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Levallois-Perret, le 23 novembre 2020 – SAP France annonce accompagner Team Vitality dans sa digitalisation. Le leader européen de l’esport s’appuie sur les solutions de SAP pour accélérer son développement à l’échelle internationale.

Quand Big Data rime avec esport

Le milieu du sport peut être considéré comme un système complexe où interagissent de nombreux acteurs comme les sportifs, les sponsors, les entraîneurs ou encore les fans. Les objectifs d’un club consistent à la fois à augmenter les performances de ses équipes mais également assurer une rentabilité financière sur le long terme dans un environnement de plus en plus concurrentiel. Ce modèle se vérifie dans des sports très médiatisés et aux forts enjeux business comme dans le football, le basketball, le tennis, etc, mais se confirme aussi dans l’esport dont la croissance et l’attractivité ne font désormais plus aucun doute.

En tant que partenaire d’innovation et d’analyse de données d’organisations sportives professionnelles telles que la NBA, la WTA, Team Liquid et le FC Bayern, SAP intensifie la portée de son offre ERP dans l’esport. Outre la gestion de la performance des joueurs, SAP cherche également à impliquer les fans avec ses technologies innovantes. Intégrant des outils de gestion financière et aussi d’engagement marketing, SAP renforce la compétitivité des équipes esport en accélérant leur transformation numérique. Et pourquoi pas demain s’orienter dans la voie de l’ »Athlète Digital » ?

C’est dans ce contexte que la collaboration est née avec Team Vitality.

Team Vitality, un développement fulgurant

Fondé en 2013, Team Vitality est le plus important représentant français sur la scène internationale de l’esport. Comme dans le sport traditionnel, l’équipe est aujourd’hui devenue une marque à part entière avec plusieurs millions de fans. Avec le temps, Team Vitality a développé un marketing avancé et créé d’importants partenariats avec de grandes marques internationales. Team Vitality, c’est désormais toute une gamme de merchandising qui va des maillots officiels aux accessoires high-tech, en passant par une ligne de vêtements. Son business model s’appuie sur la vente en ligne mais aussi sur des points de vente et des espaces de rencontre avec ses fans qu’il compte décliner dans plusieurs grandes villes en France et en Europe. L’entreprise emploie aujourd’hui une cinquantaine de personnes.

SAP pour structurer sa croissance financière et rassurer ses investisseurs

Pour booster sa croissance, Team Vitality enchaîne les levées de fonds depuis plusieurs années. La marque mise également sur le meilleur des technologies pour gérer efficacement sa croissance, sur SAP pour l’accompagner dans le pilotage financier de son activité et sur APSIA pour l’assister dans cette transformation digitale. Team Vitality s’appuie sur 3 solutions clés de SAP :

  • SAP Business By Design, ERP basé sur le cloud pour optimiser la gestion de la finance, des achats et des stocks.
  • SAP Cloud Platform, plateforme d’intégration et d’extension pour faciliter les échanges avec l’écosystème de l’entreprise.
  • SAP Analytics Cloud, une solution d’analyse augmentée multi-source pour optimiser et accélérer la prise de décision. 

Un pilotage de l’activité facilité

L’utilisation des trois solutions SAP permet à Team Vitality d’optimiser l’ensemble de ses processus. Plus précisément, cinq aspects de la gestion de l’entreprise sont impactés :

  • Un suivi facilité d’éléments clés dans les contrats de partenariats et les contrats fournisseurs.
  • Une gestion des données améliorée : un meilleur tracé des flux grâce à une source d’information unique et fiable permettant ainsi de répondre facilement aux différentes contraintes contractuelles et légales (audit des comptes, RGPD, etc.).
  • L’automatisation de certaines tâches telles que le paiement de certains fournisseurs ou la comptabilisation de certains flux récurrents permettant ainsi un gain de temps considérable.
  • Une meilleure connaissance des flux financiers de l’entreprise dans un contexte de forte croissance du nombre de flux et de développement régulier de nouvelles activités.

« Nous avons plusieurs business models en un : nous faisons de la vente retail via notre site Internet, nous élaborons des contrats marketing avec différentes marques et nous générons également du contenu. Il était donc nécessaire d’avoir plusieurs outils regroupés en une seule interface facile d’accès pour pouvoir gérer l’ensemble de ces activités », explique Sonia Manueco, CFO chez Team Vitality.

Une collaboration sur le long terme

A terme, Team Vitality souhaite pousser encore plus loin l’utilisation des solutions SAP pour ainsi impacter toutes les branches de l’entreprise et l’accompagner dans son développement à l’international. Team Vitality envisage ainsi pour le quatrième trimestre 2020, une interconnexion entre le webshop et les différents flux de l’entreprise permettant d’améliorer la qualité de suivi et d’amélioration des commandes.

« Grâce à SAP, nous avons tous les composants pour aller encore plus loin : nous souhaitons nous améliorer davantage sur le volet opérationnel via l’automatisation de l’ensemble de nos process légaux, qualités ou encore logistiques. L’objectif à long terme est également d’exploiter l’ensemble des datas que nous récupérons sur nos plateformes comme Twitch et Twitter pour pouvoir faire le lien entre les interactions avec nos fans et les achats sur notre webshop », conclut Franck Boniface, COO chez Team Vitality.

 

Contact presse Team Vitality

Valérie Duthey et Maéva Corbel, Le Public Système PR – vitalityrp@lepublicsysteme.fr

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com

 

 

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Source de l’article sur sap.com

Remontée des données en temps réel, connexion des partenaires, mise en place d’un jumeau numérique, industrialisation de la fabrication sont quelques-unes des pistes d’évolution possibles dans le monde de la construction.

« Le monde de la construction se trouve à un point d’inflexion : le numérique va fondamentalement changer les business models, les méthodes et l’économie du secteur » constate Johnny Clemmons, Global Vice President en charge de cette thématique chez SAP. La demande devrait rester soutenue dans les décennies à venir, avec des projets d’une complexité croissante et une pression toujours aussi forte sur les marges.

