaux pour garantir l’atteinte de l’objectif. Il se doit donc de ne pas perdre du vue le point B.
De plus, les événements survenus entre le point A et l’instant présent sont de l’ordre des constats. Plus aucune action ne peut les affecter. Le passé est le passé.
Le chef de projet est un homme d’avenir…

boule de cristalboule de cristal

A partir de cela, obtenir les informations sur le passé n’apportera pas un éclairage nécessaire et suffisant au chef de projet.
Savoir que les travaux ont débutés à l’heure, que le temps de travail réalisé à l’instant présent est conforme au prévisionnel n’a aucun intérêt pendant l’exécution du projet.
Revenir sur l’histoire, le passé, n’a de pertinence uniquement dans un but de rechercher et identifier les causes des incidents et ainsi éviter de les reproduire.
C’est normalement l’analyse qui est réalisée dans une phase de clôture de projet (phase rarement réalisée par ailleurs… mais c’est une autre histoire).

Ce qui veut dire que la seule information qui intéresse le chef de projet ne concerne que des éléments d’avenir.
En l’occurrence le RESTE A FAIRE.

En obtenant le reste à faire pour chaque travaux en cours, le chef de projet peut réévaluer le cas échéant la pertinence du plan prévisionnel.
Il est dans l’amélioration continue (roue de Deming) et peut interagir immédiatement pour atténuer l’impact des situations annoncées.

Finalement, dans ce schéma, le reporting projet ne se résume qu’à une seule information réévaluée sur les seules tâches en cours d’exécution.
Un flux d’information sans superflu et totalement utile et efficace.

 

 

 

Le rôle et la responsabilité d’un chef de projet ou Project Manager est de garantir l’atteinte de l’objectif  dans le respect des contraintes de délais et de budget. Un formalisation de ce périmètre de responsabilité est souvent établie sur la base du triangle QCD (Qualité, Coûts, Délais).
Nous avions abordé l’importance d’une vision partagée de l’objectif au sein de notre article précédent.

En s’appuyant sur le symbole du triangle, nous pourrions scénariser les échanges entre la MOA et le chef de projet selon, bien entendu, une vision initiale différente du périmètre du triangle.

1) La MOA a naturellement tendance à considérer le périmètre du projet sous la forme d’un triangle extrêmement pointu, soit la réalisation de l’objectif ambitieux (Qualité) avec un budget (Coût) des plus réduit et une durée d’obtention (Délai) des plus courtes.

2) Dans la phase d’étude de faisabilité, la responsabilité du chef de projet va être d’évaluer le périmètre réaliste du triangle (avec une base élargie), pour l’amener en superposition avec celui de la MOA et entrer dans une phase de discussion-négociation de moyens.

3) Face à des exigences de respect budgétaire, le chef de projet va aménager le plan projet avec une probable extension de durée de réalisation pour limiter au mieux les appels à la sous-traitance externe.

4) Face à l’expression d’une contrainte de délai de livraison impérative, le chef de projet va organiser le plan projet avec une probable demande de budget complémentaire pour disposer des ressources suffisantes.

5) Face à une double pression temporelle et budgétaire, les discussions amèneront (normalement) la MOA à une révision de l’exigence en terme d’objectif.

6) Le compromis entre la MOA et le chef de projet permettra de définir le périmètre de réalisation du projet et par extension les engagements et le périmètre de responsabilité du chef de projet.

7) Ce dernier aura bien entendu intégré à son étude et négociation une gestion des risques (AMDEC ou autre) puisque ces derniers font partie intégrante de la responsabilité d’un chef de projet dans le pilotage des réalisations qui lui sont confiées.

Triangle QCD animé

 

Cette étape d’évaluation des moyens et de négociation est critique puisqu’elle conditionne les chances d’atteinte de l’objectif du projet.
Le chef de projet dans sa mission de pilotage des réalisations et à partir du REPORTING, devra suivre l’évolution des paramètres QUALITE, COUTS et DELAIS.

A la clôture du projet, la superposition du triangle « réalisé » sur le triangle « prévisionnel » permettra d’évaluer les écarts sur l’objectif.

Tout repose donc sur la capacité du chef de projet à négocier les moyens adaptés à la réalisation.