Les techniques déjà employées dans l’industrie manufacturière peuvent trouver des débouchés dans le secteur de la construction :

• automatisation des tâches répétitives amenant peu de valeur ajoutée ;
• analyses et rapports en temps réel, pour un véritable pilotage de la production ;
• exploitation des données issues des capteurs, afin d’améliorer la prise de décision ;
• introduction de technologies interactives et de robotique.

Des chantiers connectés

Le responsable d’un chantier centralise de nombreuses informations sur l’avancement des travaux, mais souvent au travers d’une saisie manuelle, qui ne sera remontée que plus tard chez le constructeur. Impossible dès lors de piloter les chantiers de façon centralisée, ces données ne pouvant – au mieux – avoir un intérêt que lors d’études à postériori. Autre problème, chaque corps de métier va se charger d’une tâche précise, qu’il gérera souvent en toute indépendance.

Le premier enjeu consiste à casser ces silos, via une remontée des informations en temps réel dans l’ERP, ce qui ouvrira la voie à un pilotage centralisé des chantiers. L’amélioration de la collaboration entre les différents intervenants permettra également de créer de nouvelles synergies. L’équipe en charge des approvisionnements, les architectes, les ingénieurs et le donneur d’ordres pourront ainsi trouver des voies d’optimisation. Par exemple en proposant des structures plus modulaires, adaptées à l’utilisation de blocs préfabriqués, qui permettront – au travers de l’automatisation – d’améliorer la productivité, les coûts et la qualité.

Des partenaires connectés

À moyen terme, la Modélisation des Informations du Bâtiment (BIM, pour Building Information Modeling) promet de mieux gérer la construction d’un ouvrage, au travers d’un modèle unique du bâtiment, d’un processus de gestion basé sur la donnée, mais aussi de logiciels dédiés. Une approche qui n’est pas sans rappeler les systèmes de pilotage de la production (MES, pour Manufacturing Execution System) qui se démocratisent dans l’industrie.

Les intervenants vont pouvoir s’appuyer sur ce modèle pour synchroniser leurs efforts avec le maximum d’efficacité. Des technologies comme le rendu 2D/3D ou les jumeaux numériques renforceront cette démarche en optimisant la construction et en améliorant la prise de décision.

Du fait d’une remontée des informations en temps réel, il sera également possible de suivre les progrès d’un chantier en direct et donc l’évolution des coûts et marges. Avec comme bénéfice pour les contractants d’être payés plus rapidement lorsque leurs missions sont achevées.

Le prédictif en ligne de mire

Remontée de données en temps réel et mise en place d’un jumeau numérique sont les deux éléments clés pour aller au-delà de l’analyse traditionnelle et aborder le sujet du prédictif.

L’Internet des Objets est également une voie pour le prédictif. Connectés, les équipements des chantiers de construction font remonter des informations aux constructeurs. Un moyen d’améliorer la maintenance de ces équipements, en assurant leur entretien avant que les pannes ne surviennent. Mais également un moyen d’optimiser leur exploitation. Certains équipements lourds sont d’ores et déjà connectés. Une opportunité pour les entreprises souhaitant démarrer leur digitalisation par un projet simple, au ROI immédiatement mesurable.

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Source de l’article sur sap.com

Comment améliorer, contrôler et automatiser ses processus ? L’utilisation de SAP Cloud Platform permet aux entreprises d’atteindre leurs objectifs de Process Excellence.

Une connaissance fine des processus et la capacité à les améliorer en continu sont les clés de l’excellence opérationnelle de l’entreprise. Ceci nécessite agilité, collaboration, automatisation et intelligence dans les processus.

Cet objectif d’excellence des processus peut être atteint au travers d’un cycle comprenant quatre étapes :

  1. compréhension des processus ;
  2. amélioration des processus ;
  3. automatisation des processus ;
  4. surveillance et ajustement des processus.

« Il est essentiel de comprendre les processus existants, avant de pouvoir les améliorer et en tirer plus de valeur », résume Olivier Enault, Presales for Information & Process Excellence, SAP France. La première phase consiste donc à découvrir les processus au travers de la technologie Process Mining de Celonis, qui va les détecter et les analyser.

Redessiner les processus avec SAP Cloud Platform Workflow

SAP Cloud Platform Workflow va permettre de créer ou redéfinir des processus, de façon transparente et simple. « SAP Cloud Platform Workflow propose un moteur complet de design et d’orchestration des workflows, explique Laurent Rieu, Business Development Director EMEA, SAP. Il permet de digitaliser des processus précédemment basés sur des opérations manuelles (par exemple des échanges de mails) et de les orchestrer de manière rigoureuse. »

L’exemple type de processus RH est l’arrivée d’un nouvel employé. En liaison avec le SI, le processus va enchainer des actions, combinant des règles métiers prédéfinies et des tâches effectuées manuellement. Un premier manager va par exemple vérifier que le coach et le matériel assigné à l’employé sont les bons. Un second va se charger d’organiser le déplacement du nouvel employé, lié à sa formation, etc. Et en fin de chaine, il sera possible de collecter l’expérience utilisateur au travers de l’offre Qualtrics, afin d’améliorer encore ce processus.

Automatiser les processus avec SAP Intelligent RPA

Toutes les tâches sans valeur ajoutée sont ensuite automatisées au travers de SAP Intelligent Robotic Process Automation. « Lancés par les utilisateurs ou déclenchés automatiquement suivant un évènement donné, les robots proposent un ROI très rapide, témoigne Laurent Rieu. Les projets de RPA sont courts (quelques semaines) et libèrent immédiatement du temps pour les collaborateurs de l’entreprise. »

L’objectif n’est pas d’éliminer l’humain de l’équation, mais d’automatiser tout ce qui peut l’être. Selon les cas, les processus seront donc entièrement automatisés (sous la supervision d’un responsable) ou partiellement automatisés, les robots servant alors de lien et de support aux différents intervenants.

Déploiement et surveillance assurés par SAP Cloud Platform

Les processus sont déployés par la suite sur SAP Cloud Platform. Le monitoring est alors pris en charge par SAP Cloud Platform Process Visibility. Cet outil offre une vue en temps réel des processus et de leurs instances et fait remonter immédiatement les informations sous la forme d’indicateurs de performance destinés aux utilisateurs métier. Ainsi, des tableaux de bords permettent d’identifier rapidement tout incident ou ralentissement.

Les informations fournies par SAP Cloud Platform Process Visibility serviront de base à un nouveau cycle d’amélioration et d’automatisation des processus. C’est cette boucle d’amélioration continue qui permettra d’atteindre l’objectif d’excellence des processus.

Accélérer la mise en œuvre des projets de digitalisation et d’automatisation des processus

Maintenant que la proposition de valeur des activités de digitalisation et d’automatisation des processus est claire, la question importante reste la suivante : « Comment accélérer la réalisation de tels projets ? ».

SAP Cloud Platform ne se contente pas de fournir les briques technologiques pour implémenter ces scénarios de digitalisation et d’automatisation des processus. Nous allons plus loin et proposons des modèles complets de processus, de robots d’automatisation et de tableaux de bord de pilotage prêts à l’emploi pour permettre de simplifier la mise en œuvre rapide de tels scénarios, tout en fournissant la flexibilité requise pour assurer l’adéquation entre ces modèles et les besoins de nos clients.

Vous trouverez ainsi une collection grandissante de robots d’automatisation prédéfinis sur notre site en ligne Intelligent RPA Store

Vous trouverez également un ensemble de modèles de processus et de tableaux de bord sur notre site API Business Hub

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Source de l’article sur sap.com

La Branche Service-Courrier-Colis (BSCC) du Groupe La Poste s’appuie avec succès sur les solutions SAP BW /4HANA et SAP BI Suite pour répondre aux nouveaux enjeux du marché et réduire son Time To Market. Avec la volonté d’être davantage au service des métiers pour améliorer le service client, cette collaboration s’inscrit dans la transformation numérique de l’activité historique du Groupe La Poste. Cette dernière s’installe et se développe sur de nouveaux secteurs avec la volonté de simplifier la vie de tous et de chacun.

Les technologies SAP pour augmenter la qualité de service IT et client

Le projet, lancé en 2017 avec SAP BW/4HANA, est né de la nécessité de la BSCC de désiloter son organisation en place où chaque business unit était responsable du développement et du choix de ses outils BI. Le projet s’est alors bâti sur 3 grands enjeux :

  • Rationaliser, consolider et gérer l’obsolescence afin de converger vers une solution unique ;
  • Répondre aux enjeux métiers via un reporting opérationnel en temps réel et accélérer le Time To Market dans les projets ;
  • Avoir une vision 360 du cycle de vie de chaque produit passant par les chaînes logistiques de l’entreprise.

Depuis la mise en place des solutions SAP en 2017, la BSCC a uniformisé sa BI avec des outils clés en main pour les collaborateurs opérationnels (20 000 personnes). Tout est désormais centralisé et disponible quasiment instantanément pour être davantage au service des métiers et améliorer le service client.

Les 3 000 directeurs d’établissements sont depuis capables de mieux piloter leur activité, d’être plus réactifs mais aussi plus proactifs grâce à la fiabilité du SI. Enfin, cette nouvelle organisation apporte également une réelle amélioration de l’expérience client final permettant à la BSCC de faire des gains financiers significatifs.

Des coûts de run divisés par 6 et des gains financiers importants sur la partie TMS

La mise en place de SAP BW 4/HANA a permis le déploiement de cartographies mixant data source et volume d’informations, grâce à une plateforme permettant d’absorber de grosses volumétries de données. L’ensemble de ce projet a été mené en mode agile, la méthodologie S@fe ayant été déployée à l’échelle de la BSCC, pour permettre une meilleure flexibilité d’intégration et une meilleure coordination de travail entre les équipes.

Plusieurs projets ont pu voir le jour tel que le projet Osram, permettant de mesurer, analyser, piloter le raccordement qui est au cœur de la supply chain. La dernière version déployée permet d’ores et déjà de simuler la transformation de son réseau industriel qui est un enjeu majeur de la Poste pour améliorer la performance client. Ce projet offre une vision bout en bout de la collecte au dernier geste de distribution, ce qui est totalement disruptif et novateur par rapport au pilotage fait jusqu’à présent.

Enfin, la BSCC a pu améliorer son taux de satisfaction client, en mettant les indicateurs utiles à disposition des collaborateurs suite au déploiement de rampe de flashage permettant de suivre les contenants. L’analyse des fausses directions, une vision factuelle (et non plus déclarée) de l’exécution de ce qui a été planifié dans le contrat de service entre établissement et une meilleure connaissance des flux logistique contribuent à l’optimisation des niveaux de tri.

Eric Brun, Responsable du Socle Connaissance 360, explique : “Depuis la mise en place généralisée des outils SAP, notre coût de run a été divisé par six pour la partie back-end, tout en améliorant le time to market. La solution est fiable, simple et claire, permettant aux équipes de réagir rapidement en cas de problème. Sur le volet transports, l’ensemble du Transport Management System a été repensé pour offrir un outil intuitif permettant de connaître la moindre anomalie ou retard et optimiser le taux de remplissage de chaque camion. Le reporting Atlas Handling permet quant à lui une gestion plus performante et prédictive de notre conteneurisation.  Les gains financiers sont extrêmement importants pour le métier et coté IT le TCO de notre back end divisé par 6 »

De nombreux projets communs à venir

« Nous sortons gagnants de la collaboration avec SAP qui nous apporte un vrai support sur nos enjeux court, moyen et long terme. Les équipes SAP nous nous ont réellement permis d’accélérer notre transformation. Nous travaillons sur une roadmap long terme à 3 ans qui inclut le déploiement d’HANA Enterprise en novembre prochain pour gérer les forts volumes dès janvier 2021 et l’accélération avec SAP Analytics Cloud pour faire du reporting massif et développer de nouveaux cas d’usages autour de la mobilité  », conclut Eric Brun.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

 

Contacts presse :

Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Sylvain Drillon : 06 44 71 35 68 – presse-sap@publicisconsultants.com

SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

Veuillez tenir compte de notre politique de confidentialité. Si vous avez reçu cette alerte de presse dans votre courriel et que vous souhaitez vous désabonner de notre liste d’envoi, veuillez communiquer avec presse-sap@publicisconsultants.com et écrire Désabonnement dans la ligne Objet.

 

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Source de l’article sur sap.com

Le BIM n’est pas encore une réalité pour les acteurs du monde de la construction. Toutefois, l’innovation n’est pas absente de ce secteur, avec des avancées notables dans la collecte des données et la gestion des équipements lourds.

Augusta Reeves est un spécialiste SAP depuis plus de 20 ans, comptant une dizaine d’années d’expérience dans le secteur de la construction. Il propose la solution métier Fit2 Construction, qui couvre les aspects suivants : devis, commandes, facturation, planification et gestion des chantiers, avec un suivi de l’avancement des travaux assuré en temps réel. Le tout s’appuie sur des technologies SAP.

Pour André Baveux, Président d’Augusta Reeves, « le secteur de la construction est celui qui a le moins gagné en productivité ces dernières années, car il souffre structurellement de marges faibles ». Les nouvelles exigences réglementaires sur la gestion des déchets et des plans comme BIM 2022 n’arrivent pas encore à faire bouger les lignes. Plus que pousser les entreprises dans la bonne direction, ces actions sont en effet vues comme des contraintes supplémentaires sur un marché pourtant déjà en tension.

Toutefois les grands groupes du secteur, qui ont une rentabilité supérieure aux autres acteurs du marché, mènent une veille technologique active.

1re rupture : les smartphones

Pour innover dans le secteur de la construction, il est impératif de proposer des solutions qui ne demanderont pas d’investissement important et qui proposeront un ROI immédiat et net.

La première rupture détectée par Augusta Reeves vient des téléphones mobiles. Les chefs de chantier et chefs d’équipe sont tous équipés de smartphones. « Un outil idéal pour de la collecte de données, analyse André Baveux. Les smartphones proposent aujourd’hui des écrans suffisamment grands pour de la saisie de données, sans être aussi fragiles que les tablettes. »

Il est impératif toutefois de créer des solutions dont l’ergonomie est adaptée à la taille d’écran des smartphones. Et qui sont utilisables par des personnes peu à l’aise avec la technologie et disposant d’un temps limité. « Il faut que la collecte soit ciblée et simple. Par exemple une saisie de temps, ou l’avancement d’une tâche. »

Cette saisie sur smartphone va permettre une collecte de données en temps réel et au plus près du terrain. Auparavant, les chefs de chantier rassemblaient les informations dans un tableau, saisi par la suite en agence et remonté à la société une fois par semaine, voire une fois par mois. Avec des données remontées immédiatement dans le SI de l’entreprise, il est possible de gérer les travaux et coûts en temps réel, tout en simplifiant la tâche du chef de chantier. Analysées, ces données pourront servir à effectuer du pilotage.

2de rupture : les équipements connectés

Autre voie de progrès ne nécessitant pas un investissement massif : l’exploitation des données issues des équipements lourds présents sur les chantiers, comme les bulldozers par exemple.

Les constructeurs connectent aujourd’hui ces équipements en 3G, afin de faire remonter des données sur le taux d’utilisation, les pannes rencontrées, etc. Plusieurs startups proposent des connecteurs permettant aux entreprises de récupérer et exploiter ces données. Il devient ainsi possible de savoir en temps réel où se trouve un engin de chantier, s’il est en cours d’utilisation ou non, et – lorsqu’il est en panne – quel code panne ressort.

Sans avoir à investir massivement, il est donc possible d’exploiter ces données afin d’optimiser le taux de réservation des engins de chantier et leurs cycles de maintenance. Avec quelques technologies complémentaires, la maintenance préventive pourra même se transformer en maintenance prédictive, avec la promesse de bénéfices encore plus importants.

« Le secteur de la construction est longtemps resté sinistré en matière de numérique. De nouveaux SI sont en cours de mise au point, avec des pratiques qui se diffusent, comme le guidage GPS ou les plans électroniques. Ces techniques sont rapidement adoptées, car elles permettent des gains de productivité rapide, résume André Baveux. La révolution numérique est en cours dans le secteur de la construction, mais elle se veut avant tout pragmatique. »

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Source de l’article sur sap.com

Levallois, le 15 juillet 2020 – SAP France annonce qu’Adveo, l’un des leader européen en matériel de bureau, matériel scolaire et fournitures, utilise la solution d’ecommerce SAP Commerce pour renforcer sa croissance. Avec 345 collaborateurs et un réseau de 1500 distributeurs indépendants dont une grande partie regroupée autour des trois enseignes CALIPAGE, Plein Ciel et Buro+ répartis entre la France et le Benelux, l’entreprise rencontrait plusieurs challenges : l’évolution de la demande des professionnels et du grand public, le développement du e-commerce, et, plus récemment, la crise du Covid-19.

Pour répondre à ses nouveaux enjeux, Adveo a massivement investi dans le numérique pour renforcer son expérience réseau et client final. L’objectif : améliorer la traçabilité des produits, faciliter les échanges d’informations avec son réseau, mise en place de contenus et de solutions au service de ses distributeurs pour développer l’e-commerce en parallèle des points de vente physiques… Pour gagner en agilité sur l’e-commerce, l’entreprise a misé sur la solution SAP Commerce hébergée sur le cloud Microsoft Azure et intégrée par Delaware. Le déploiement a été effectué en un temps record entre mars et mai 2020, en pleine crise sanitaire.

Gagner en agilité pour booster la croissance

En quelques années, Adveo est passée d’une offre traditionnelle (papiers, stylos, archivage, impression…), à une offre élargie couvrant les besoins des professionnels et du grand public. L’entreprise est passée en quelques années de 10 000 à 25 000 références et ambitionne d’atteindre 45 000 d’ici fin 2022.

« SAP Commerce est un choix stratégique de croissance misant sur une plus grande flexibilité pour nous adapter rapidement aux évolutions de la demande, à la transformation du commerce et ainsi réduire le time to market des nouvelles offres ou encore tracer de nouveaux flux logistiques », explique Philippe Guillotin, président d’Adveo.

Adapter l’offre pour dynamiser les ventes en pleine crise sanitaire

« Le déploiement de la solution nous a ainsi permis d’être extrêmement réactifs pendant la période de confinement et de créer rapidement des gammes spécifiques (plexiglas, masques et gels hydroalcooliques) pour répondre aux besoins liées au Covid-19 en référençant rapidement plusieurs centaines de distributeurs. Elle nous a permis de répondre aux problématiques logistiques liées à l’augmentation de la demande sur certaines gamme de produits », ajoute Philippe Guillotin.

Adveo simplifie ainsi son activité, avec le développement de ventes profitables pour les distributeurs, et une vraie bonne expérience d’achat pour le client final.

SAP Commerce pour plus de flexibilité et de réactivité

L’hébergement sur le cloud nous a permis d’intégrer rapidement la solution au sein de l’entreprise et d’extraire facilement les données pour les transférer de notre ancienne plateforme vers SAP Commerce. Plus des deux tiers du projet se sont déroulés pendant le confinement, et nous n’avons rencontré aucune difficulté d’accès à la solution. Le cloud nous apporte une flexibilité et une forme de garantie de fonctionnement : nous n’avons aucune limite de capacité », explique Alexandre Rochereau, DSI d’Adveo. « Combinée avec l’ERP SAP, nous disposons d’une solution complète, intégrée et automatisée qui nous a permis d’éliminer de nombreuses contraintes manuelles. »

Créer de nouvelles expériences

Avec la nouvelle version de SAP commerce, Adveo a pu enrichir l’expérience interne, améliorant le pilotage et facilitant la publication des nouvelles références sur leur solution logistique, directement intégrée à la solution SAP. Les utilisateurs sont devenus responsables de leur catalogue et peuvent publier eux même les nouveaux produits grâce à une ergonomie optimisée, leur permettant de réduire les dépenses liées à l’intervention d’experts IT.

Enfin, SAP Commerce a permis à Adveo d’atteindre son objectif de devenir conforme avec les nouvelles normes RGPD, assurant ainsi la confidentialité des données des 1 500 distributeurs de l’entreprise. A court terme l’entreprise va généraliser les échanges digitaux avec ses fournisseurs et déployer de nouvelles solutions d’e-procurement au service de l’ensemble de ses distributeurs.

À propos de SAP

SAP est le leader du marché des applications d’entreprise : 77% des transactions financières mondiales passent par un système SAP. L’entreprise accompagne les organisations de toute taille et de tout secteur à mieux opérer. Nos technologies de machine learning, d’Internet des objets (IoT), d’analytique avancée et de gestion de l’expérience aident nos clients à transformer leur activité en « entreprise intelligente ». SAP dote les professionnels d’une vision approfondie sur leur activité et favorise la collaboration pour garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Pour les entreprises, nous simplifions la technologie afin qu’elles puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications de bout en bout et nos services permettent à plus de 440 000 clients d’opérer de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’information, visitez le site www.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

SAP propose depuis une quinzaine d’années une solution de gestion d’entrepôt appelée SAP Extended Warehouse Management, qui s’est enrichie pour répondre aux besoins des clients, quel que soit l’industrie ou le marché adressé : gestion avancée des vagues, mobilité, pilotage intégré de la mécanisation, Labor Management, pré colisage, intégration avec la production … Le tout dans une approche ‘Digital Supply Chain of One’, visant à fournir à nos clients une chaine logistique agile, unifiée et ‘end to end’.

Dans cette démarche d’amélioration et d’innovation continue, un nouveau module a vu le jour l’année dernière pour apporter un niveau supplémentaire d’optimisation aux clients qui le souhaitent.

SAP Warehouse Insights est un module basé sur la plateforme SCP (SAP Cloud Platform), et dédié à l’optimisation des entrepôts et de leurs ressources. Basé sur les dernières technologies : algorithmes, cloud computing et machine learning, cet outil complète les fonctions déjà avancées de la solution SAP Extended Warehouse Management. Les principaux domaines sont : la cartographie des entrepôts, des fonctions supplémentaires d’analyses et de monitoring de KPIs, la simulation de l’utilisation des ressources, et l’optimisation en temps réel.

SAP Warehouse Insights a été conçu pour tout type de clients et d’industries. Il apporte un niveau ultime dans l’optimisation des ressources et des missions en proposant les meilleurs scénarios possibles. Si le module s’enrichit en permanence de nouvelles fonctions, à ce jour il faut retenir 3 principaux sujets :

  • Visualisation dynamique de la cartographie entrepôt et des parcours des opérateurs,
  • Analyse des opérations, basées sur les données historiques comme la charge de travail et les distances de déplacement des ressources,
  • Optimisation / ré optimisation des missions (Warehouse Orders) affectées aux ressources pour réduire les déplacements à vide.

 

Cartographie entrepôt

Les utilisateurs peuvent interroger la cartographie d’un site de façon dynamique et interactive. Cela se traduit par une visualisation précise et aisée des différentes zones, avec la capacité d’aller jusqu’à la granularité la plus fine  (emplacement), et de s’assurer de l’adéquation de la configuration avec les besoins du terrain, ainsi qu’aux fonctions d’optimisation des déplacements.

Exemple d’écran de visualisation de différents types de zones de stockage :

‘Travel distance Network’ : Configuration simplifiée des chemins

La configuration des chemins est utilisée pour l’optimisation des déplacements. Les utilisateurs peuvent visualiser rapidement sur la carte, la complétude et la bonne configuration des chemins et segments paramétrés. En cas de rupture ou de mauvaise configuration, il est alors aisé de ‘réparer’ ou créer de nouvelles connexions à partir des nœuds existants. Exemple d’écran :

Configuration assistée

SAP Warehouse Insights facilite par ailleurs la création et la maintenance de la cartographie des sites. Il est possible d’importer des plans ‘CAD’ (Computer Aided Design) sous format PDF et de les utiliser directement dans le système. L’opérateur va ensuite pouvoir enrichir les informations avec les données ‘business’ comme les allées ou types de stockage. Le système va alors automatiquement propager ces paramètres de configuration sur les emplacements éligibles.

Exemple d’écran :

Fonctions de simulation

Cette première approche repose sur une optimisation ‘Off Line’. Il s’agit d’utiliser les données historiques pour comprendre et remédier à une situation insatisfaisante. SAP Warehouse Insights va ainsi utiliser les missions (Warehouse orders) et les ressources dans un processus avancé de simulation, pour proposer des scénarios réoptimisés, visant à limiter les déplacements, le nombre de ressource et par conséquent permettre une meilleure productivité tout en réduisant les couts d’exécution.

Le système offre une représentation simple et claire des gains potentiels d’optimisation, à travers une représentation des déplacements modélisés et comparables en un simple coup d’œil (avant optimisation / après optimisation).

Exemple d’écran de visualisation et comparaison des chemins :

Heatmap intégrée

SAP Warehouse Insights propose également une fonction de heatmap, très utile à l’analyse des flux dans l’entrepôt et à l’identification des goulets d’étranglement au sein d’une zone, d’une allée ou d’une gare de préparation. La ‘chaleur’ est déterminée en fonction du nombre de tâches réalisées sur chaque emplacement.

Exemple d’écran :

Optimisation temps réel et continue

Le processus de ré optimisation présenté plus haut est alors réalisé en temps réel, avec la possibilité de configurer des règles différentes en fonction par exemple des types de flux ou zones.

Exemple d’écran de configuration :

Principe de fonctionnement :

Les Missions ‘ouvertes’ sont récupérées et traitées en lien avec le système de destination, comme SAP EWM, à une fréquence configurable (ex : toutes les 10 minutes).

La ré optimisation des missions et des ressources associées est alors réalisée et une nouvelle séquence est déterminée suivant les critères souhaités d’optimisation des déplacements ou de dates/heures « au plus tard ».

Les missions ré optimisées sont ensuite remontées vers le système de destination pour exécution par les opérateurs en mode ‘dirigé’ par le système.

Un écran de monitoring permet également de suivre et visualiser les résultats de l’optimisation proposée par le système, avec notamment pour chaque ressource les missions associées, séquences, trajet à vide et en charge … Exemple d’écran :

Indicateurs de performance

En complément, SAP Warehouse Insights inclut des indicateurs offrant une vue analytique sur les opérations et la performance :

  • Utilisation par ressources
  • Charge par groupes de ressources
  • Charge des ressources par groupes de missions (‘queues’)
  • Temps de déplacements à vides par type de ressources
  • Temps total de déplacement par ressource

Exemple d’écran de consultation des opérations en entrepôt

The post Nouveaux enjeux d’agilité et d’excellence opérationnelle : vers l’entrepôt 4.0 appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

La DSI d’un Grand Groupe industriel devait se réapproprier ses objectifs, renouveler ses compétences, revaloriser son image, récupérer une crédibilité et la confiance des métiers (les Clients internes et Fournisseurs externes).
Dans le cadre de cette démarche, je suis intervenue auprès de son équipe pour définir et mettre place une méthodologie en pilotage de projet et conduite du changement, puis en fournir les outils métiers.

Il s’agissait d’outiller les Chefs de projets de façon professionnelle (« best practice ») et complète.

J’ai mené une première phase d’observation de l’équipe de Chefs de projets, de ses modes de fonctionnement, de sa charge de travail, des périmètres de ses projets, du type de sujets traités par ses projets.

Ensuite, je me suis attachée à collecter et étudier l’éventuel existant, au vu de quelques échos reçus par certains Chefs de projets.
En effet, un grand Cabinet de la place avait fourni une base de 130 documents ; documents et guide diffusés en masse sur l’intranet de l’entreprise.
Ce référentiel non personnalisé, pensé sur une base « standard », sans accompagnement, n’a donc pas obtenu d’adhésion.
Contenant et contenu donnaient lieu à une certaine répulsion des équipes dans leur exploitation opérationnelle.

un régime administratif du framework méthodologique serait judicieux

Framework méthodologique

 

En troisième lieu, je me suis appuyée sur mes propres livrables, éprouvés par les pilotages de projets antérieurs. Cela représente une approche de type knowledge management.

Après une analyse réalisée sur ces trois phases, j’ai fait le choix de sélectionner certains de mes livrables en propre, car ils trouvaient leur place ainsi. Puis, j’ai amélioré d’autres documents de mon référentiel ou ceux issus de la livraison initiale du Cabinet.
L’ensemble fut adapté aux observations et attentes notées en première étape, puis mis à disposition accompagné d’un bref guide d’utilisation (1 slide). Les modèles de livrables ont été marqués de signalétiques ludiques, pour permettre une appropriation rapide et simple.

Le bénéfice tiré… les métiers ont pu exprimer leur besoin en systèmes d’informations corporate ou dédiés métier, d’une façon assez professionnelle pour permettre à la DSI de traiter correctement les demandes des Clients internes.
Les Chefs de projets ont rapidement pris possession des modèles pour les exploiter.

Lean Office et rendu assez pragmatique, qui a réduit le référentiel projet de 130 à 30 modèles de livrables.

L’optimisation de la démarche est apparue sous la forme de :

  • une préconisation d’axes d’améliorations, transmis à la DSI centrale sur les documents qu’elle détenait en termes de pilotage d’un projet et d’une conduite du changement.
  • un coaching des Chefs de projets, au comportement à adopter en cas de difficultés et dérives. Cette sensibilisation a fait l’objet d’un support sous la formalisation d’un guide, reprenant une approche Lean Office adaptée, et une liste de livrables structurée selon les étapes et phases d’un projet, suivie d’un Glossaire des signalétiques utilisées.

A retenir…

Dans le monde technique des « système d’information », il est recommandé de respecter les « standards » pour des raisons principalement de coûts et de maintenabilité.
Lorsqu’on aborde les processus et les modes de fonctionnement, il est nécessaire de répondre de façon personnalisée et pragmatique avec une touche de créativité.
Ainsi,

  • l’adhésion est plus facilement obtenue ;
  • il est plus aisé d’emmener tout le monde vers l’objectif ;
  • les gains sont réels ;
  • l’existant est optimisé.

Pour ce faire, le diagnostic « terrain » (en rappel au « Gemba » – méthode TPS) et préalable couvre une étape importante.

Copier-coller l’intégralité d’un framework méthodologique n’est pas gage d’efficacité.
Ecoute, adaptation et personnalisation : les composants d’une mission de conseil réussie…

 

Sandrine
Consultante Ankaa Engineering®
Professionnelle de 20 ans en Management de la fonction Achat et en Conseil organisationnel et de transformation, Sandrine a travaillé au sein d’environnements multiculturels, aux côtés d’équipes pluridisciplinaires.
Elle a exercé aussi bien auprès de grands Groupes que de PME-PMI, lui permettant ainsi d’approcher des problématiques différentes, des modes de fonctionnement hétérogènes, des circuits de décisions variés, des priorités et enjeux originaux.
Le parcours à dominante industrielle de Sandrine, lui a donné la possibilité de développer certaines compétences dont quelques-unes la distinguent ; telles qu’une double compétence métier, une bonne capacité d’adaptation, un fort sens du résultat et du service, une grande pratique de méthodes et outils métiers.
Ses domaines de prédilection :

  • Strategies achats – Optimisation de processus – Organisation – Methode
  • Sourcing, negociation, contractualisation
  • Pilotage de projets et changements – Evaluation sous KPI
  • Perimetres internationaux, Gestion simultanee, Management transverse

Petit mémento pour chef de projet stressé ou 10 rappels pour une conduite de changement efficace.

Clarification et partage d’objectif

Une règle d’or à appliquer, y compris si l’on a défini de travailler avec agilité, est la clarification et le partage de l’objectif.
Pour que tous les acteurs du projet rament dans le même sens en direction du coeur de la cible définie, il est impératif d’avoir identifié le résultat recherché et de l’avoir présenté et partagé au sein de l’équipe projet.
Tout changement de cap devra déclencher une nouvelle coordination des acteurs sur la cible, le processus et le délai.

Identifier la roadmap

Il est impératif que le processus choisi pour aller du point A au point B soit clairement choisi et officialisé auprès des acteurs.
La roadmap du projet a posé les règles de pré-requis entre les tâches et a donc positionné dans l’espace temps des enchaînements de travaux.
Tout ne se fait pas en même temps, les réalisations nécessitent le respect d’une « recette de cuisine » où chaque action a sa justification pour la suite des opérations.

Acteurs directs et indirects

Qui fait quoi quand.
Pour chaque travail à réaliser il est nécessaire d’identifier quelle personne ou équipe dispose de la meilleure compétence pour garantir une réalisation conforme aux exigences de qualité, de maîtrise des délais et de coûts.
Cet inventaire permettra de définir la cartographie des acteurs directs du projet.
En management de projets transverses, l’affectation des acteurs directs amène à des négociations de disponibilité de ressources puisque ces dernières ne sont pas dédiées au projet.
Au delà des acteurs directs, chaque entité concernée ou impactée doit être identifiée (clients externes, autres services, etc).
Le plan de communication sera défini selon la cartographie obtenue des acteurs.
Pour mener cette réflexion de qui fait quoi, une matrice de RACI peut être utilisée.

Impliquer la maîtrise d’ouvrage dans le projet

Le donneur d’ordre (MOA) doit être impliqué à plusieurs niveaux dans la réalisation.
– En amont, dès la clarification d’objectif à atteindre, car la MOA est la seule à pouvoir définir et choisir le cœur de cible (fonctionnalités, design, etc).
– Pendant, afin de participer aux COPIL pour suivre l’avancement et valider des changements de roadmap.
– Pendant encore en déléguant les capacités d’acteurs directs sur les phases de tests, de formation, de recette, …
– En aval, pour ajuster et optimiser les processus métiers au changement

La MOA est bien souvent le sponsor financier du projet et doit être décideur dans les options fonctionnelles, techniques ou de gestion des risques.
Chaque investissement, chaque affectation de ressource, qu’elles soient externes ou internes augmente le coût d’acquisition et dégrade le ROI du projet.

Mettre en place les comités, le reporting et communiquer

Choisir et officialiser les membres du comité de pilotage (COPIL), définir la fréquence de réunion de cette instance de décision auprès de laquelle sera présenté de manière synthétique .
Clarifier auprès des membres la possibilité d’ajout de réunions extraordinaires et spontanées en cas de situation de crise.
Définir la fréquence et le contenu du reporting pour que les informations de la réalisation effective sur le « terrain » viennent se confronter à celles du prévisionnel.
Organiser la fréquence et les modalités des réunions de suivi de projet (COPROJ).
Mails, téléphone, conf-call skype ou Google Hangout mais aussi et surtout réunion en face à face pour évaluer à se juste mesure « la communication non verbale » des acteurs.

Communiquer, coordonner, synchroniser

Informer, communiquer doit être le travail essentiel du chef de projet.
Les acteurs directs doivent eux se concentrer sur la qualité des travaux à mener dans le respect des délais et du budget.
La coordination est l’affaire du chef de projet qui doit animer les COPROJ, assurer la synchronisation des acteurs entre eux, reporter au COPIL et communiquer vers les acteurs indirects selon le plan de communication identifié.

Adaptations, agilité et versioning

Un projet se doit d’être agile et ce pour deux raisons.
1- Le projet dans sa vraie vie ne se déroulera jamais comme prévu.
Les capacités de réadaptation sont donc essentielles pour ajuster l’organisation aux aléas rencontrés.
2- La MOA explicitera bien entendu en cours de projet des besoins impératifs, essentiels, importants, critiques, … d’ajouts non prévus.
L’art de gérer ce type de situation se résume à faire définir la version de rattachement des « add-on » demandés (version en cours ou report au sein de la version suivante).
Ne pas oublier que chaque travail supplémentaire ajouté au périmètre initial du projet a une influence sur la date de fin et le budget.
Accepter des « add-on » au sein de la version en cours sans réviser le périmètre initial du projet augmente le risque de ne pas respecter les engagements de qualité, maîtrise du budget et de respect du délai.

Communication positive

Penser à communiquer sur l’avancement du projet au sein de l’équipe.
Chaque acteur direct a bien souvent « la tête dans le guidon » et ne voit et ne vit QUE les problèmes du projet.
Insuffler une énergie positive en officialisant des passages de jalons importants comme des fin de phase ou d’étape permet à tous de prendre conscience que le projet avance malgré tout.

Accompagner au changement

La livraison d’une solution au client devra être accompagnée d’un plan d’accompagnement au changement.
Simple « flyer » ou dispositif pédagogique complexe et lourd, l’accompagnement au changement n’est pas une option dans un projet.
La réussite d’un projet ne s’appuie pas uniquement sur la maîtrise des processus de conception mais aussi et surtout sur la capacité d’adaptation et d’adhésion des clients par rapport au produit.

Clôturer le projet

Comment gérer efficacement le versioning des évolutions sans effectuer une clôture de projet ?
Cette étape d’évaluation et de mesure des écarts entre le prévu et le réalisé est trop souvent oubliée.
De fait, la version 1.0 du projet perdure dans le temps et le sentiment d’échec lamine peu à peu les équipes.
Tous les acteurs directs ont le sentiment que les clients n’ont pas été satisfaits puisque des demandes de nouvelles évolutions sont incessantes.
Se rappeler alors ce qui composait le périmètre initial de la version 1.0 en terme fonctionnel est primordial car cela va permettre de vérifier si ces besoins ont bien été couverts.
Que les clients demandent de nouvelles adaptations et fonctionnalités est plutôt un signe positif.
Cela sous-entend qu’ils ont assimilé et digéré le fonctionnement de la version 1.0 et en demandent plus.

Fil rouge

Ces 10 points ne sont pas exhaustifs bien sûr.
Ils ne sont que des jalons importants dans la mise en oeuvre d’une conduite du changement.
Mais paradoxalement, tout ou partie de ces éléments sont souvent oubliés par les directions de projet.
Alors, un petit rappel du fil rouge de temps à autre ne fait pas de mal…

 

 

 

La DG devrait savoir qu’on est surbookés !

Le nombre de fois où nous avons entendu cette réaction durant nos missions de conseil est incalculable.
A chaque fois nous avons précisé à notre interlocuteur que non, la DG ne peut pas savoir tant qu’on ne lui dit pas.

En d’autres termes, l’absence de gouvernance de l’activité va amener à un manque de visibilité de la part du monde extérieur.
On ne parle pas ici de développer un système complexe de cubes OLAP et autres Big Data…
Mais seulement d’identifier quelques indicateurs simples qui ne manqueront pas de fournir une lecture de l’activité au monde qui nous entoure.

Exemple d’indicateurs de gouvernance simples

– Nombre de projets en portefeuille
– % de capacité projet de l’équipe
– Nombre d’incident ou nombre d’appel téléphonique reçu
– Nombre de jours de charge engagés sur l’équipe
– etc, etc

 

Thermomètre

Bref, toute indication qui fournisse au monde extérieur la position du curseur relatif à l’activité de l’équipe.

Sur l’idée de mise en place d’une gouvernance d’activité, deux réactions classiques s’opposent :

1- On n’a pas de temps à consacrer à une mise en oeuvre de ce type car nous sommes déjà très en retard sur l’ensemble des projets.  
Il est hors de question d’initialiser un projet de gouvernance d’activité sans l’officialiser auprès des instances de décision.
La mise en ouvre d’une gouvernance est un projet à part entière qui nécessite temps et budget.
Hors de question d’essayer de le mettre en place en catimini…cela ne fonctionne pas.

Les équipes ne collaborent pas au reporting puisqu’elles n’en comprennent pas l’objectif.
Les données collectées sont affichées ou publiées officieusement, sans explications et sont donc mal interprétées.

Il faut donc accorder a ce type de mise en place, un statut officiel, du temps et argent.

2 – On va développer une base d’infocentre qui fera pâlir la NASA.
Nous rencontrons à l’inverse des organisations trop créatives qui en partant d’un indicateur simple, dans la lancée de réunions d’analyse, imaginent de nouveaux référentiels, multiplient les tableaux de bords, et finissent par poser les plans d’un data warehouse digne d’un centre de recherche scientifique.
Entre rien et des analyses digne de processus de Data mining ou big data…il existe probablement une juste mesure.

Rester pragmatique, rester simple sont peut être des qualités qui se perdent.

 

En résumé, communiquer sur son activité et donner de la visibilité sur ses (limites de) capacité demande à mettre en place une organisation spécifique.
Sa mise en place prend du temps et selon le principe de Deming, il est judicieux de faire simple au début et d’améliorer à l’usage.

Donner de la visibilité sur son activité permet de faire prendre conscience au monde qui nous entoure des charges que nous avons à gérer.
Bien souvent cela permet de démontrer une surcharge, ou les limites de capacité de son organisation.
Non pas dans une déclinaison négative de ne pas être capable de faire, mais dans une vision réaliste de ses capacités réelles.

En synthèse, il faut savoir investir le temps d’une mise en oeuvre de sa gouvernance pour en gagner ensuite.